Mary COUSIN

Biographie

Mary COUSIN a noté ces livres

3
Un titre accrocheur, un style d'écriture original, plein de jeux de mots parfois un peu trop capillotractés à mon goût, qui malgré l'humour n’arrivent pas à combler les interminables paragraphes exprimant les réflexions personnelles et les longues considérations sur la vie de Shallak qui alourdissent le texte et ne font pas avancer l’enquête. En plus, ça ne rend pas le personnage attachant et l’intrigue se délite, ce qui fait que j’ai dû m’y reprendre à maintes fois pour lire votre roman jusqu’au bout. Dommage, car il y a aussi des perles égrainées dans ces pages. J’étais aux abois, prête à entendre sonner du cor clairement et bravement pour entendre hallali et je suis restée sur ma faim, car je m’attendais à plus de clins d’œil à la « chasse à cour » et à une fin plus spectaculaire. C’est mon point de vue et vous n’êtes pas obligé d’en tenir compte, car je ne suis pas forcément une experte en matière même si j’adore mener l’enquête ! Cordialement.
Publié le 24 Février 2016
2.4
Vous avez l’art de nous transporter au cœur d’un Los Angeles décrit minutieuses dans ce " livre dans le livre" qui permet à notre détective à l'âme de romancier, de confronter ses déductions avec son personnage imaginaire pour avancer dans son enquête. Ses réflexions personnelles et ses longues considérations sur la vie en font un héros attachant, entouré de personnages complexes et subtils (y compris les personnages féminins, pour une fois) et une intrigue bien menée qu’on croit résoudre comme un "cluedo" grandeur nature mais en vain car cette enquête monte crescendo pour une fin qui découle d’une imagination sans pareille J'ai ôté une étoile parce que, si vous maniez bien le subjonctif, il y a quand même quelques légères gourdes, qui pourtant ne gâchent pas l’ensemble. Bravo
Publié le 23 Février 2016
3
Le petit commentaire de Lamish sur votre page concernant « L'édifice intime » m’a incité à venir feuilleter « Hommage » et je ne suis pas déçue du voyage dans votre univers. Votre écriture légère et enlevée est un véritable enchantement. J’y ai dégusté les passages en patois normand, les coups de griffe et coups de rouge, savouré les bolées de cid’e en évitant de goûter à votre tourte aux cortinarius orellanus, ( je préfère les chanterelles). Il n’y a rien à jeter surtout pas le livre hommage à Gutemberg, avec ou sans ponctuation… Félicitation. Je serai fier d’avoir votre avis sur mon ouvrage historique « Manus Deï, l’amour à l’épreuve du duel », pour le coup, très « chauvin », comme on dit chez nous !!!
Publié le 23 Février 2016
2.4
Intimiste et tragique, ce récit sur l'existence humaine plus que sur la mort est bien écrit et se lit bien. Vous avez su rendre les personnages attachants, surtout Hannah qui fait preuve d'une grandeur d'âme à toute épreuve alors que vous ne donnez pas le beau rôle à d’autre comme ses parents, sa sœur et j’en passe. Comme on connait la fin, on vous pardonne !
Publié le 22 Février 2016
3
La fraîcheur, la sensibilité et le naturel de votre plume m’ayant comme aspiré dans votre récit, j’ai été curieuse de savoir qui se cachait derrière « cette rose sans épine » et j’y ai découvert quelqu’un avec qui j’avais beaucoup de points en commun en plus de l’écriture et l’histoire. Déjà, vous portez deux de mes trois prénoms de naissance et nous devons être à peu près du même âge. Mais j’ai vu aussi que vous aviez croisé notre ami Yann Pailleret, animateur du Jeu des 1000 Euros auquel vous avez brillamment participé tandis que moi, je l’ai organisé dans le magnifique château de ma commune lors que j’étais conseillère municipale dans cette contrée perdue de Normandie que vous semblez affectionner si j’en crois vos superbes transcriptions de vos lointains passages dans ma région. Félicitation pour tout. Cordialement.
Publié le 22 Février 2016

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