Mary COUSIN

Biographie

Mary COUSIN a noté ces livres

2.4
Alors que se dessine le destin de vos personnages, vous nous piégez sans vergogne sur la toile de votre Sergueil, cet ancien agent de KGB né sur les bords de la Volga, devenu artiste portraitiste à Paris pour des raisons indéfinies. De la sorte, vous nous baladez dans votre méli-mélo politico-criminel en compagnie d’Anne et de votre clown-poulbot, sans même nous laisser reprendre notre souffle. Un style époustouflant pour un récit inclassable qui va du surréaliste avec un goût prononcé pour le déraisonnable, au carrément satirique avec de fines critiques un peu à la Zola, que vous faites passer avec humour voir même tendresse. Bravo, bravo pour ce récit dont la lecture gagnerait en fluidité si le texte était justifié. (je ne suis pas sûr que le fait de laisser des fautes d’orthographe donne au lecteur l’impression d’un langage traduit du Russe en français approximatif, l’emploi de termes russes dans les phrases est plus explicite, je crois) Cordialement
Publié le 19 Février 2016
2.4
Comme les paroles de la chanson évoquée dans le titre résument parfaitement la trame de l’histoire, vos mots pour décrire cet amour obsédant, puissant, mais qui fait peur, prennent aux tripes et suggèrent une fin douloureuse qu’on cherche à comprendre tout du long du récit. Vous savez nous embarquer dans le délire infernal de Jérémy dont l’esprit s’affole et se désagrège dans son amour inconditionnel pour Brandon. Une écriture pleine d’émotion, poignante dans cette nouvelle inspirée par cette chanson « Requiem pour un fou », à laquelle vous donnez toute son amplitude avec une fin exemplaire. Bravo
Publié le 17 Février 2016
2.4
Une romance pleine de charme qui se démarque des autres, une plume à la fois profonde et poétique, tout en restant simple. Des personnages attachants, que vous ne ménagez pas toujours pour arriver à vos fins, d’ailleurs celle de ce livre laisse perplexe. Vous savez créer les rebondissements adéquats pour maintenir le lecteur en haleine. Bravo, mais attention aux fautes d'orthographe
Publié le 11 Février 2016
2.4
Une intrigue bien menée, sur fond de paysages sud-africains décris magnifiquement par votre plume experte à nous plonger, par delà les guerres des Boers (fermiers en néerlandais), dans une aventure pas banale vers l’origine de l’hominidé. J’ai adoré suivre Tinnings et le docteur Doggerland mais, je dois vous faire une confidence, j’ai toujours eu un faible pour “Scatterlings of Africa” de Johnny Clegg et des levées de mollets incroyables de ce “Zoulou blanc” … Hum, voilà, c’est dit ! Même si, en dépit des belles choses engendrées par ce fantastique musicien et chanteur, l'état de ce pays est toujours aussi déplorable. Par contre, sans vouloir vous offenser, je dois avouer que la ponctuation, le faible espacement entre les lignes ainsi que le choix de la police d’écriture n’est pas judicieux. Tout cela rend la lecture fastidieuse, d'où l'étoile qui s'est éteinte. Cordialement.
Publié le 08 Février 2016
3
Ce livre se lit facilement. La plume est alerte et pose les mots sur le papier comme si c’était des notes de musique, avec des dièses : le don extraordinaire pour la musique de M. Albert qui sera déterminante tout au long de son existence et des bémols : comme le décès accidentel de son épouse après s’être fait arracher son sac à main par des voyous, au début du roman. Cette musique, vous nous en parlez avec amour et enthousiasme et on l’entend jusque dans la poésie de votre prose relevée par des métaphores parfois très audacieuses et un suspense que vous maintenez avec habileté tout au long du récit jusqu’à nous piéger avec votre chute surprenante. Bravo
Publié le 04 Février 2016

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