C’est charmant ces souvenirs qui remontent aussi loin, votre mémoire est douce de garder le meilleur et d’oublier les peines. Et votre idée pour garder votre mère en vie, dans la vie, est brillante. Bravo !
"Elle avait des yeux, des yeux d'opale Qui me fascinaient, qui me fascinaient Y avait l'ovale de son visage pâle De femme fatale qui m'fut fatal"… Pourquoi ai-je pensé à Jules et Jim et Jeanne en vous lisant ? Bien sûr le titre de vos souvenirs, charmants, pleins d’une douce nostalgie. Vous avez eu raison de dépasser vos freins et de les mettre sur le papier. J’ai passé un beau moment avec eux.
(j’ai beaucoup aimé votre dédicace !)
Ah les balançoires de nos souvenirs, et les greniers, et les malles qu’on ouvre en cachette… Il y a toujours un côté émouvant à ouvrir sa mémoire, et vous le faites avec beaucoup de délicatesse.
Bravo, c’est une jolie histoire que j’ai appréciée à sa juste valeur. Ce n’est pas tellement l’issue dont on ne doute pas qu’il va y a voir quelques rebondissements avant un happy end n’est ce pas ?! mais la manière tendre que vous avez de dévoiler vos personnages, par petites touches d’aquarelle. Il y a de l’empathie partout chez vous, même pour les nuages. Et c’est communicatif !
Ah je vous comprends d’avoir envie de vous rappeler, d’écrire, de laisser ses souvenirs sur une page. Pour vous et pour Lili. Mais dites-moi, quel casanova ! Mr je ne plais à personne, un regard et hop vous emballez ! C’est charmant de vous lire, en faisant ces flashs back incessants, vous rendez votre récit vivant et plein d’émotion. Vous avez raison, ce n’est pas parce qu’on a passé sa vie dans les chiffres qu’on ne sait pas écrire. Merci d’avoir partagé vos émotions.