Stog

Bonsoir @ Zoe Florent. Je suis de l'avis de JP Laurier, c'est un direct dans l'estomac, ça touche, ça fait mal, mais le but est atteint. Bravo

L’imagination de Thom, la recherche émouvante de son père, la troisième demi de sa vie d’enfant qu’il sait voir avec son troisième œil (à prendre au troisième degré). C’est un récit envoûtant qui vous tient dès les premières pages et le tout dans un contexte difficile comme vous le dites si bien : « C’est juste le malheur, banal à force d’être terrible ».

Bonjour@Annie Pic. Votre imagination a provoqué, chez le pauvre lecteur que je suis, un bouillonnement de neurones qui à son tour s’est mis à voir différents chemins potentiels. Je paraphrase puis j’interprète : « au commencement dans l’œuf de l’infini avant le premier instant était le verbe, il se glissa dans la matière », le temps devint irréversible et l’information survécut. Vive l’imagination!

Le décor : un village, son château et son idiot. Jojo « …dans ce brouillard, il voyait assez pour se diriger vers la bonté en évitant les cœurs étroits ». De la poésie pour décrire la misère et le manque de bol avec comme écriture le staccato version littéraire. Bravo

@Sosthène Mbernodji,. Le berceau de Toumaï : un grand-père de 7 millions d’années. Un maillon vers: homo sapiens. C'est une excellente idée que de donner ce nom ( qui veut dire, d'après Wiki: espoir de vie) à une République! J’ai aimé dans cette nouvelle : les informations sur la logistique des terroristes étrangers installés au Sahel et l’empreinte marquante sur la famille Jhonson, confrontés dans un premier temps à la beauté de celle-ci, puis à son implacable dureté.