C’est avec une grande douceur que l’auteure nous emmène dans la vie violente de Léa, de Mélanie et de Juliette. Leur rencontre, leur empathie, leur amour prend naissance naturellement avec les accidents de la vie. Ce roman est guidé par le destin qui en est la colonne vertébrale. Puis ce dernier quart du roman qui s’accélère en petits chapitres minuscules et essentiels comme si les amitiés étaient si fragiles qu’il fallait profiter et dire tout tout de suite l'essentiel. C’est vraiment bien.
J’aime cette simple phrase de Mélanie quand elle comprend que son amie vient de perdre son père : . Elle pleure et les seuls mots qu’elle parvient à prononcer sont « j’arrive ».
Puisque c’est bien , je me permets de vous dire que, je trouve la fin faible. Et l’on s’attend à un florilège, une morale, une... simple, dépouillé, pur... qu’on n’a pas
Publié le 12 Avril 2024