"Les petits objets", c’est le nom de la boutique d’antiquités de son père rue Quincampoix, à qui sa mère avait interdit qu’il la nomme "les p’tits zobs". Entre souvenirs et devoir de mémoire, Fred Opalka raconte avec humour et finesse le choix de Roman (au prénom prédestiné ?) de reprendre le magasin, plutôt que devenir écrivain.
A 30 ans, Roman profite le plus possible de l’oisiveté des bars avec ses amis d’enfance. Il a repris la boutique d'antiquité de ses parents à leur mort rue Quincampoix. Mais avant de la rouvrir, il doit partir en Bulgarie pour une des plus importantes ventes aux enchères de l'année. Pendant son voyage, il fait des rencontres, retrouve d’anciennes connaissances et croise la route d’Amena.
Fred Opalka aime écrire sur des sujets diverses, sans thème de prédilection. Une scène imaginée et, avec un peu de chance et beaucoup de travail, le reste vient presque tout seul.
Ces premiers commentaires contradictoires m’ont attirés… et je suis bien heureuse d’avoir voulu me faire mon propre avis. Car j’ai d’abord aimé ce Paris de la rue Quincampoix, la personnalité en couleur de chacun de vos personnages, la femme de l’antiquaire, formidable, le bistrot avec l’affiche des tontons flingueurs, cette scène pleine de tendresse entre le fils et le père. Et puis j’ai aimé le voyage. Mais ce que j’ai trouvé le plus remarquable dans votre récit, c’est la mémoire, les souvenirs, les évocations du passé, comment vous en parlez. Toujours avec de la pudeur, une certaine retenue. Merci pour ce voyage.
C’est pour ça qu’il l’a publié gratuitement sur monBestSeller.