Lire en ligne Je meurs, l'autre est vivant de Jean-Paul Florencio

Jean-Paul Florencio est l’auteur de trois romans. Dans Je meurs, l'autre est vivant, un vieil écrivain célèbre revit son enfance et le drame ignoré qui l’a touché. L’auteur dit qu’il y révèle une profondeur et une complexité nouvelles.
Trois adjectifs pour qualifier son roman : Elégant, Cultivé. Profond.

Lire en ligne "Je meurs, l'autre est vivant" publié par Jean-Paul Florencio

Synopsis

Philippe Leroy est un écrivain célèbre, pilier des plateaux de télévision. À près de 80 ans, il n'a plus écrit depuis 10 ans. Il découvre un soir sur son ordinateur un mystérieux manuscrit, racontant sa propre vie dans les moindres détails. Qui en est l'auteur ?

Il replonge dans son passé et les zones d'ombre de son enfance. Notamment, une maladie qui a failli lui coûter la vie à 16 ans. Il apprend qu’à ce moment-là, sa mère a fait un choix douloureux.

Rongé par le doute et la culpabilité, il sent sa fin approcher. Il se met à écrire fébrilement.

Une phrase

Il m’a fallu dix années pour passer de l’oubli à la colère et de la colère à l’amour. T’oublier c’était te faire disparaître une seconde fois. Toi qui ne demandais qu’à être. Il m’a fallu enfreindre plusieurs lois. Les lois divines, celles de mon église, de mon Dieu, et les lois des hommes, celles de mon pays. Il faut être lâche, criminelle, mais courageuse pour abandonner son enfant. Et jamais je n’entendrai ta voix m’accorder le pardon.

L’auteur Jean-Paul Florencio

Le premier livre que Jean-Paul Florencio publie en 2019 est un conte pour enfants. L’année d’après, premier roman, "Je meurs, l'autre est vivant", et en 2023, il rend hommage à Fernando Pessoa dans son roman "Les Confessions rêvées de Fernando Pessoa".

Ce sont ses lecteurs qui en parlent le mieux

Sandrine C

C’est une espèce de road movie d’un homme au seuil de sa vie. On y apprend plein de choses, parfois sans importance, mais qu’on est heureux de connaitre, ce qu’il s’est passé en 55, les manies de certains écrivains célèbres… s’il y avait plus de références à Dieu, on pourrait presque se croire avec Jean d’Ormesson ! Mais il y a cette énigme que Jean d’Ormesson n’aurait pas abordée comme telle, il y a un mystère qui de presque anecdotique devient essentiel. On passe d’une lecture plaisante, légère, cultivée, à une quête qui devient une course avec le temps, un contre la montre avec la vérité ultime. Et il y a là vos plus belles pages.

Catarina Viti

Je viens de terminer la lecture de votre livre et je suis emballée. J'ai éprouvé à vous lire les mêmes élans du coeur qui me viennent à des lectures comme celles d'Emmanuel Bove. Aucune comparaison, mais un immense compliment.