La Pascualita

@Annie Pic
Bonjour, je viens seulement de voir votre commentaire et vous remercie pour votre analyse. Effectivement, les concepts que vous soulevez sont bien ceux qui m'avaient moi-même interpelé lorsque j'avais pris connaissance de cette légende urbaine, avec également tout ce qui traite de la question ontologique : sommes-nous notre corps ou davantage, ne sommes-nous, comme ce mannequin, qu'un pantin soumis au destin...? Quant à la fin, si elle reste ouverte, j'espère qu'elle permettra au lecteur aussi de répondre à toutes ces questions d'une façon personnelle.

Bonjour Chardin / Votre texte court dégage une sensibilité qui m'interpelle. La vie , la mort, et l'entre-deux qui les sépare ! Lorsqu'enfin ils se rejoignent dans l'absolu, l'animé devient inanimé pour l'éternité. Mais autour de ce mystère, les questions restent en suspens. Le mannequin, est-il la prolongation de la désespérance d'une mère, dont la lutte contre l'adversité va au-delà de l'acceptation ? Ou est-ce l 'œuvre de la folie du diable ? La fin reste ouverte, à chacun d'extrapoler ! Merci pour le partage, Annie

@Arezki Bennadji

Merci à vous pour votre commentaire. Charles Baudelaire disait que notre sensibilité est notre génie. La sensibilité est, je crois, suffisante pour apprécier la qualité d'un texte, et je suis heureux que la vôtre ait aimé cette nouvelle !