
Sœur Thérèse commence à en avoir marre. Malgré ses paillardises, qu’elle partage avec son amie Toujhoursoulle, la porchère du couvent, tout le monde s’entête à proclamer : « Sœur Thérèse, vous êtes une sainte! » Personne ne porte attention à ses débordements de langage ou de conduite, comme jadis les Troyens ne croyaient pas Cassandre et ses funestes prédictions. Personne, sauf la Prieure de Saint-Curdan, exaspérée, qui décide de tendre un piège à sœur Thérèse. Et voici donc qu’une charretée de voyageurs, un beau matin, se met en route, en quête du grand Attila et de sa horde de guerriers barbares…
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@Julien Marsan. Très heureux que ces chroniques vous aient procuré une bonne dose d'humour. Quant au lèse-majesté, peut-être certains Attila des temps modernes mériteraient le traitement que soeur Thérèse inflige à son vis-à-vis, à la fin de son parcours. Merci pour votre commentaire.
Vous frôlez le crime de lèse-majesté ! et j’imagine votre allégresse à laisser votre imagination débridée. A lire, c’est un exercice pas commode, on n’est plus trop habitué à se marrer par les temps qui courent. Bravo et merci !