On tire son chapeau devant La Révérence de Laurent Moussard.
On croit qu’il nous entraine dans un conte tout en poésie. On se trompe, c’est toujours un cauchemar.
La candeur vue par les yeux d’Anastàzie, qu’on surnomme avec tendresse Stàzka, Stàzicka ou encore Anastàzka.
C'est en écrivant que Laurent Moussard est sur une autre planète, dit-il, dont il a rêvé mais qu'il ne connait pas. Et en se lisant qu'il s'entend enfin.
Ton écriture et Anastazie me touchent toujours autant. Mes mots seraient dérisoires, alors merci tout simplement.
Magnifique. Un texte que je n’oublierai pas.
C’est pour ces échanges avec vous qu’il l’a publié sur mBS.