Ne pas y voir de misogynie mais un homme entièrement consacré aux femmes
une voyante lui prédit : « les femmes vous seront bénéfiques, et c’est par elles que vous réussirez »16
Le parfum d'une femme en dit plus sur elle que son écriture.
Christian Dior
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@la miss 10Tiens en voilà une citation universelle "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse". Qui c'est qui vient me chercher chaque fois que je donne un avis général ou sur mes textes (sur nos textes) et qui se permet de poser un diagnostic sur ma/notre personnalité. Hein, qui c'est ? C'est pourquoi j'use de mon droit de réponse, car il y a des limites à l'abnégation. Tiens une autre pour vous qui les aimez tant, les citations "Connais-toi toi même et tu te connaitras"- Socrate, et encore une autre de Charly Passarotto, "écrivant" comme moi sur une autre plate-forme : "Avant de porter un jugement sur ma vie ou mon caractère, mettez mes chaussures, vivez mon chagrin, mes doutes, mes fous rires. Parcourez les années que j'ai parcourues, trébuchez là où j'ai trébuché, et relevez-vous comme je l'ai fait. Et seulement là, vous pourrez me juger". A noter que je n'ai jamais laissé de commentaires aimables ou désobligeants sur vos ouvrages, pour la simple et bonne raison que je n'adhère pas à votre style. C'est tout et bonne soirée à toutes et tous. Fanny
Il faut que je vérifie : j'ai bien tapé www.monbestseller.com ou bien wwww.républiquebananièredelamiss ?
Ha non. C'est bon. Me suis pas trompé.
Tu mets ton avis, et Paf :
Insultes.
Invectives.
Menaces.
Ben, elle est sino-biélorusse en fait.
T'as pas la carte parfumée de son parti, c'est le goulag ouighour et si tu te goures, le suicide organisé.
Avec de telles causes perdues, non, en effet, 2021 c'est pas gagné.
@la miss 10
la miss ! Mais vous ronchonnez, ma parole !
Juste une chose : "peut-être" suivi du conditionnel, c'est marquer les choses d'un doute. Mais avec vous, on est amené à anticiper les réponses. Et comme vous écrivez : "Le propre d'une citation est de se suffire à elle-même, de se priver aisément de tout contexte", j'avais émis donc l'hypothèse d'une réponse. Navré donc d'avoir réveillé la ronchonne qui sommeillait en vous. Surtout, dommage que vous ne rebondissiez pas plutôt sur le fond de la réflexion, c'est-à-dire que la signature elle-même, d'une citation, contextualise son propos. Si l'on sait qui parle, alors on a tout l'historique de la citation.
Encore que ! Il existe tant de gens qui disent blanc et qui agissent noir.
La vérité, c'est que celle-ci, bien que venant d'un homme qui sait de quoi il parle, ne vaut pas tripette. (et au passage, la graphologie en dit long sur les personnes, et plus que tout le reste, si vous voulez le fond de ma pensée, sans que cela soit une science exacte/ encore faut-il que les sciences dites exactes le soient vraiment, mais ça, c'est un autre sujet de discussion).
Alexis
Cette citation ne vaut pas tripette. C'est un copier-coller du "dis-moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es". Retirez la signature, et ça tombe à plat !
Si Gide, cité auparavant, (notez bien qu'il n'aurait jamais pondu pareil poncif) avait écrit cela, certains diraient : mais qu'est-ce qu'il y connaissait, lui, aux femmes, Gide ?
N'en déplaise à la miss, fadaise ou pas fadaise, Dior créé lui-même un contexte en signant.
Enfin, piocher des citations, comme ça, en tapant écriture/citations dans un moteur de recherche est assez puéril et vain. La proposition de Fanny Dumond était plus drôle. Et là ! Peut-être que la miss dirait aux auteurs : "Qui êtes-vous pour nous asséner vos vérités ? Vos propos tombent comme un cheveu dans la soupe", etc. Et elle aurait besoin, sans doute, que l'auteur contextualise !
On m'a toujours appris qu'en toute chose il fallait savoir qui parle et d'où parle cette personne. Sans doute est-ce là aussi un poncif de la communication, mais celui-ci a fait ses preuves.
Alexis
@la miss 5 Jéza pour faire court. Est-ce que je vous ai demandé l'âge du capitaine ? C'est quand même dingue de constater que sur ce site on ne puisse donner son avis, sur chaque post, sans encourir les sarcasmes et les foudres des omniscients, des omnipotents... pour rester polie, j'en resterai là de mon énumération. N'en déplaise à certains.aines, je compte bien garder mon droit à ma liberté d'expression. J'abhorre la dictature de la pensée et vous remarquerez que je n'interviens pas sur les avis des participants à qui je laisse le droit de s'exprimer. C'est d'ailleurs fort intéressant de lire la diversité de compréhension d'un écrit ou d'une citation. J'attends que mBS me réponde ! Fanny qui vous conseille de masser vos poignets avec une goutte d'HE de nard*, connu pour son action calmante. Attention pas plus d'une goutte, quoique ça nous ferait des vacances de vous savoir endormi(e) comme la belle au lit dormant. *parfum très rare et connu depuis l'Antiquité.
Est-il envisageable, suivant les auteurs de MBs, d'avoir différentes clefs de langage et aussi de lecture ou sinon d'être tagué de vacuité ?
Je le crois sincèrement.
Notre divergence de vue, qui s'exprime comme elle s'exprime, avec ses moyens ô combien limités, vient au fond, simplement du fait qu'il existe pour toute phrase jetée en l'air, pour faire court, comme pour le langage, plusieurs niveaux d'interprétations, qui parfois se complètent et parfois, antagonistes, s’entrechoquent mais qui doivent avoir, si vous le permettez bien sûr, libre cours aussi de s’exprimer :
1. Un premier niveau microcosmique, c’est-à-dire tout-petit, circonscrit, vous voyez ? à un lieu ou à cercle dont il faut partager les codes pour comprendre le sens de ce qui a voulu être dit.
D’où la nécessaire biographie à laquelle certains se sont livrés.
Essayez de dire cette citation à d’autres gens, un autre peuple ou dans un autre temps, elle ne sera pas comprise, et que vous le vouliez ou pas, il vous sera absolument nécessaire de la contextualiser.
A moins que vous vouliez parler toute seule ou qu’avec ceux qui vous ressemblent ?
2. Il y a aussi, un deuxième niveau, macrocosmique c’est-à-dire universelle, où l’on s’efforce d’être compris par toutes et tous, partout et tout le temps.
On peut s'en contrefoutre, j'en conviens et ne s'axer que sur ses traditions régionales.
Comprenez que cette citation, à la différence des autres, ne se suffit certainement pas à elle-même mais qu’au monde de la mode parisienne dont vous comprenez les codes et valeurs.
Je trouve ça un peu limité. C'est mon droit. Pardonnez-moi.
Après, il est tellement plus facile de faire aimable consensus, de ne pas renverser la table et de taxer de creux ou vindicatif un avis parce qu'il est divergent, différent.
Je propose donc de regarder cet après-midi, histoire de nous changer les idées et de démarrer l'année d'un bon pied le film "le parfum".
Excellent film au demeurant. et Super acteur.
Ou comment un parfum peut aliéner toute une population.
Non, bon, ça aussi c'est pas une bonne idée.
Décidément.
Peut-être lis-je de travers, mais j'avais cru comprendre que @monBestSeller attendait nos PROPRES citations sur l'écriture comme il nous l'avait proposé le 03/08/2016 (retrouvé en cherchant via mon nom). Des citations nous pouvons en trouver à la pelle sur la toile, et comme je le disais sur une autre, je n'en suis pas fan, car nous ne savons pas dans quel contexte d'écriture elles ont été rédigées. Celle-ci n'a absolument rien à voir dans le sens d'écrire un ouvrage, mais dans celui de connaître le caractère d'une personne, une femme en l'occurrence, en analysant son écriture manuscrite. Dior était entouré de la gent féminine et je ne pense pas que toutes étaient auteures. Bon dimanche à toutes et tous. Cordialement. Fanny
Levons-donc notre verre de champagne, la bouche en cul de poule, à cette phrase dantesque que seule une élite, pleine d'empathie pour elle-même, peut afférer dans toute sa portée, et portons un toast à notre société du Paraître.
J'ai aussi, si vous voulez :
"La voiture d'un homme en dit plus sur lui que son écriture"
Ford
PS : par contre Miss, merci pour votre propos enfin soutenu. Je vous savais intelligente, pour ne pas dire brillante, aussi votre mal parler me désespérait. Merci sincère donc.
Il manque seulement un mot pour donner à cette sortie une véritable dimension : naturel (est le mot).
Pour le reste, à force de piocher n'importe où des citations à l'emporte-pièce on peut tomber de Dior en Patou...
@FANNY DUMOND
@La miss 9
/n
Apparemment, seules Fanny (Patricia, pour les amis) et "la Miss" ont compris la citation de Christian Dior.
/n
Ce dessinateur-poète, trop tôt disparu après une fulgurante carrière de dix années ; ce dessinateur-poète, disais-je, rêvait d'être architecte et sa passion pour l'architecture, il l'exprima dans la construction de ses robes qu'il appelait des "architectures éphémères destinées à embellir le corps de la femme". Ce célibataire endurci aimait, aussi, analyser l'écriture de ses 785 femmes : 732 ouvrières, 40 vendeuses, 13 mannequins. Selon lui, le mouvement de leur écriture correspondait à un type de personnalité, mais plus encore, les fragrances portées révélaient leur part d'intimité.
Oui Michel, nous en sommes là : écrire ou sentir bon, telle fut l'une des questions, symptomatique, tranchée, et avec quel panache, au XX ème siècle.
Question brûlante s'il en est, n'est-ce pas ?
Dire que celle-ci, personnellement, me taraudait depuis des lustres.
Il me semble quand même qu'il manque un truc : ha oui ! Est-ce quelqu'un pourrait juste me dire, si ce n'est pas, bien sur, hors sujet, où est passé l'être dans tout ça ?
De son point de vue (couturier et créateur de parfums), et en situant sa réflexion à une époque révolue (quelques dizaines d'années en arrière), on peut le comprendre, tout en sachant que son point de vue ne s'adressait qu'aux femmes d'un certain standing, c'est à dire une minorité, celles qui se parfumaient autrement qu'à l'eau de Cologne... et qui écrivaient.
Chère miss, douce ingénue, élevée au biberon de la pub, vous êtes libre d'y croire, candide, à ces mots innocents et de vous laisser troubler par leur si doux parfum, c'est sûr, absolument enivrants. En tout cas, si vous choisissez votre parfum comme vous choisissez vos mots pour vous adressez aux gens, il ne fera pas de vous son ambassadrice ; ça, c'est sûr.
PS : Epargnez-moi juste SVP le couplet que je subodore (j'ai quand même du nez, ne croyez-pas) sur le détail absolument crucial du choix du parfum, effectué toute une après-midi chez Séphora qui, vraiment, serait un indice puissant de personnalité profonde.
Oulla Oulla, heureusement que tu n'as pas lu ça Mémé Lucette, sinon tu lui aurais retaillé son costard. Mais bon, c’est vrai, tu ne savais pas lire. Il y a du bon, parfois...
Donc, si je comprends bien, exit donc, les femmes, à travers le temps et le monde, n’ayant eu le luxe de se payer un parfum (chez lui de préférence, bien sûr) ou d’apprendre à écrire.
Au moins, c’est pratique, ça réduit considérablement le champ d’investigation et d’analyse
Nous ne sommes donc pas, non, pas du tout face à un misogyne.
Il se pense réellement flatteur des femmes quand il dit cela et il croit dur comme fer, en bon publicitaire, leur avoir « dédié » sa vie !!
Le problème c’est tout de même qu’il ne loue que celles qui l’approchent et qu’il côtoie.
Il s’agit donc, en fait, d’une taupe, impatiente, certes, mais surtout feignante et suffisante.
A l’odorat très développé mais à la vue, géographique et historique si courte qu’elle se limite au périmètre de son microcosme parisien où l’on ne se renifle qu’entre-soi. Qui exhalent alors de ces propos malodorants, franchement, puants, au parfum rance de vieille France aristocratique autocentrée.
Je pose la question : peut-on juger, sérieusement, la qualité d'une femme (ou d'un homme) à la fulgurance de son trait ou, pire, à la douce évanescence de son parfum ?
Sottises. Sottises. Sottises.
Mais, surtout, ne lui en voulons pas.
Ce monde-là, superficiel, n’a pas eu la chance d’être nourri au sein du plus doux des parfums, la plus pérenne des drogues, de goûter à la peau d’héroïnes du quotidien.
@la miss 10Tiens en voilà une citation universelle "Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse". Qui c'est qui vient me chercher chaque fois que je donne un avis général ou sur mes textes (sur nos textes) et qui se permet de poser un diagnostic sur ma/notre personnalité. Hein, qui c'est ? C'est pourquoi j'use de mon droit de réponse, car il y a des limites à l'abnégation. Tiens une autre pour vous qui les aimez tant, les citations "Connais-toi toi même et tu te connaitras"- Socrate, et encore une autre de Charly Passarotto, "écrivant" comme moi sur une autre plate-forme : "Avant de porter un jugement sur ma vie ou mon caractère, mettez mes chaussures, vivez mon chagrin, mes doutes, mes fous rires. Parcourez les années que j'ai parcourues, trébuchez là où j'ai trébuché, et relevez-vous comme je l'ai fait. Et seulement là, vous pourrez me juger". A noter que je n'ai jamais laissé de commentaires aimables ou désobligeants sur vos ouvrages, pour la simple et bonne raison que je n'adhère pas à votre style. C'est tout et bonne soirée à toutes et tous. Fanny
@la miss 10
Ok miss ! Dormez tranquille, je ne mettrai plus dans votre bouche des mots que vous n'avez pas encore prononcés !
Alexis
Il faut que je vérifie : j'ai bien tapé www.monbestseller.com ou bien wwww.républiquebananièredelamiss ?
Ha non. C'est bon. Me suis pas trompé.
Tu mets ton avis, et Paf :
Insultes.
Invectives.
Menaces.
Ben, elle est sino-biélorusse en fait.
T'as pas la carte parfumée de son parti, c'est le goulag ouighour et si tu te goures, le suicide organisé.
Avec de telles causes perdues, non, en effet, 2021 c'est pas gagné.
@la miss 10
la miss ! Mais vous ronchonnez, ma parole !
Juste une chose : "peut-être" suivi du conditionnel, c'est marquer les choses d'un doute. Mais avec vous, on est amené à anticiper les réponses. Et comme vous écrivez : "Le propre d'une citation est de se suffire à elle-même, de se priver aisément de tout contexte", j'avais émis donc l'hypothèse d'une réponse. Navré donc d'avoir réveillé la ronchonne qui sommeillait en vous. Surtout, dommage que vous ne rebondissiez pas plutôt sur le fond de la réflexion, c'est-à-dire que la signature elle-même, d'une citation, contextualise son propos. Si l'on sait qui parle, alors on a tout l'historique de la citation.
Encore que ! Il existe tant de gens qui disent blanc et qui agissent noir.
La vérité, c'est que celle-ci, bien que venant d'un homme qui sait de quoi il parle, ne vaut pas tripette. (et au passage, la graphologie en dit long sur les personnes, et plus que tout le reste, si vous voulez le fond de ma pensée, sans que cela soit une science exacte/ encore faut-il que les sciences dites exactes le soient vraiment, mais ça, c'est un autre sujet de discussion).
Alexis
Cette citation ne vaut pas tripette. C'est un copier-coller du "dis-moi ce que tu manges, je te dirais qui tu es". Retirez la signature, et ça tombe à plat !
Si Gide, cité auparavant, (notez bien qu'il n'aurait jamais pondu pareil poncif) avait écrit cela, certains diraient : mais qu'est-ce qu'il y connaissait, lui, aux femmes, Gide ?
N'en déplaise à la miss, fadaise ou pas fadaise, Dior créé lui-même un contexte en signant.
Enfin, piocher des citations, comme ça, en tapant écriture/citations dans un moteur de recherche est assez puéril et vain. La proposition de Fanny Dumond était plus drôle. Et là ! Peut-être que la miss dirait aux auteurs : "Qui êtes-vous pour nous asséner vos vérités ? Vos propos tombent comme un cheveu dans la soupe", etc. Et elle aurait besoin, sans doute, que l'auteur contextualise !
On m'a toujours appris qu'en toute chose il fallait savoir qui parle et d'où parle cette personne. Sans doute est-ce là aussi un poncif de la communication, mais celui-ci a fait ses preuves.
Alexis
@la miss 5 Jéza pour faire court. Est-ce que je vous ai demandé l'âge du capitaine ? C'est quand même dingue de constater que sur ce site on ne puisse donner son avis, sur chaque post, sans encourir les sarcasmes et les foudres des omniscients, des omnipotents... pour rester polie, j'en resterai là de mon énumération. N'en déplaise à certains.aines, je compte bien garder mon droit à ma liberté d'expression. J'abhorre la dictature de la pensée et vous remarquerez que je n'interviens pas sur les avis des participants à qui je laisse le droit de s'exprimer. C'est d'ailleurs fort intéressant de lire la diversité de compréhension d'un écrit ou d'une citation. J'attends que mBS me réponde ! Fanny qui vous conseille de masser vos poignets avec une goutte d'HE de nard*, connu pour son action calmante. Attention pas plus d'une goutte, quoique ça nous ferait des vacances de vous savoir endormi(e) comme la belle au lit dormant. *parfum très rare et connu depuis l'Antiquité.
Est-il envisageable, suivant les auteurs de MBs, d'avoir différentes clefs de langage et aussi de lecture ou sinon d'être tagué de vacuité ?
Je le crois sincèrement.
Notre divergence de vue, qui s'exprime comme elle s'exprime, avec ses moyens ô combien limités, vient au fond, simplement du fait qu'il existe pour toute phrase jetée en l'air, pour faire court, comme pour le langage, plusieurs niveaux d'interprétations, qui parfois se complètent et parfois, antagonistes, s’entrechoquent mais qui doivent avoir, si vous le permettez bien sûr, libre cours aussi de s’exprimer :
1. Un premier niveau microcosmique, c’est-à-dire tout-petit, circonscrit, vous voyez ? à un lieu ou à cercle dont il faut partager les codes pour comprendre le sens de ce qui a voulu être dit.
D’où la nécessaire biographie à laquelle certains se sont livrés.
Essayez de dire cette citation à d’autres gens, un autre peuple ou dans un autre temps, elle ne sera pas comprise, et que vous le vouliez ou pas, il vous sera absolument nécessaire de la contextualiser.
A moins que vous vouliez parler toute seule ou qu’avec ceux qui vous ressemblent ?
2. Il y a aussi, un deuxième niveau, macrocosmique c’est-à-dire universelle, où l’on s’efforce d’être compris par toutes et tous, partout et tout le temps.
On peut s'en contrefoutre, j'en conviens et ne s'axer que sur ses traditions régionales.
Comprenez que cette citation, à la différence des autres, ne se suffit certainement pas à elle-même mais qu’au monde de la mode parisienne dont vous comprenez les codes et valeurs.
Je trouve ça un peu limité. C'est mon droit. Pardonnez-moi.
Après, il est tellement plus facile de faire aimable consensus, de ne pas renverser la table et de taxer de creux ou vindicatif un avis parce qu'il est divergent, différent.
Je propose donc de regarder cet après-midi, histoire de nous changer les idées et de démarrer l'année d'un bon pied le film "le parfum".
Excellent film au demeurant. et Super acteur.
Ou comment un parfum peut aliéner toute une population.
Non, bon, ça aussi c'est pas une bonne idée.
Décidément.
Peut-être lis-je de travers, mais j'avais cru comprendre que @monBestSeller attendait nos PROPRES citations sur l'écriture comme il nous l'avait proposé le 03/08/2016 (retrouvé en cherchant via mon nom). Des citations nous pouvons en trouver à la pelle sur la toile, et comme je le disais sur une autre, je n'en suis pas fan, car nous ne savons pas dans quel contexte d'écriture elles ont été rédigées. Celle-ci n'a absolument rien à voir dans le sens d'écrire un ouvrage, mais dans celui de connaître le caractère d'une personne, une femme en l'occurrence, en analysant son écriture manuscrite. Dior était entouré de la gent féminine et je ne pense pas que toutes étaient auteures. Bon dimanche à toutes et tous. Cordialement. Fanny
Levons-donc notre verre de champagne, la bouche en cul de poule, à cette phrase dantesque que seule une élite, pleine d'empathie pour elle-même, peut afférer dans toute sa portée, et portons un toast à notre société du Paraître.
J'ai aussi, si vous voulez :
"La voiture d'un homme en dit plus sur lui que son écriture"
Ford
PS : par contre Miss, merci pour votre propos enfin soutenu. Je vous savais intelligente, pour ne pas dire brillante, aussi votre mal parler me désespérait. Merci sincère donc.
Il manque seulement un mot pour donner à cette sortie une véritable dimension : naturel (est le mot).
Pour le reste, à force de piocher n'importe où des citations à l'emporte-pièce on peut tomber de Dior en Patou...
@FANNY DUMOND
@La miss 9
/n
Apparemment, seules Fanny (Patricia, pour les amis) et "la Miss" ont compris la citation de Christian Dior.
/n
Ce dessinateur-poète, trop tôt disparu après une fulgurante carrière de dix années ; ce dessinateur-poète, disais-je, rêvait d'être architecte et sa passion pour l'architecture, il l'exprima dans la construction de ses robes qu'il appelait des "architectures éphémères destinées à embellir le corps de la femme". Ce célibataire endurci aimait, aussi, analyser l'écriture de ses 785 femmes : 732 ouvrières, 40 vendeuses, 13 mannequins. Selon lui, le mouvement de leur écriture correspondait à un type de personnalité, mais plus encore, les fragrances portées révélaient leur part d'intimité.
Oui Michel, nous en sommes là : écrire ou sentir bon, telle fut l'une des questions, symptomatique, tranchée, et avec quel panache, au XX ème siècle.
Question brûlante s'il en est, n'est-ce pas ?
Dire que celle-ci, personnellement, me taraudait depuis des lustres.
Il me semble quand même qu'il manque un truc : ha oui ! Est-ce quelqu'un pourrait juste me dire, si ce n'est pas, bien sur, hors sujet, où est passé l'être dans tout ça ?
De son point de vue (couturier et créateur de parfums), et en situant sa réflexion à une époque révolue (quelques dizaines d'années en arrière), on peut le comprendre, tout en sachant que son point de vue ne s'adressait qu'aux femmes d'un certain standing, c'est à dire une minorité, celles qui se parfumaient autrement qu'à l'eau de Cologne... et qui écrivaient.
Chère miss, douce ingénue, élevée au biberon de la pub, vous êtes libre d'y croire, candide, à ces mots innocents et de vous laisser troubler par leur si doux parfum, c'est sûr, absolument enivrants. En tout cas, si vous choisissez votre parfum comme vous choisissez vos mots pour vous adressez aux gens, il ne fera pas de vous son ambassadrice ; ça, c'est sûr.
PS : Epargnez-moi juste SVP le couplet que je subodore (j'ai quand même du nez, ne croyez-pas) sur le détail absolument crucial du choix du parfum, effectué toute une après-midi chez Séphora qui, vraiment, serait un indice puissant de personnalité profonde.
Oulla Oulla, heureusement que tu n'as pas lu ça Mémé Lucette, sinon tu lui aurais retaillé son costard. Mais bon, c’est vrai, tu ne savais pas lire. Il y a du bon, parfois...
Donc, si je comprends bien, exit donc, les femmes, à travers le temps et le monde, n’ayant eu le luxe de se payer un parfum (chez lui de préférence, bien sûr) ou d’apprendre à écrire.
Au moins, c’est pratique, ça réduit considérablement le champ d’investigation et d’analyse
Nous ne sommes donc pas, non, pas du tout face à un misogyne.
Il se pense réellement flatteur des femmes quand il dit cela et il croit dur comme fer, en bon publicitaire, leur avoir « dédié » sa vie !!
Le problème c’est tout de même qu’il ne loue que celles qui l’approchent et qu’il côtoie.
Il s’agit donc, en fait, d’une taupe, impatiente, certes, mais surtout feignante et suffisante.
A l’odorat très développé mais à la vue, géographique et historique si courte qu’elle se limite au périmètre de son microcosme parisien où l’on ne se renifle qu’entre-soi. Qui exhalent alors de ces propos malodorants, franchement, puants, au parfum rance de vieille France aristocratique autocentrée.
Je pose la question : peut-on juger, sérieusement, la qualité d'une femme (ou d'un homme) à la fulgurance de son trait ou, pire, à la douce évanescence de son parfum ?
Sottises. Sottises. Sottises.
Mais, surtout, ne lui en voulons pas.
Ce monde-là, superficiel, n’a pas eu la chance d’être nourri au sein du plus doux des parfums, la plus pérenne des drogues, de goûter à la peau d’héroïnes du quotidien.
Il n'avait peut être pas la patience d'attendre l'expertise d'un graphologue.