C’est un témoignage dur, lourd. A vivre, et vous le dites de manière totalement transparente, comme désinhibée. Mais aussi à lire. C’est courageux. J’admire la capacité à dire, à dépasser, pour re-vivre. Vous parlez beaucoup de beauté de voir le sang couler sur votre corps. C’est si contradictoire. Et vous ne parlez pas de douleurs physiques. Comme si votre corps développait un anti douleur dans ces moments là. L’écriture a été votre rédemption. Et on ne peut qu’espérer que le mot fin de votre livre, le soit aussi de toutes vos souffrances.
Publié le 18 Novembre 2018