L'actualité d'une situation pré-révolutionnaire, animée chaque samedi par des manifestants dénommés "Gilets Jaunes", ne peut laisser indifférent. Quelques concordances entre les événements de "mai 68" et ceux déclenchés le 17 novembre 2018, sont à relever, avec leurs corrélations parfois inattendues; C'est ce que je me suis attaché à souligner, en décortiquant les tenants et les aboutissants des deux phénomènes sociaux, dont les conséquences sont connues pour le premier, peut-être inattendues pour le second.
Deux ans d'un nouveau monde baptisé REM qui se délite, chaque jour un peu plus. De "Jupiter", à "Gribouille" découvrez ce parcours atypique, des gilets jaunes, à la réforme des retraites, sous l'influence de quelques "shadocks" infiltrés qui agissent, avec un intrus en+ le Coronavirus
Ce livre est noté par
@Brillet Merci de votre appréciation, courte mais explicite.
bien écrit , juste, documenté ! 9/10 merci
Bonjour; étude parallèle intéressante. Auteur d'un roman fantastique, délirant, sur l'avenir pré-apocalyptique de l'humanité "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" j'affirme que tout ceci n'est que le commencement de l'éclatement massif, brutal, et global d'un système à bout de souffle. ( La coronavirus serait-il le grain de sable "salutaire" d'une société Occidentale déjà "grippée" par sa surconsommation ? ) Le Président actuel, sans charisme ni envergure, est tombé dans la mauvaise période, la France et ses Gaulois réfractaires ne sont pas disposés à s'arrêter là, je crains que le pire soit devant nous. Parions sur un arrêt brutal de la mandature en place et des élections présidentielles et législatives anticipées. La France est le pays le plus imprévisible d'Europe, voire du monde... 1789, 1830, 1848, 1871, 1934, 1968 et maintenant 2018/2019 et ce n'est pas terminé, il suffit de voir le système de santé en "vrac" j'y travaille et j'en fait une allusion très claire page 73 et 74 de "PROPHETIA et Clémence la revanche contre la barbarie" Le mouvement actuel des urgences peut à lui seul mettre la France dans une situation irrécupérable avant les municipales. Le résultat des européennes en dit long sur ce qui attend l'Europe. Bonne lecture AGOSTINI François-Xavier.
@Michel CANAL, merci pour vos commentaires, il est vrai que j'écris trop vite et que je n'ai pas le courage de relire 12 fois comme il est conseillé pour corriger les imperfections de la forme. je ne suis pas un puriste de l'écriture vous l'aurez constaté, je préfère le fond basé sur l'observation et la réflexion.
Ceci dit, merci de vos conseils, et des cinq étoiles.
Cordialement.
@jean claude ROBIN, je suis tombé par le hasard de votre visibilité à la page d'accueil, sur votre essai : Mes quatre vérités "Mai 68-Novembre 2018" Le grand débat, lequel m'a interpellé car nous avons tous les deux traité le même sujet, chacun bien entendu avec sa propre approche.
Pour ce qui me concerne, je suis rentré dans le sujet en mai 2018 par le biais du concours de nouvelles "Sous les pavés quelle plage ?" à l'occasion du cinquantenaire de "Mai 68". Frustré d'être trop limité par les conditions imposées, nombre de caractères en particulier, j'en ai fait une nouvelle "bis" plus développée intitulée : "Macron, Napoléon des temps modernes ?" que j'ai publiée le 21 mai, quelques jours avant la journée de convergence du 26 mai qui avait pour objectif la paralysie de l'économie... comme en mai 68.
J'ai publié une suite le 17 janvier, sous la forme d'un essai cette fois, après la "Lettre aux Français" et l'ouverture du "Grand débat national", enfin une suite 2 le 5 mai après la conférence de presse d'Emmanuel Macron le 25 avril. Il y aura bien sûr une suite 3 après les élections européennes.
L'enjeu chaque fois est la réponse à la question : Dans ces conditions, renouer le lien avec les Français, tenter de regagner leur confiance pour pouvoir continuer à réformer, est-ce encore possible ? Pourra-t-on dire, à la fin du quinquennat, qu'Emmanuel Macron, le seul Président capable de réformer notre pays, fut notre Napoléon des temps modernes ?
J'ai vécu comme vous Mai 68, avec quelques années de moins, mais cela me permettait dans la nouvelle, d'en parler comme témoin.
Il est très intéressant, jean claude, de confronter nos approches qui traitent des convergences et des différences entre Mai 68 et la présidence d'Emmanuel Macron qui a vu s'installer durablement deux ans après son élection le mouvement des "Gilets jaunes".
Cordialement. MC
Analyse d'actualité, intéressante et osée. Tout a été tellement dit et écrit sur mai 68. Grosse recherche. Et le résultat, c’est de nous donner des clefs pour enrichir notre propre réflexion. Bravo et merci pour ça.