@Camille d'Iroise
C'est une belle histoire où la fibule n'y est sans doute pas étrangère. Elle nous replonge dans des contes d'antan et c'est délicieux.
Bravo Camille
@Michel Laurent
Cette "Eux et Moi", quelle Nouvelle ! Bien vous en a pris de l'écrire quitte à provoquer du chambard à l'Académie. Pétillante, savoureuse, on ne se lasse pas d'en reprendre (de vos expressions réitérées en guise d'assaisonnement). Vous apportez aussi à vos nombreux lecteurs la preuve qu'une division peut faire l'unanimité.
Bien à vous.
@Tomoe Gozen.
Voilà une mouture singulière d'un texte dont je ne connais pas l'original. Mais vu le style académique qui en ressort, nul doute qu'elle est réussie. Pour moi, c'est clair, la brunité n'y a pas sa place. Ce terme est plaisant. Il prend racine en un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître. Jugez qu'un galant pouvait donner rendez-vous à la brune à une blonde de la plus belle espèce. Voilà qui pouvait accréditer l'état bicéphale, non?
Bien à vous.
@Damélina. Sur les pas d'un vieillard qui nous entraîne en une balade romantique dans des souvenirs nostalgiques. Une histoire plaisante qui frise la ballade.
Bien à vous.
@Roberto Marbrak. Désolé pour cet incident qui vous a empêché de découvrir mon livre "Brumes d'Ouest". Aujourd'hui cet ennui est réparé. Je vous souhaite donc un bel été et une bonne lecture en point d'orgue. Bien amicalement.
@Maxime eveque.
Un compte rendu concis des faits et gestes d'un homme souffrant du mal-être. Vous nous le faîtes suivre, balloté dans ses atermoiements, héros d'une histoire qui le dépasse et nous incite à en connaître la fin.
Bravo.
@Roberto Marbrak
L'histoire d'un paumé du petit matin qui s'est mis dans de sales draps. Vous le décrivez fort bien, sans fioritures, pris dans ses tergiversations. Et l'on suit aisément ce récit sans en perdre une miette.
Bravo!
@Flora Chazan
La partition en Ré que vous nous livrez donne la mesure d'un monde où chacun y joue son propre morceau du paraître. Il en résulte une cacophonie criarde, insupportable jusqu'à la nausée que relate si bien votre plume.
Bravo Flora!
@Richard Piolay
On passera les Ponge et autres poètes soucieux de se démarquer pour ne retenir que la lecture claire et concise de votre oeuvre. Il est une poésie qui admet que les mots se triturent lors de l'écriture.
Bien à vous.
@Michel Laurent
Merci pour cette visite guidée devant le tableau "La ronde des prisonniers" de Van Gogh qui m'était jusque-là méconnu. J'ai beaucoup apprécié les impressions que vous nous livrez, ce qui m'a également amené à jeter un regard sur les commentaires postés précédemment par vos lecteurs et d'y trouver un certain intérêt. C'est aussi le but de ces échanges, non?
Bien à vous Michel.
@Brigitte Deleruelle
Une bien belle histoire racontée près d'un bord de mer campagnard dont vous nous livrez les mille petites choses qui constituaient la vie à cette époque.
Bravo pour ce foisonnement épistolaire.
@Michel Laurent
Votre parution: "Le temps qui passe", est-ce le temps d'une symphonie du délire? Un feu d'artifice du bon mot? Une jubilation, assurément, durant laquelle on ne voit pas le temps passer.
Bien à vous.
@Michel Laurent,
J'espère que le titre de votre texte "La fin du hasard" n'est pas prémonitoire. Sinon qu'en serait-il de notre tarte Tatin, du camembert et autres découvertes inopinées, pénicilline, etc? Quoiqu'il en soit, ça m'a été un réel plaisir de goûter le fruit de votre imagination mariné d'humour. Bravo à vous.
@Benoit Cloarec
Votre style poétique peut se permettre de traduire, ainsi que le ferait un cinéaste inspiré, des situations où l'intimité est mise à nu. Exercice d'autant plus délicat à assurer lorsque les craquements violents d'un orage impétueux exacerbent les émois amoureux.
Merci pour cette séance offerte.
Voici que sur la Toile, @Michel Laurent, votre pinceau imprime des mots. Et quels mots! Pour quel ton! On s'imprègne autant de la beauté du lieu rendu en des touches délicates que de la passion unissant deux êtres voués à leur destin aveugle. Pour éclairer cette histoire, il y a votre maestria digne des étoiles.
Merci Michel.
@Brigitte Deleruelle
Vous apportez une explication sur la disparition énigmatique d'Agatha Christie qui en vaut bien d'autres. On se laisse entraîner dans cette recherche où même un chapeau à large bord ne parvient tout à fait à donner le change. Aussi, le Bibi que je suis s'en contentera-t-il.
Bien amicalement.
Quel charivari à l'auberge de la Pomponnette! Heureusement pour nous, la narratrice de cette histoire a la plume guillerette. C'est donc avec un réel plaisir que nous découvrons les différentes facettes de ce monde, ô combien hétéroclite. Bravo à vous Parthemise33.
Bien amicalement et joyeux Noël.
Bonsoir @lereverdy Je comprends, bien que je trouve dommage de ne pas redonner vie à certaines de vos nouvelles, tant elles m'ont plu.
Si ce n'est qu'une question informatique, la sexagénaire avancée que je suis s'y connaissant un peu, c'est avec grand plaisir qu'elle aiderait l'octogénaire avancé ;-)... Alors n'hésitez pas à prendre contact avec moi via mon profil "envoyez-moi un message", si l'idée vous tente de créer un nouveau recueil.
Bonne soirée ! Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Bonjour Zoé. Merci beaucoup pour votre appréciation flatteuse à mon endroit. J'en ai été très touché.
La mise en ligne de ces nouvelles date, en effet. Pourtant, vous dîtes ne pas regretter de vous être patiemment affrontée à la lecture de cette centaine de pages formatées à l'ancienne. Et je vous en suis très reconnaissant.
La compilation de ces textes répondait à cette époque, au souhait de mBS de publ.ier des oeuvres d'au moins 20 pages. On voit le glissement qui s'est opéré depuis.
Dissocier les 3 parties de ma parution, comme vous le suggérez, apporterait sans aucun doute une meilleure visibilité à chacune d'elles et donc un aspect moins rébarbatif pour l'éventuel lecteur. Mais l'octogénaire avancé que je suis et le peu de familiarité que j'aie en informatique me font rebuter à cet exercice. Aussi mille fois merci pour votre commentaire et à bientôt de vous lire avec plaisir.
Bonsoir @lereverdy. La mise en ligne de votre recueil date... et pourtant ! Interpellée par votre commentaire sur ma page, son rappel avec les autres sur la vôtre (technique inédite par ici), je l'ai abordé, sans conviction aucune si ce n'est cet inhabituel procédé qui m'a interrogée... Et là, surprise ! Je découvre une plume poétique, riche, sensible, aux multiples nuances, qui me scotche tant je ne m'y attendais pas. /// J'ai dégusté tranquillement chacune de vos nouvelles, me suis dit que ce serait bien de regrouper "les Sahariennes" dans un nouveau recueil plus concis, tant elles m'ont plu. "Grain de sable", "La rose des sables", "Le moinillon"... mériteraient cette démarche de votre part, il me semble. /// Bravo, respect et merci pour ce partage, Monsieur l'ouvrier du livre, autodidacte de surcroît ! Bonne soirée. Amicalement, Michèle
@Caroline Devivie
Les choses de la vie sont joliment écrites. Elles défilent au long des pages, suaves à souhait, pour une histoire où une Angélique ne verse pas dans l'angélisme.
Bien amicalement.
@Zoé Florent
Du tout va les jours heureux au va-tout lorsque le thème du "je t"aime" est écorné, le récit qui en est fait est réaliste et bien rendu. Bravo Zoé.
@Fernand Fallou
Toujours l'esprit prêt à traquer les singularités, Cher Fernand. Cette fois on sent la facétie à plein nez. S'il n'est un biloute, ce Jacques le péteur aurait toute sa place au pays des ventres à choux, voire de la mogette. Aussi la belle de ces lieux épargnée du kissnot mais non d'un covid bienvenu pour elle, s'apercevra-t-elle, une fois guérie, que son Jacques, finalement, est un drôle de Coco.
Bien à vous.
@Brigitte Deleruelle
Le récit que vous nous faites de cette Dame Blanche sortant du brouillard n'est pas l'oeuvre d'un cerveau embrouillé. La douceur qui en émane au fil des pages est reposante et incite à en poursuivre la lecture.
Bravo Brigitte!
@Brigitte Deleruelle
Les pouvoirs de la porte sont tels qu'ils libèrent votre imagination et la projettent dans le fantastique pour le plus grand plaisir du lecteur. Aussi de la voir partir dans d'autres mains a dû être pour vous un crève coeur. Pouvait-il en être autrement? Sinon, vous et votre jeune ami en auriez pu subir des horions. Bravo Brigitte.
@Brigitte Deleruelle. Un commissaire qui face à un inculpé reçoit des explications aussi farfelues est en droit de vouloir lui envoyer des tartes. Grand bien lui fasse de se contenir et au contraire de prendre note de ses déclarations. Un rôle inversé et jubilatoire dans l'art de se mettre à table. Bravo Brigitte!
@Damian Jade
Voilà plusieurs jours que j'ai lu votre nouvelle avec l'envie d'y répondre. Je n'ai pu m'y résoudre tant me manquait l'angle d'inspiration. Car vous avez tout pris, tant dans le texte que dans le titre. Splendide! Ce mot qui tel un pinceau n'appartient qu'au maître.
Félicitations Damian.
@Alice Molero
Vous nous emmenez à 200 à l'heure dans une histoire fouillée et intéressante à suivre jusqu'à ce qu'on décroche après l'accident mortel de la conductrice. Votre fin en subit le traumatisme et c'est dommage.
Bien à vous.
@Fernand Fallou
Au matin de Noël, avez-vous trouvé, cher Fernand, chaussure à votre pied sous le sapin? Je gage que Père Noël aura eu du mal à dégoter l'objet de vos désirs, tant la liste de vos desiderata que vous lui adressez dans votre lettre me semble tenir du Bottin. Y farfouiller pour vous satisfaire équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin. Le monde n'est plus ce qu'il était mon bon Monsieur. Ainsi en va-t-il au fil du temps des moeurs et même du beau sexe idoine au beau teint.
Bien à vous.
@René Sauvage
Merci pour vos remarques élogieuses. Elles me confortent dans l'intention qui est mienne de transcrire la pensée en des clichés qui mis bout à bout constituent une histoire. Ces Brumes sont donc dans un esprit tout autre que celui potache qui animait Fougueux le renne fugueur paru sur ce même site. Je vous souhaite de prendre beaucoup de plaisir à cette lecture.
Vous les racontez très bien ces brumes d’Ouest, c’est bien observé. Comme des polaroïd, des moments pris sur le vif, en faisant presque abstraction de ce qui les entoure. Et c’est cette façon d’isoler des détails, de dire des choses presque banales qui rend le moment très imagé, comme si on le voyait. Je vous souhaite encore plein d’histoires à conter.
Publié le 01 Janvier 2020
lereverdy
Biographie
Ouvrier du Livre. Autodidacte. J'ai été primé lors d'un concours de Nouvelles. Ce livre regroupe
11 nouvelles dont 5 sous son titre,...
Ce livre est noté par
@Camille d'Iroise
C'est une belle histoire où la fibule n'y est sans doute pas étrangère. Elle nous replonge dans des contes d'antan et c'est délicieux.
Bravo Camille
@Valérie-Pison.
Un récit sans fioritures que cette "Immortelle", bien construit dans l' esprit d'une Nouvelle par sa fin insoupçonnée. Bravo!
@Michel Laurent
Cette "Eux et Moi", quelle Nouvelle ! Bien vous en a pris de l'écrire quitte à provoquer du chambard à l'Académie. Pétillante, savoureuse, on ne se lasse pas d'en reprendre (de vos expressions réitérées en guise d'assaisonnement). Vous apportez aussi à vos nombreux lecteurs la preuve qu'une division peut faire l'unanimité.
Bien à vous.
@Tomoe Gozen.
Voilà une mouture singulière d'un texte dont je ne connais pas l'original. Mais vu le style académique qui en ressort, nul doute qu'elle est réussie. Pour moi, c'est clair, la brunité n'y a pas sa place. Ce terme est plaisant. Il prend racine en un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître. Jugez qu'un galant pouvait donner rendez-vous à la brune à une blonde de la plus belle espèce. Voilà qui pouvait accréditer l'état bicéphale, non?
Bien à vous.
@Cortex2.
Une belle rêverie mélancolique baignée d'une perspective peu encline à en vivre d'autres. Dommage.
Bien à vous.
@Damélina. Sur les pas d'un vieillard qui nous entraîne en une balade romantique dans des souvenirs nostalgiques. Une histoire plaisante qui frise la ballade.
Bien à vous.
@Roberto Marbrak. Désolé pour cet incident qui vous a empêché de découvrir mon livre "Brumes d'Ouest". Aujourd'hui cet ennui est réparé. Je vous souhaite donc un bel été et une bonne lecture en point d'orgue. Bien amicalement.
@Maxime eveque.
Un compte rendu concis des faits et gestes d'un homme souffrant du mal-être. Vous nous le faîtes suivre, balloté dans ses atermoiements, héros d'une histoire qui le dépasse et nous incite à en connaître la fin.
Bravo.
@Roberto Marbrak
L'histoire d'un paumé du petit matin qui s'est mis dans de sales draps. Vous le décrivez fort bien, sans fioritures, pris dans ses tergiversations. Et l'on suit aisément ce récit sans en perdre une miette.
Bravo!
@Flora Chazan
La partition en Ré que vous nous livrez donne la mesure d'un monde où chacun y joue son propre morceau du paraître. Il en résulte une cacophonie criarde, insupportable jusqu'à la nausée que relate si bien votre plume.
Bravo Flora!
@Richard Piolay
On passera les Ponge et autres poètes soucieux de se démarquer pour ne retenir que la lecture claire et concise de votre oeuvre. Il est une poésie qui admet que les mots se triturent lors de l'écriture.
Bien à vous.
@Michel Laurent
Merci pour cette visite guidée devant le tableau "La ronde des prisonniers" de Van Gogh qui m'était jusque-là méconnu. J'ai beaucoup apprécié les impressions que vous nous livrez, ce qui m'a également amené à jeter un regard sur les commentaires postés précédemment par vos lecteurs et d'y trouver un certain intérêt. C'est aussi le but de ces échanges, non?
Bien à vous Michel.
@Brigitte Deleruelle
Une bien belle histoire racontée près d'un bord de mer campagnard dont vous nous livrez les mille petites choses qui constituaient la vie à cette époque.
Bravo pour ce foisonnement épistolaire.
@Michel Laurent
Votre parution: "Le temps qui passe", est-ce le temps d'une symphonie du délire? Un feu d'artifice du bon mot? Une jubilation, assurément, durant laquelle on ne voit pas le temps passer.
Bien à vous.
@Michel Laurent,
J'espère que le titre de votre texte "La fin du hasard" n'est pas prémonitoire. Sinon qu'en serait-il de notre tarte Tatin, du camembert et autres découvertes inopinées, pénicilline, etc? Quoiqu'il en soit, ça m'a été un réel plaisir de goûter le fruit de votre imagination mariné d'humour. Bravo à vous.
@Benoit Cloarec
Votre style poétique peut se permettre de traduire, ainsi que le ferait un cinéaste inspiré, des situations où l'intimité est mise à nu. Exercice d'autant plus délicat à assurer lorsque les craquements violents d'un orage impétueux exacerbent les émois amoureux.
Merci pour cette séance offerte.
Voici que sur la Toile, @Michel Laurent, votre pinceau imprime des mots. Et quels mots! Pour quel ton! On s'imprègne autant de la beauté du lieu rendu en des touches délicates que de la passion unissant deux êtres voués à leur destin aveugle. Pour éclairer cette histoire, il y a votre maestria digne des étoiles.
Merci Michel.
@Brigitte Deleruelle
Vous apportez une explication sur la disparition énigmatique d'Agatha Christie qui en vaut bien d'autres. On se laisse entraîner dans cette recherche où même un chapeau à large bord ne parvient tout à fait à donner le change. Aussi, le Bibi que je suis s'en contentera-t-il.
Bien amicalement.
@Parthemise33
Quel charivari à l'auberge de la Pomponnette! Heureusement pour nous, la narratrice de cette histoire a la plume guillerette. C'est donc avec un réel plaisir que nous découvrons les différentes facettes de ce monde, ô combien hétéroclite. Bravo à vous Parthemise33.
Bien amicalement et joyeux Noël.
Bonsoir @lereverdy Je comprends, bien que je trouve dommage de ne pas redonner vie à certaines de vos nouvelles, tant elles m'ont plu.
Si ce n'est qu'une question informatique, la sexagénaire avancée que je suis s'y connaissant un peu, c'est avec grand plaisir qu'elle aiderait l'octogénaire avancé ;-)... Alors n'hésitez pas à prendre contact avec moi via mon profil "envoyez-moi un message", si l'idée vous tente de créer un nouveau recueil.
Bonne soirée ! Amicalement,
Michèle
@Zoé Florent
Bonjour Zoé. Merci beaucoup pour votre appréciation flatteuse à mon endroit. J'en ai été très touché.
La mise en ligne de ces nouvelles date, en effet. Pourtant, vous dîtes ne pas regretter de vous être patiemment affrontée à la lecture de cette centaine de pages formatées à l'ancienne. Et je vous en suis très reconnaissant.
La compilation de ces textes répondait à cette époque, au souhait de mBS de publ.ier des oeuvres d'au moins 20 pages. On voit le glissement qui s'est opéré depuis.
Dissocier les 3 parties de ma parution, comme vous le suggérez, apporterait sans aucun doute une meilleure visibilité à chacune d'elles et donc un aspect moins rébarbatif pour l'éventuel lecteur. Mais l'octogénaire avancé que je suis et le peu de familiarité que j'aie en informatique me font rebuter à cet exercice. Aussi mille fois merci pour votre commentaire et à bientôt de vous lire avec plaisir.
@Caroline Devivie
Les choses de la vie sont joliment écrites. Elles défilent au long des pages, suaves à souhait, pour une histoire où une Angélique ne verse pas dans l'angélisme.
Bien amicalement.
@Zoé Florent
Du tout va les jours heureux au va-tout lorsque le thème du "je t"aime" est écorné, le récit qui en est fait est réaliste et bien rendu. Bravo Zoé.
@Fernand Fallou
Toujours l'esprit prêt à traquer les singularités, Cher Fernand. Cette fois on sent la facétie à plein nez. S'il n'est un biloute, ce Jacques le péteur aurait toute sa place au pays des ventres à choux, voire de la mogette. Aussi la belle de ces lieux épargnée du kissnot mais non d'un covid bienvenu pour elle, s'apercevra-t-elle, une fois guérie, que son Jacques, finalement, est un drôle de Coco.
Bien à vous.
@Brigitte Deleruelle
Le récit que vous nous faites de cette Dame Blanche sortant du brouillard n'est pas l'oeuvre d'un cerveau embrouillé. La douceur qui en émane au fil des pages est reposante et incite à en poursuivre la lecture.
Bravo Brigitte!
@Brigitte Deleruelle
Les pouvoirs de la porte sont tels qu'ils libèrent votre imagination et la projettent dans le fantastique pour le plus grand plaisir du lecteur. Aussi de la voir partir dans d'autres mains a dû être pour vous un crève coeur. Pouvait-il en être autrement? Sinon, vous et votre jeune ami en auriez pu subir des horions. Bravo Brigitte.
@Brigitte Deleruelle. Un commissaire qui face à un inculpé reçoit des explications aussi farfelues est en droit de vouloir lui envoyer des tartes. Grand bien lui fasse de se contenir et au contraire de prendre note de ses déclarations. Un rôle inversé et jubilatoire dans l'art de se mettre à table. Bravo Brigitte!
@Damian Jade
Voilà plusieurs jours que j'ai lu votre nouvelle avec l'envie d'y répondre. Je n'ai pu m'y résoudre tant me manquait l'angle d'inspiration. Car vous avez tout pris, tant dans le texte que dans le titre. Splendide! Ce mot qui tel un pinceau n'appartient qu'au maître.
Félicitations Damian.
@Alice Molero
Vous nous emmenez à 200 à l'heure dans une histoire fouillée et intéressante à suivre jusqu'à ce qu'on décroche après l'accident mortel de la conductrice. Votre fin en subit le traumatisme et c'est dommage.
Bien à vous.
@Fernand Fallou
Au matin de Noël, avez-vous trouvé, cher Fernand, chaussure à votre pied sous le sapin? Je gage que Père Noël aura eu du mal à dégoter l'objet de vos désirs, tant la liste de vos desiderata que vous lui adressez dans votre lettre me semble tenir du Bottin. Y farfouiller pour vous satisfaire équivaut à chercher une aiguille dans une meule de foin. Le monde n'est plus ce qu'il était mon bon Monsieur. Ainsi en va-t-il au fil du temps des moeurs et même du beau sexe idoine au beau teint.
Bien à vous.
@René Sauvage
Merci pour vos remarques élogieuses. Elles me confortent dans l'intention qui est mienne de transcrire la pensée en des clichés qui mis bout à bout constituent une histoire. Ces Brumes sont donc dans un esprit tout autre que celui potache qui animait Fougueux le renne fugueur paru sur ce même site. Je vous souhaite de prendre beaucoup de plaisir à cette lecture.
Vous les racontez très bien ces brumes d’Ouest, c’est bien observé. Comme des polaroïd, des moments pris sur le vif, en faisant presque abstraction de ce qui les entoure. Et c’est cette façon d’isoler des détails, de dire des choses presque banales qui rend le moment très imagé, comme si on le voyait. Je vous souhaite encore plein d’histoires à conter.