Au fond d’une grotte profonde, il découvre un cristal aussi sombre que son âme meurtrie. La magie qu’ensemble ils libèrent, tel un frisson parcourant le corps de la Terre, avertit son double du danger. Le temps est également venu pour le cristal de vie de quitter sa paisible retraite. Mais que sont-ils ? En eux est emprisonné le pouvoir des mages de Jova. Deux cristaux à la fois semblables et différents. De simples pierres aux regards des profanes. Mais est-ce vraiment le cas ?
Ce livre est noté par
@Monique Louicellier. Vous avez raison. Il ne me vient jamais à l’idée de faire ma promotion. Le livre peut être commandé dans toutes les librairies ou sur les sites de vente comme la Fnac, Amazon, Cultura, entre autres. Voici le lien vers la librairie de BOD qui édite ce roman : https://www.bod.fr/librairie/catalogsearch/result/?q=carole+bergh
@Carole Bergh.
Merci Carole pour ces détails intimes de votre écriture. Moi aussi je fonctionne sans plan. Et si vous mettiez un lien en commentaire pour que les gens puisse se procurer le livre publié ?
@Monique Louicellier. Un grand merci pour votre retour. En ce qui concerne le format, j’écris toujours en A4, police Time New Roman 12. Ensuite, j’ai suivi les conseils que l’on m’a donnés, un sujet par paragraphe. Le récit est ainsi plus aéré et facile à lire. En ce qui concerne les noms, généralement, ils me viennent au fur et à mesure que j’écris. Petite précision, je ne fais jamais de plan, je pars à l’aventure avec mes héros sans savoir à l’avance ce qui va arriver. Je me laisse emporter par l’histoire et je la vis avec eux. Bon, cela me joue parfois de mauvais tours, je l’avoue. Mon dernier récit s’est arrêté à la page 133, car il devenait trop biscornu. Je vais donc le reprendre du début. « Le Cristal de Vie », pour sa part, est achevé et publié. Voilà, c’est avec plaisir que j’ai répondu à toutes vos interrogations. Je vous souhaite une excellente journée.
Merci @pelo pour votre commentaire. Je crois que chacun d’entre nous a le pouvoir de vaincre l’obscurité et que face à l’adversité, la solidarité et l’union permettent d’accomplir des miracles. D’autres personnages apparaitront au cours de cette histoire, Razel, qui a renié les siens et aurait préféré continuer à vivre une vie d’ermite, Leora, une Syrelle défigurée par un sorcier de Barr-Han. Tous deux, touchés par Syrus, accepteront, en dépit de leurs différences, de s’unir. Et, comme il n’est pas nécessaire de posséder des capacités exceptionnelles pour changer le monde, un érudit, qui a peur de tout et est incapable de se battre, les accompagnera également. Bien sûr, ils ne sortiront pas tous indemnes de ce combat, mais ils ne baisseront pas les bras pour autant. Au travers de la Fantasy, je transmets ma vision de la vie, certaines choses que les hommes, comme les sorciers de Barr-Han, ont oubliées. Sans l’amour, celui des autres, du vivant et de la Terre-Mère, ils ne sont rien.
Oh j’ai trouvé cela touchant et chou la complicité de ses frères et sœurs qui affrontent les ennemis ensemble, cela donne du baume au cœur de constater cette solidarité. Puis ce sont des guerriers n’empêche, valeureux. Parfois l’imaginaire permet de s’échapper d’un quotidien difficile. C’est troublant de voir aussi que les clans se méfient des uns des autres tout en ressentant en même temps une certaine attirance les uns pour les autres. C’est le cas notamment au travers de la rivalité entre les sorciers et les syrelles. Syrus il m’a touché quand il s’est occupé d’un vieillard alors qu’il n’en n’avait pas l’envie mais il l'a fait par devoir moral et c’est un beau geste qui donne pratiquement des larmes aux yeux.
Bonjour, @FaustineFaust
Pour le temps utilisé, tous les livres de Fantasy de ma bibliothèque, et il y en a beaucoup, sont au passé. Il n’en est peut-être pas de même pour la SF, mais ce n’est pas le même genre littéraire.
Ensuite, je vous l’accorde, il n’est pas obligatoire de planter le décor dès le début, je ne le fais pas toujours, je l’avoue. Mais lorsque je ne le fais pas, des lecteurs me le reprochent.
On ne peut satisfaire tout le monde et je l’accepte. Certains adhèrent à mon univers, d’autres pas, c’est normal.
Merci d’avoir pris le temps de me transmettre votre ressenti.
C’est une belle histoire, onirique. Mais elle a pour moi 2 travers. Le premier, c’est (si fréquent dans le genre SF) le syndrome de trop longues narrations. Pourquoi trop souvent le contexte géographique / historique / environnemental est-il délayé en intro, alors qu’il pourrait, comme dans les romans ‘’classiques’’ être saupoudré ? Et le second, c’est l’imparfait. Là encore, pourquoi cette histoire ne peut-elle pas être au présent ? Les deux réunis m’éloignent de la narration, de l’action, surtout m’empêchent de ‘’m’approprier’’ l’histoire. Bref, désolée, un peu sec, mais c’est difficile de ne pas être ‘’exigeante’’ quand on aime la SF, n’est ce pas ?
Merci @madline3. Un tel enthousiasme me réchauffe le cœur.