Paris, 1976. Un jeune architecte, plombé par des soucis d'argent, accepte un drôle de boulot, en apparence facile et bien payé. Mais l'affaire déraille et rien ne se passe comme prévu.
Après Béton Brut (également disponible sur ce site), La Nuit Des Grands Travaux est mon second polar architectural. À la différence que celui-ci est toujours en chantier, et je ne sais pas encore comment finira la guérilla entre maitres d'œuvre véreux, intermédiaires douteux et entrepreneurs crapuleux dans laquelle j'ai égaré mes personnages.
Ce livre est noté par
@Steve WALK
La Nuit Des Grands Travaux, malgré son titre, est encore à l'état d'ébauche. C'est un chantier dont je n'ai écrit que les premiers chapitres. Mais si vous aimez ce texte, je vous conseille la lecture de Béton Brut, autre polar architectural, situé à Paris quelques années plus tôt, en 1973.
À bientôt.
Philippe
@Philippe Doro,
Bonsoir M Doro,
La première dizaine de pages m'ont accrochées.
Un mélange de suspense et un style cash.
Trop tôt pour le noter mais je le mets dans ma bibliothèque.
Bonne continuation,
Steve
@Raphaël M
C'était effectivement un autre monde. Sans téléphone portable, sans Microsoft, sans internet, sans tags, sans rap, sans trottinette électrique, sans islamisme, sans théorie du genre, ... On vivait sur les acquis et les utopies des années 60, tout en ayant l'impression confuse que quelque chose avait foiré et qu'on était mal barré : crise industrielle, explosion du chômage... La société était plus permissive sur certains plans (liberté d'expression), mais plus répressive sur d'autres : en 1976, la peine de mort existe toujours.
C’est drôle, il y a des époques dans lesquelles on se transpose facilement, quelles que soient leurs différences, leur éloignement dans le temps, dans la géographie, et des périodes qui semblent tellement en décalage avec aujourd’hui. Et pour moi, c’est vraiment le cas de vos bénies années 70. Tout ! Plus fun, plus libres, plus déjantées, plus permissives, moins réglementées, moins régentées… etc. etc. et plus difficile pour moi de vous lire autrement qu’en spectateur amusé (et envieux) !