Une croisière de rêve

@CHRISTIANDOTTIR Evelyne Comme quoi, on peut rapidement glisser du rêve au cauchemar et réciproquement. "Si tu kiffes, tu dois régler la TVA" (Doully-humoriste). Votre héroïne et les passagers, vont-ils s'acquitter de la TVA ? Merci, Bisous, Merci pour cette croisière à suspens

Belle histoire qui donne envie de voyager, avec toutefois quelques frissons dans le dos ..

@Ange-François et @Emmanuel LEPIN , merci à vous deux, (hihi les orques de barbarie). Je trouve les humains bien présomptueux vis à vis des autres espèces vivantes et ils auraient parfois besoin d'une bonne leçon. J'avais entendu parler du comportement étonnant des orques dans le détroit de Gibraltar et visité il y a quelques années "Marine land", d'où cette idée de nouvelle... il semble que des groupes d'orques se comportent effectivement comme des bandes d'ados et s'amusent aux dépens des plaisanciers. Mais personne n'en est encore mort, mais qui sait?

Pas mal de vent et de notes pour ces "orques de barbarie". Ça donne quand même envie d'embarquer. Bravo !

Belle histoire qui me rappel mes séjours en bateau….

Merci pour cette courte histoire qui me rappel des séjour passé en bateau. Belle écriture !

@Michel LAURENT
Il y a 2 bateaux différents, pour une progression dans l histoire, le 1er est un catamaran et le 2e une grande goélette 5 mats qui existe tout à fait, j y ai fait une croisière . .je pense que peut être je dois rendre cela plus clair ainsi que la chute "humour noir"
Merci en tous cas de votre commentaire précieux

@CHRISTIANDOTTIR Evelyne Votre Pompilia est au début une goélette (bateau habituellement à deux mâts, bon ici il en a cinq, pourquoi pas après tout). Au bout de quelques pages, elle se transforme en catamaran. Là, c’est un peu plus gênant...

J’ai bien aimé la jeune Julie, 20 ans, qui, avec son cher papa, part à l'aventure. La voilà qui demande à celui-ci s'ils pourront rencontrer l'équipage. Ben oui, Julie est fascinée par l’uniforme blanc. Et papa, débonnaire, lui répond qu’il ne sait pas, qu’ils ont beaucoup de travail ! La croisière lancée, la mer déchaînée (ou pas encore), Julie, intrépide, décide d’aller tâter seule du marin. Oh, en tout bien tout honneur, évidemment. Elle est simplement curieuse de ces hommes qui, bien que luttant contre les vagues, gardent leur... cap.

Je ne veux pas spoiler, je m’arrête là.
Il faudrait sans doute retravailler un peu la chute. Sans être carnivores, on reste un peu sur notre faim...

@Aline DENIS, merci de vos encouragements, j espère que votre croisière était réussie...