@Alexandre Majorczyk Effectivement, je me suis peut-être emporté...
Quoiqu'il en soit, j'ai le souvenir du jardin ombragé de ma grand-mère où il y avait des asphodèles et de la joubarbe sur les murs. Et ce décor floral m'a énormément aidé...
Merci à vous d'avoir lu et relu ce texte. Dès que possible, j'irai lire votre recueil sur les plantes...
Amicalement, Thierry
Pour vous répondre, je ne suis pas sûr que tout le monde puisse vous montrer dans un jardin un asphodèle ou une joubarbe quand il/elle le voit dans un jardin ombragé. :)
En tout cas, j’ai appris quelques mots grâce à votre texte, même si j’avais fait pas mal de recherches au niveau des noms et des descriptions de plantes pour mon dernier recueil, je pense que c’est un domaine assez spécialisé.
Encore une fois bravo pour ce texte qui mérite bien d’être lu et relu.
@alain.lamoliatte
Un grand merci pour votre compliment.
Sauf erreur, @Tomoe Gozen 2 ne dit pas que mon vocabulaire se limite à cent mots.
Ou alors je n'ai pas compris son commentaire.
Bref, beaucoup de retard dans mes lectures mais dès que possible, j'irai lire votre ouvrage.
Amicalement, Thierry
Sublimissime. Votre texte est riche, poétique et je vais vous faire on meilleur compliment, j'aurais aimé l'écrire. Certes j'ai appris quelques mots et contrairement à d'autre, je suis sur que vous en connaissez plus que cent. Bordel comme une entorse neuronale, ça fait du bien. Merci, merci, merci.
@Alexandre Majorczyk
Merci pour votre sympathique commentaire.
L'asphodèle et la joubarbe sont des plantes banales que l'on trouve dans n'importe quel jardin ombragé de France. Pas besoin de lire Rustica pour les reconnaître.
Amicalament, Thierry
Très beau moment de lecture !
Beaucoup de poésie mise en perspective dans les yeux d'un papillon d'or.
Je suis sûr que c'est l'occasion en lisant ce texte de parfaire son vocabulaire botanique.
Un grand merci pour votre partage !
Amicalement, Alexandre Majorczyk.
@Thierry Rucquois
Continuez, par pitié, à employer des mots comme "sénescent" et "ignifère", qui ne sont des énigmes que pour les bas du plafond. Viseriez-vous, par hasard, le nivellement par le bas ? Ou votre ambition littéraire se résumerait-elle à écrire, comme certains, avec cent mots de vocabulaire ? Faites vivre, nom de Dieu, la langue française, et il y a parfois de l'honneur à aller droit au casse-pipe !
@tous
Oui, il y a sans doute des "surcharges", des lourdeurs, des complications inutiles. Tout comme je savais qu'en employant des mots comme ignifère ou sénescent, j'allais droit au casse-pipe.
Mais c'est ça aussi mBS, un laboratoire à la Frankenstein (bon sujet pour une tribune, tiens) où l'on cherche, triture, malaxe un mot, une phrase, une tournure pour en extraire sa substantielle moelle. En tout cas, c'est ce que j'aime faire, graver une image dans ma tête et la gratter jusqu'à l'os.
Merci pour votre entière franchise. J'aime les commentaires qui nous font avancer. Ce genre de retour m'encourage à progresser...
@Tomoe Gozen 2
J'avais lu quelque part qu'un papillon d'Amazonie (je ne sais plus son nom) voyait tout en "vert". Comme dans un prisme. Je me suis dit, tiens, ça serait sympa de l'inviter dans les jardins de chez nous. Apparemment, il n'a pas supporté le voyage, fidèle qu'il est à ses plantes tropicales, sans doute. Ceci explique peut-être ce côté "peu naturel".
"Pour une poignée de figues" est en attente d'une prochaine lecture. Manier l'humour n'est pas chose facile, mais dans cet exercice, vous excellez.
Par pitié, montrez-vous indulgent envers votre petite soeur.
@Zoé Florent
J'ai rangé "l'écume écarlate" dans les tiroirs, car d'autres idées intéressantes me sont venues à son sujet. Pour plus tard.
Pour le "ventre à terre", oui possible. Je vais y réfléchir.
Votre avis compte. Poster sur mBS, c'est aussi comprendre et analyser la critique. Pas de souci.
@Valérie Pison2
Merci pour vos bons mots. J'habite un appartement en ville. Décrire la nature, c'est un peu s'y rendre, non? J'ai remarqué que votre style d'écriture avait changé avec vos dernières nouvelles.
Toujours un challenge que d'essayer de se renouveler, j'en conviens.
J'ai téléchargé votre "terres du bout" pour une lecture plus attentive.
@Michel LAURENT
Vous avez parfaitement résumé ce que j'ai voulu transcrire avec plus ou moins de réussite.
Ravi que cela vous ait plu.
@Ray Bus
Merci pour votre sympathique commentaire.
Attention toutefois à ne pas vous brûler les ailes...
@Zoé Florent
Accorder trois cœurs à un texte après n'avoir pas manqué de prononcer de graves réserves, voilà qui est d'une belle originalité ! Que ferez-vous, le jour où vous tomberez sur une pépite ? Vite, un nouveau bain de siège !
@Thierry Rucquois Votre texte déploie une prose foisonnante et poétique pour magnifier une scène qui, en d’autres mains, pourrait paraître banale : la rencontre entre un homme et un papillon. Chaque détail est minutieusement observé et retranscrit avec une délicatesse singulière. Les métaphores naturelles subliment à la fois l’environnement et les personnages, les avant-bras de l’homme étant ainsi comparés à des "plantes grimpantes vigoureuses". Ce procédé confère à l’individu une dimension presque mythologique, en le fondant dans la nature. L’alternance entre le poétique et le technique permet de déployer un imaginaire vaste, tout en ancrant la scène dans une réalité tangible.//***//
La poésie du texte tient aussi à l’attention donnée aux infimes changements de lumière, aux moindres mouvements, comme si l’espace et le temps s’étiraient sous le regard contemplatif du papillon-narrateur. Ce texte est une célébration du regard, du détail, et une ode à la beauté de la nature, pleine de tendresse et de gravité. //***//
Coutil, ocelle, volis, ignifère, brucelle, asphodèle, ombelle, grignotis, verjus, nymphose, autant de mots au timbre poétique et qui m’étaient inconnus. Quelle joie d’apprendre en se faisant plaisir !
@Zoé Florent
Allons bon ! Que se passe-t-il ? Un instant de faiblesse ? Non , je vous demande ça, parce que vous nous avez habitués à encenser, en veux-tu en voilà, des auteurs (voulez-vous la liste ?) qui n'arrivent pourtant pas à la cheville, même ici, de M. Rucquois. Prenez vite un bain de siège !
@Thierry Rucquois "Le mieux est l'ennemi du bien", dit-on, et c'est un peu l'impression que j'ai eue à vous lire. Trop de recherches, trop de surcharges... J'ai vraiment préféré le dosage de "Un dimanche de laine". Mais cela reste mon avis, un avis qui vaut ce qu'il vaut, c'est-à-dire pas grand-chose non plus ;-).
Amicalement,
Michèle
PS : j'ai remarqué un "ventre à terre" qui évoque plus la locution adverbiale que la position du chasseur.
PPS : curieuse de nature (on ne se refait plus à mon âge ;-)), je me demande pourquoi vous avez supprimé votre jolie nouvelle "L'Écume Écarlate"...
PPPS : @Tomoe Gozen 2 Vous ai-je sonné, cher samouraï "muriellé et enclumé" ? Essayez de m'oublier pour voir. Je suis sûre que l'effet sera des plus heureux pour nous deux ;-)...
PPPPS : @Tomoe Gozen 2 https://fr.wikipedia.org/wiki/Libert%C3%A9_d%27expression
@thierry rucquois
J'ai vraiment beaucoup aimé ce petit texte, et l'originalité de son point de vue. On butine, on survole, on sent les bruissements du jardin et la chaleur des rayons de soleil.
Les métaphores sont nombreuses et poétiques, seriez vous un tantinet amoureux de la nature et des petits riens qui nous entourent? ....comme je vous comprends.
Amicalement
Valérie
@Thierry Rucquois
Comment vous dire ? C'est peut-être ma faute, mais je trouve que, cette fois-ci, la magie de votre prose n'opère pas. En tout cas auprès de moi. Pour la raison peut-être que votre style si particulier me semble ici par trop concerté. Tout cela manque du naturel qui, en dépit d'une écriture et d'une langue que les mauvais coucheurs pourraient qualifier d'ampoulées, agissait si bien dans votre "Dimanche de laine". Bon, ne prenez pas en trop mauvaise part mon commentaire ; il est au moins la preuve que je ne vous lèche pas le cul, comme dirait si joliment ma petite sœur Natalie (je la fesse, d'ailleurs, souvent pour ça). Après tout, ce n'est qu'un avis, qui ne vaut que ce qu'il vaut, c'est-à-dire pas grand-chose.
Amicalement.
Ce livre est noté par
@Alexandre Majorczyk Effectivement, je me suis peut-être emporté...
Quoiqu'il en soit, j'ai le souvenir du jardin ombragé de ma grand-mère où il y avait des asphodèles et de la joubarbe sur les murs. Et ce décor floral m'a énormément aidé...
Merci à vous d'avoir lu et relu ce texte. Dès que possible, j'irai lire votre recueil sur les plantes...
Amicalement, Thierry
@Thierry Rucquois
Pour vous répondre, je ne suis pas sûr que tout le monde puisse vous montrer dans un jardin un asphodèle ou une joubarbe quand il/elle le voit dans un jardin ombragé. :)
En tout cas, j’ai appris quelques mots grâce à votre texte, même si j’avais fait pas mal de recherches au niveau des noms et des descriptions de plantes pour mon dernier recueil, je pense que c’est un domaine assez spécialisé.
Encore une fois bravo pour ce texte qui mérite bien d’être lu et relu.
Amicalement, Alexandre.
@alain.lamoliatte
Un grand merci pour votre compliment.
Sauf erreur, @Tomoe Gozen 2 ne dit pas que mon vocabulaire se limite à cent mots.
Ou alors je n'ai pas compris son commentaire.
Bref, beaucoup de retard dans mes lectures mais dès que possible, j'irai lire votre ouvrage.
Amicalement, Thierry
@Alexandre Majorczyk
Merci pour votre sympathique commentaire.
L'asphodèle et la joubarbe sont des plantes banales que l'on trouve dans n'importe quel jardin ombragé de France. Pas besoin de lire Rustica pour les reconnaître.
Amicalament, Thierry
@Tomoe Gozen 2
Ce texte existe, je ne change rien. Il divise et c'est tant mieux.
Au pire, le "papillon dort"...
@Thierry Rucquois
Continuez, par pitié, à employer des mots comme "sénescent" et "ignifère", qui ne sont des énigmes que pour les bas du plafond. Viseriez-vous, par hasard, le nivellement par le bas ? Ou votre ambition littéraire se résumerait-elle à écrire, comme certains, avec cent mots de vocabulaire ? Faites vivre, nom de Dieu, la langue française, et il y a parfois de l'honneur à aller droit au casse-pipe !
@tous
Oui, il y a sans doute des "surcharges", des lourdeurs, des complications inutiles. Tout comme je savais qu'en employant des mots comme ignifère ou sénescent, j'allais droit au casse-pipe.
Mais c'est ça aussi mBS, un laboratoire à la Frankenstein (bon sujet pour une tribune, tiens) où l'on cherche, triture, malaxe un mot, une phrase, une tournure pour en extraire sa substantielle moelle. En tout cas, c'est ce que j'aime faire, graver une image dans ma tête et la gratter jusqu'à l'os.
Merci pour votre entière franchise. J'aime les commentaires qui nous font avancer. Ce genre de retour m'encourage à progresser...
@Tomoe Gozen 2
J'avais lu quelque part qu'un papillon d'Amazonie (je ne sais plus son nom) voyait tout en "vert". Comme dans un prisme. Je me suis dit, tiens, ça serait sympa de l'inviter dans les jardins de chez nous. Apparemment, il n'a pas supporté le voyage, fidèle qu'il est à ses plantes tropicales, sans doute. Ceci explique peut-être ce côté "peu naturel".
"Pour une poignée de figues" est en attente d'une prochaine lecture. Manier l'humour n'est pas chose facile, mais dans cet exercice, vous excellez.
Par pitié, montrez-vous indulgent envers votre petite soeur.
@Zoé Florent
J'ai rangé "l'écume écarlate" dans les tiroirs, car d'autres idées intéressantes me sont venues à son sujet. Pour plus tard.
Pour le "ventre à terre", oui possible. Je vais y réfléchir.
Votre avis compte. Poster sur mBS, c'est aussi comprendre et analyser la critique. Pas de souci.
@Valérie Pison2
Merci pour vos bons mots. J'habite un appartement en ville. Décrire la nature, c'est un peu s'y rendre, non? J'ai remarqué que votre style d'écriture avait changé avec vos dernières nouvelles.
Toujours un challenge que d'essayer de se renouveler, j'en conviens.
J'ai téléchargé votre "terres du bout" pour une lecture plus attentive.
@Michel LAURENT
Vous avez parfaitement résumé ce que j'ai voulu transcrire avec plus ou moins de réussite.
Ravi que cela vous ait plu.
@Ray Bus
Merci pour votre sympathique commentaire.
Attention toutefois à ne pas vous brûler les ailes...
@Zoé Florent
Accorder trois cœurs à un texte après n'avoir pas manqué de prononcer de graves réserves, voilà qui est d'une belle originalité ! Que ferez-vous, le jour où vous tomberez sur une pépite ? Vite, un nouveau bain de siège !
@Zoé Florent
Allons bon ! Que se passe-t-il ? Un instant de faiblesse ? Non , je vous demande ça, parce que vous nous avez habitués à encenser, en veux-tu en voilà, des auteurs (voulez-vous la liste ?) qui n'arrivent pourtant pas à la cheville, même ici, de M. Rucquois. Prenez vite un bain de siège !
@Thierry Rucquois "Le mieux est l'ennemi du bien", dit-on, et c'est un peu l'impression que j'ai eue à vous lire. Trop de recherches, trop de surcharges... J'ai vraiment préféré le dosage de "Un dimanche de laine". Mais cela reste mon avis, un avis qui vaut ce qu'il vaut, c'est-à-dire pas grand-chose non plus ;-).
Amicalement,
Michèle
PS : j'ai remarqué un "ventre à terre" qui évoque plus la locution adverbiale que la position du chasseur.
PPS : curieuse de nature (on ne se refait plus à mon âge ;-)), je me demande pourquoi vous avez supprimé votre jolie nouvelle "L'Écume Écarlate"...
PPPS : @Tomoe Gozen 2 Vous ai-je sonné, cher samouraï "muriellé et enclumé" ? Essayez de m'oublier pour voir. Je suis sûre que l'effet sera des plus heureux pour nous deux ;-)...
PPPPS : @Tomoe Gozen 2 https://fr.wikipedia.org/wiki/Libert%C3%A9_d%27expression
@thierry rucquois
J'ai vraiment beaucoup aimé ce petit texte, et l'originalité de son point de vue. On butine, on survole, on sent les bruissements du jardin et la chaleur des rayons de soleil.
Les métaphores sont nombreuses et poétiques, seriez vous un tantinet amoureux de la nature et des petits riens qui nous entourent? ....comme je vous comprends.
Amicalement
Valérie
@Thierry Rucquois
Comment vous dire ? C'est peut-être ma faute, mais je trouve que, cette fois-ci, la magie de votre prose n'opère pas. En tout cas auprès de moi. Pour la raison peut-être que votre style si particulier me semble ici par trop concerté. Tout cela manque du naturel qui, en dépit d'une écriture et d'une langue que les mauvais coucheurs pourraient qualifier d'ampoulées, agissait si bien dans votre "Dimanche de laine". Bon, ne prenez pas en trop mauvaise part mon commentaire ; il est au moins la preuve que je ne vous lèche pas le cul, comme dirait si joliment ma petite sœur Natalie (je la fesse, d'ailleurs, souvent pour ça). Après tout, ce n'est qu'un avis, qui ne vaut que ce qu'il vaut, c'est-à-dire pas grand-chose.
Amicalement.