
La rencontre d'un auteur avec une éditrice. Leur parcours amoureux sur fond de crise sanitaire Covid, jalonné de terribles menaces jusqu'à l'exécution de certaines. Ils n'auront pour y faire face que leur amour et leur personnalité. Entre fiction et réalité…
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Cette histoire s'inscrit dans une réflexion profonde et audacieuse sur l'humanité, ses travers, et ses luttes face à l'oppression et aux forces du pouvoir. Mais quelques éléments méritent une réflexion plus approfondie pour renforcer la fluidité et la crédibilité du récit. Voici quelques points à considérer :
Les passages où le narrateur relate des rêves, en particulier celui où il découpe des visages, apportent une dimension psychologique qui déstabilise, tout en symbolisant peut-être le malaise existentiel face à un monde qui se dégrade. Le rêve semble aussi offrir une métaphore de la déshumanisation, que l’on retrouve dans les mécanismes de pouvoir et de manipulation dénoncés tout au long de l’œuvre. Ces éléments viennent enrichir le propos, même si leur interprétation peut rester floue.
Cependant, on pourrait reprocher à l’histoire un certain manque de clarté dans certaines parties. Le texte se perd parfois dans des digressions philosophiques qui, bien que pertinentes, rendent le fil conducteur difficile à suivre. De plus, l’intrigue centrale, bien que présente, reste en retrait au profit de réflexions plus globales sur le destin de l’humanité, ce qui pourrait frustrer certains lecteurs en quête de plus de développement narratif.
Bon courage.
Merci pour votre lecture et commentaire. Le personnage de Morgane est attirant mais c'est aussi une femme de caractère tout aussi attachante. Si vous allez au bout de l'intrigue vous le constaterez sans pour autant qu'elle ne quitte son côté séduisant.
Quel homme n’aimerait pas trouver sur sa route une femme aussi dévergondée, aussi gracieuse, qui dit les choses les plus audacieuses avec un naturel et une sensualité désarmantes qui rend les actes délicats comme coulant de source. L'éditrice, elle est cash, elle ne s'embarrasse pas de conventions et de codes de conduite et c'est ce qui m'a plu chez elle comme lorsque très rapidement elle l'invite à partager son oreiller. Surtout qu’elle se met dans le lit d'une manière originale, on est dans la sensualité la plus exquise et la plus naturelle qui décuplerait les téstostérones de l'homme le plus prude de la terre ou voir même d'un "eunuque" qui prendrait enfin conscience des plaisirs corporels les plus charnels . Puis il y a des paroles qui font fondre : "Tu me plais par morceaux à la manière d’un sublime puzzle". Quelle belle métaphore employée si révélateur du réel plaisir de la découverte d’un être humain vers qui on se sent irrésistiblement attiré. Après j’ai eu du mal à croire à l’histoire, au scénario qui me parait surréaliste, des scènes comme cela, dans la réalité, cela peut exister mais cela doit rester assez rare. En plus elle révèle ne pas être vraiment une éditrice, ses explications pour justifier cela et son entretien avec le narrateur malgré tout m'ont paru très confuses et pas totalement convaincantes. Après ce récit a aussi le mérite d’alerter sur les magouilles des fausses maisons d’édition qui font du business sur le dos de pauvres écrivains en mal de reconnaissance.