
Le 19 février 1911, sous un ciel de trahison et une pluie hallebardesque, Sir Burnham Thorpe, un amiral anglais réputé pour s’être distingué lors de la bataille des forts de Taku en Chine - où il perdit sans gémir un œil, un bras et un bon morceau d’intestin grêle - franchit le portail du n°37 du Quai d’Orsay et demanda à être reçu prestement par Stephen Pichon, le ministre des Affaires Étrangères, afin de l’entretenir d’un sujet des plus alarmants.
Ce livre est noté par
@Zoé Florent
Je me casse sans un regret de cette pétaudière, de ce chaos indébrouillable ! Ce n'est pas un site littéraire, selon moi ! Passé l'extase fugace d'un compliment, il ne reste rien que du vide, des airs de mandoline dédiés à des fous !!!
Bien à toi !!!
@- Laurent Moussard - Ton compte va bientôt disparaître, mon cher Laurent, et une fois de plus, j'hallucine que ce site n'ait pas su apprécier la présence d'un auteur qui sort indubitablement du lot... Piètre consolation que de l'évoquer, mais si je te dis que Joseph Périgot et Philippe Muyl n'ont pas bénéficié de plus d'égards que toi, cela aura le mérite de te donner une idée de la grosseur du vers dans le fruit.
Bises et bon week-end,
Michèle
@Zoé Florent Pour enrichir votre vocabulaire, voilà le synopsis :
"Un portrait de groupe férocement drôle, à la fois moqueur et tendre. Une critique douce-amère du monde littéraire, de ses codes, postures et faux-semblants."
@bichetdenis 001Y "Caricature" vous plaît-il mieux ? C'est modifié. Pour le reste, je n'ai pas envie de me fendre de plus de deux lignes... Bonne continuation. Sans moi, cela va de soi !
PS : @Un deux trois soleil Comme Patratras, vous avez cette tendance à vouloir avoir le dernier mot. Je vous le concède donc volontiers et sans mal, en grande habituée de cette attitude... que je ne qualifierai pas, de peur de relancer la machine...
Je réitère : bonne continuation, mais sans moi...
@Zoé Florent Ma chère Zoé, vous avez raison de commenter par auteur interposé, car il n'est pas certain que vous montiez sur le podium, vous qui hurlez à la mort dès qu'on vous cite. Genre : "Ouh! le vilain !! Je le dirai à notre ami commun !". Par contre j'adore celles et ceusses qui RElisent (pas qui lisent-car ils l'ont déjà lu en maternelle-), tout Balzac en allant chercher une baguette de pain ou en allant au petit coin. Ah l les ineffables postures de la petite bourgeoisie intellectuelle, qui méprise les genres littéraires qui divergent. Et dix verges... comme "dix petits écrivains", c'est beaucoup pour les midinettes de la littérature qui pensent mépriser les auteurs qui leur échappent, en usant de qualificatifs méprisants comme "bluette" qui leur sied tant, concernant leurs écrits consternants... "Miroir, joli miroir..."
@Zoé Florent
Viti n'a pas pu s'empêcher de charger la mule, et te citant toi, Patatras et elle, histoire de me faire entendre que vous aviez raison !!! Elle m'a même écrit en aparté, je cite : "J'ai lu ton texte, et CELUI-CI, je le trouve mauvais". Un peu fort de café, non ?
Tu me connais un peu mieux à présent, jamais je n'ai critiqué les écrits de Viti ni de Patatras, bien au contraire, je les ai toujours sincèrement loués ! Comme toi, jadis j'ai commenté des centaines de textes sur différents sites, (j'ai pu avoir quelques écarts regrettables, égratigné certains textes), mais à 99 % j'ai toujours été positif et surtout constructif dans mes remarques. Mais là on n'est plus du tout dans la critique, ce sont des atteintes personnelles qui n'ont rien à voir avec mes écrits !
Franchement, j'ai beaucoup lu et j'écris principalement à présent pour le plaisir, rien que pour le plaisir. Sur les conseils de Viti, j'ai appris que MBS lançait une nouvelle plate-forme pour auto-édités, et j'ai profité de l'occasion pour redonner une seconde chance à un bouquin qui avait été très mal accompagné ! Bref, je n'ai pas la moindre aigreur de non reconnaissance et je me prends surtout un kif royal lorsque je parviens à torcher un bonne phrase ! Le reste, les lauriers, la gloriole, je m'en tamponne le coquillard, ce qui visiblement leur échappe ! Sur d'autres sites encore, il y a pu y avoir des embrouilles entres auteurs certaines fois, mais de nombreux modos venaient à temps remettre de l'ordre dans le chahut, ce qui n'est toujours pas le cas sur MBS, malheureusement ! Une Patatras se serait fait répudier ad vitam aeternam en cinq sec !
Bien à toi !!!
Après Blondin et Perret, c'est Balzac à présent !!!
Sans blague, faut se pincer !!!
@- Laurent Moussard - N'aimant pas que l'on prenne support sur moi, particulièrement pour déformer mon propos, je vais le clarifier... non sans préciser au préalable que si c'est cela, l'écriture au kilomètre, je prendrai pour un compliment cette remarque, qui se veut désobligeante, à l'avenir.
Ensuite, le hasard voulant que je relise en ce moment "Le lys dans la Vallée", je me disais pas plus tard que tout à l'heure dans la voiture (je profite des voyages pour lire les formats brochés)que ton style m'évoque beaucoup celui de Balzac (l'humour en plus), tout en remarquant que tu cèdes moins à facilité des verbes pauvres, dans tes descriptions.
Pour conclure et en revenir à Martin, il n'y a rien à jeter, et sûrement pas d'avoir tenu à parler de ses "teneurs de porte" souvent ignorés. J'ai lu récemment ici un roman apprécié pour m'avoir fait découvrir ces travailleurs de l'ombre que sont les attachés ministériels. On y retrouve un même microcosme où la hiérarchie est reine et le carriérisme omnipotent. Ma remarque tenait au fait que j'ai eu le plaisir de lire une première version par laquelle j'avais été happée d'entrée, aussi me disais-je encore (je suis très bavarde avec ma pomme ;-)), que tu pourrais commencer par une courte description de Sir Burnham Thorpe marchant sous la pluie. Avec celle que tu en fais plus loin, j'ai déjà la scène en tête ;-)...
Voili voilou, mon cher laurent, "qui écrit comme un Dieu"... Ça c'est un clin d'oeil à "Dix petits auteurs", caricature dans laquelle je suis représentée en pâmoison devant ton génie, et pas que... ce qui me file un sacré coup de jeune :-) !
Merci encore pour ce partage, bises et bonne fin de journée,
Michèle
Je ne t'en veux absolument pas Un Deux Trois Soleil !!! Je n'ai qu'une cible et elle crèvera avant moi : PATATRAS, cette pourriture qui héberge le diable dans son cul puant !!! Plus question de textes, là, rien à branler des textes ! Je veux sa peau, et je l'aurais !!! Elle va goûter aux chaudrons de ma Géhenne, cette foutue salope infernale !!! Désolé d'être aussi grossier, mais ça fait un bien fou d'appeler une SALOPE UNE SALOPE !!!
Merci pour ta réponse, ton humour, ton fair-play, ta modestie et ton amour sincère de la littérature.
Donc deux ou trois choses : 1) Je t'ai effectivement affreusement caricaturé, à partir du fait que tu, je l'ai eu fait, semblais aimer les femmes, jusqu'à la (fo)lie... 2) Je peux modifier ton pseudo pour que tu ne sois pas reconnaissable. 3) Patatras est une M*** sans nom. Demain, c'est sa fête, son tour, j'espère qu'il en plaindra plein sa tronche de bouffon grotesque comme un mec qui passe son temps à chier dans le ventilateur... Un clown, un guignol, un agace-cul, qu'il ne faut pas prendre au sérieux...
Bien à toi, et mille excuses. Mon intention est une franche exagération, une comédie loufoque...
@bichetdenis 001Y
Grand merci Denis ! Mais pas besoin de courage avec ces deux fêlées, je vais les agonir ! Elle me filent la haine et la rage !!! Je vais les démonter à petit feu ces saloperies humaines et foutues tordues !!!! J'ai déjà communiquer avec la Viti sur FB, elle n'ose même pas m'appeler et me dire ses conneries de vive voix !!! Aussi planquée que l'archi débile Patatras ! La merde au cul !!! On n'est plus dans la littérature là, mais dans le règlement de compte ! Elles vont swinguer les foldingues ! Quelle honte quand même de s'acoquiner à une telle pourriture !!!! Vraies salopes, les deux, je ne délire pas ! Les mots sont forts, mais justes !!!
Y a un passif ! J'en parlerai le temps venu, si elles m'obligent à en arriver là !!!!
Ça va chier des bulles !!! Elles veulent de la pub, elles vont en avoir !!!
Pour conclure, je leur crache en pleine gueule, leurs sales gueules planquées derrière leur écran !!!
Bien à toi, Denis !!!
@Catarina Viti Après Raptor, Orlan Mostar, tout part en vrille, tout pète, je n'ai rien inventé avec mon chamboule-tout littéraire, mon jeu de massacre, je ne suis qu'un pâle amateur ou mateur... a peine précurseur... si peut-être un léger don de voyance d'anticipation (fan de JdA)... "La lucidité est la blessure la plus proche du (un, deux, trois) soleil" (René Char)
Laurent,
J’ai souvenir de quelques jours passés ensemble, chez moi, au nom de la littérature. Tu étais à ce moment-là sincèrement à la recherche de ton style. Ou n’était-ce pas toi, mais Zultabix ? Et ensuite, Moussard aurait tué Zultabix ? Possible.
Puisque tu ne veux rien entendre venant de moi (c’est ton droit), écoute au moins Zoé qui te dit exactement la même chose : tu as ajouté de la graisse à ton texte.
Le problème, présentement, c’est que Zoé te dit quelque chose de vrai, mais tu ne l’entends pas. Moi, je te le dis à ma façon, brutale — et tu me connais assez pour savoir que je m’exprime de cette façon uniquement quand je sais raisonner juste — et tu refuses de l’entendre.
OK. Je t'oublie. Tu peux compter sur moi.
@- Laurent Moussard -
D'abord je vous lirai si l'envie me visite (je ne ressens nullement le besoin d'obtenir votre autorisation - il ne manquerait plus que ça ! - sous quelle dictature vivez-vous donc ?) ; ensuite, quand je vois qu'un de vos commentateurs compare votre prose à celles de Blondin et de Perret, je me demande dans quelle dimension de la réalité j'ai glissé sans m'en rendre compte. Et vous, vous avalez ça sans broncher... Chapeau l'artiste ! C'est ce qu'on appelle être lucide !
@Catarina Viti
Ce ne sont que vos avis ! Heureusement, j'en ai d'autres, sur d'autres sites, sinon je ne me serais pas embarqué dans un roman de 800 pages (étant besogneux, j'en suis environ à la moitié). Mais je peux comprendre que cela ne vous plaise pas. L'Ulysse de James Joyce a 50 % d'afficionados et 50 % de haters, si l'on en croit les dires de "La grande librairie". Moi, j'adore Ulysse. Tout autant, j'ai mis 20 ans à rentrer dans Proust ! Certains adorateurs de littérature ne liront jamais Céline pour les raisons que l'on sait. Bref, les goûts et les couleurs !!!
Je vous livre quelques uns de ces avis, non pour vous faire changer le vôtre. Juste comme ça , à titre indicatif . Et, je vous prie de me croire que contrairement à Patatras, je ne me les suis pas écrits à moi même :
- "Sabre de bois ! Quel style ! J’espère que ce n’est pas fini.
C’est ennuyeux, je n’ai pas une critique, pas une réserve à formuler. J’ai souri tout du long et ri au moins cinq fois.
J’ai particulièrement apprécié la richesse (et la perfection) de la langue, le style Grand Siècle, vieille France, lyrique, picaresque, Hugolien, les rapprochements osés, les métaphores peu courantes, les contrastes recherchés, les clichés retournés.
Tout le temps de la lecture, je me suis demandé si on pouvait tenir un style pareil sur la distance.
Hé bien, il semble que oui.
J’ai pas mal pensé à Antoine Blondin, mais encore plus à Jacques Perret.
Comme disent les anglais: "Encooore !"
Ah! oui! j'ai oublié:
....homérique et plein d'humour.
- Excellent, quel brillant feu d'artifice littéraire, c'est rabelaisien, San Antonionesque !... j'adore ... Quelle écriture lyrique, drôle, imagée et pleine de trouvailles. On pourrait penser en lisant certains académiciens que le Français est une langue morte ... Que nenni. Quelle verve ! Je veux la suite !....
- WOUAH ! Quelle écriture ! Quel style et quel humour subtil ! Je me suis vraiment régalée. D'habitude je ne suis pas très fana du style grand siècle pour reprendre l'expression de Champdefaye, mais là je dois dire que j'ai été captivée d'un bout à l'autre du chapitre par l'enchaînement des multiples idées et par la suavité qui émane de quasiment chaque phrase. On sent que c'est très écrit et en même temps cela reste très léger. J'ai vraiment hâte de connaître la suite et je trouve ça très drôle et très osé d'avoir juste effleurer le portrait du héros lors du chapitre 1.
Une admiratrice...
- Bonjour Kokox, c’est encore moi.
J’ai relu la version 2 de ce texte avec autant de plaisir que j’avais eu à lire la version 1 mais, à vrai dire, sans arriver à repérer les différences entre les deux versions.
Je n’ai donc qu’à résumer mes appréciations d’il y a deux mois : richesse (et la perfection) de la langue, style Grand Siècle, vieille France, lyrique, picaresque, Hugolien, rapprochements osés, métaphores peu courantes, contrastes recherchés, clichés retournés, Blondin, Perret, Homère…
J’ajouterai quand même que j’ai particulièrement apprécié les expressions suivantes :
sous un ciel de trahison (magnifique incipit)
des gifles de sabre
et alors oui, vraiment, il se sentit plancton.
où l’on ne pense plus au destin de la France, où l’on ne parle plus à des métèques inintelligibles, où l’on ne remue plus les bras ni les sourcils pour se donner de l’importance,
regarda les furieuses gouttes obliques qui tabassaient la Seine,
mon vieux loup de père
J’ai aussi appris quelques mots dont
Prépotente, Blandice, pertinacité,
qui avec bien d’autres fleurent bon leur siècle.
- J'ai beaucoup souri en lisant, parfois explosé de rire :D. La situation me paraît à peine exagérée, et c'est d'autant plus hilarant !
A ton habitude, on sent une grande connaissance de la langue française dans cet écrit, certaines phrases à rallonge sont génialissimes.
Merci beaucoup pour la marrade et le bon moment de lecture !
- J'adore ces phrasés interminables à la Proust. Du moment que c'est maîtrisé.
Pour accentuer le côté Grand Siècle, il faudrait rétablir quelques subjonctifs négligés (par exemple ... "sans que cet effort n'en rajoutât... ni ne vînt... "
L'écriture est délicieusement surannée, affectée, et le comique de l'expression renforce le cocasse de la situation. Ne manque que la cup of tea avec petit doigt en l'air.
Bon hé bien, à suivre, donc ... ;D ;D
-J'ai eu un peu de mal au début, cette phrase interminable, ça a normalement le don de me faire fuir. Mais j'ai résisté, je suis allée jusqu'au bout, et j'ai bien ri moi aussi ! C'est vivant, agréable, imagé, tonitruant, empesé (euh pas le texte, juste Lucien) ... bref j'ai bien aimé.
Mais en diagonale, j'y reviendrai à une heure moins tardive et je relirai plus posément !
- Comme les précédents commentaires, je trouve ta maîtrise de la langue française assez incroyable. On n'a plus tellement l'habitude de lire des textes de ce genre et ça change agréablement, c'est très agréable à lire. En plus, il y a plein de références, c'est très riche.
Pour conclure, j'aimerais te dire que je trouve ton attitude on ne peut plus désolante Catarina Viti ! Je ne pige absolument pas comment tu peux t'acoquiner avec Patatras qui, même si elle écrit bien, est une pure foldingue dangereuse et incurable ! Cela dit, ça te regarde ! Tu te prends peut-être aussi pour la Reine de Saba du haut de ton minuscule pinacle ! Bref, je préfère nettement être à ma place qu'à la tienne !
Par conséquent, à l'avenir, j'aimerais bien que vous cessiez l'un et l'autre de m'importuner ! Dans l'esprit, ne me lisez plus, ne me commentez plus, ne venez plus me voir ! Oubliez-moi ! C'est bien français ça !!! Vous arrivez à piger ? Et ce serait bien que ce soit une fois pour TOUTE !!!
Bonjour Laurent,
Je partage les avis de Zoé et Patatras (qui disent, au fond, exactement la même chose). Traité ainsi, ce texte est... emmerdant. Zoé l’aura sans doute lu, car elle connaissait l’évolution et la chute (en tout cas, c’est ce qu’elle dit) d’une autre version, mais pour les ceusses, comme mézigue (et sans doute Patra), qui débarquent, c’est en effet long, très long et lourd. C’est, je paraphrase tes termes d’une autre époque, de l’écriture qui se lit elle-même tout en oubliant qu’elle est destinée à un lecteur.
La lectrice, qui a abandonné page 16 (quand même !), pense que si tu lui avais au moins donné un tout petit biscuit dans l’incipit, elle aurait peut-être tenu le coup jusqu’à la page 26 où, selon Zoé — mais je n’ai pas eu son abnégation (ou sa célérité de lecture) pour aller vérifier —, la chose commence enfin.
Bref, pour reprendre le commentaire de Pat., tu sais écrire, mais là, tu fais ce que tu reprochais autrefois à des auteurs comme Pascale Lécosse : de l'écriture au kilomètre.
Parce que "qui aime aime chatoie bien", je te le dis : mauvaise limonade.
@- Laurent Moussard -
Puis-je faire entendre ici qu'on peut apprécier ou non vos textes (c'est selon) sans pour autant être atteint de la gale ou de la rage, sans pour autant être victime de névroses inguérissables ? Et puisque vous parlez de névroses, peut-être devriez-vous vous attacher à réduire les vôtres, lesquelles vous poussent à trépigner comme un gamin mal éduqué (voire pas du tout) sitôt que la vie ne vous adresse pas automatiquement les applaudissements que vous croyez mériter, par un décret du ciel j'imagine.
@ Zoé Florent
Oui, effectivement, j'ai rallongé la sauce ! En fait, puisque personne ne m'attend au tournant, j'ai pris le parti dans cette nouvelle version de mettre les sous-fifres en lumière ! L'amiral est bien sûr plus qu'intéressant puisqu'il n'a pas grand chose à faire. Son allure, son habit, son magnétisme, ses manières parlent pour lui. Par contre, on ne parle presque jamais des teneurs de porte, et pourtant c'est eux qui tiennent la porte aux soi-disant puissants, lesquels s'ils étaient si puissants que cela la tiendraient eux-mêmes la porte ! Enfin, ce retard de jeu m'amusait assez. Je voulais tester l'impatience (l'un des mes travers) sur un personnage qui a l'habitude d'aller droit au bout, mais se trouve obligé quand même de suivre le métronome du protocole !
Voilà, voilà ! De toute façon, je pense que tu seras la seule à le lire sur ce site ! Les gens ne lisent pas ! On a beau leur mettre un commentaire, ils ont l'impression qu'il provient d'un lecteur professionnel dévolu 24/24 H à cette sinécure ! Aucune synergie, aucune émulation, ou si peu !!! Dommage car il y a de meilleurs auteurs qu'auparavant, mais nettement plus feignasses au point de vue retour de politesse !
En plus avec cette foldingue de Patatras qui semble avoir attraper la gale ou la rage et se sert de MBS pour soulager ses horribles névroses , je pense que je ne vais vraiment pas faire long feu ici !
Grand merci pour ta lecture Zoé !
Bien à toi !
Voilà, c'est bien ! T'es contente ?
Et même le Roi des Cons !!!
Bon, finito for today ! Tes synapses me lassent !
Un bon Temesta pour toi, Pif Gadget, et au lit !
Bye
MDR
OK. T'es plus con que la moyenne, c'est entendu.
J'entends surtout que tu es morgane de moi, tu le hurles assez fort ! Perso, quelqu'un que j'abhorre, je ne lui adresse pas la parole !
MDR !!!
File ton tél pour que j'entende ta jolie voix de sirène, mon amour !
La crise est passée ? Tu ne dis plus rien !
@- Laurent Moussard -
Il n'y a pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
@Appoline Patatras
Oh, mieux encore ma chérie, je vais t'expédier dans les bas-fonds de mon indifférence ! Tu pourras t'y pavaner à ton aise, mon amoureuse ! Qui aime bien, châtie bien, tu connais la chanson !
Tu dis t'en foutre ? Pas tant que ça ! Puisque tu y reviens toujours comme une sangsue magnétisée ! Il me fait un bien fou ton amour, ma chérie, en fait ! Je pense n'avoir jamais été adoré de la sorte !
À l'occasion, sors du Moyen-Âge, essaie "Gourgandine Patatras", qu'en dis-tu ? Ou "Moukère Badaboum" !
Elle prend cette allure ma pitié avec toi, elle devient surnaturelle, puisqu'elle se transforme en grands rires à gorge déployée !
Bien à toi Sainte Lilith !
@- Laurent Moussard -
Je sais que vous allez m'en vouloir, que vous allez encore me soupçonner du pire et du plus pire encore, que vous allez vous plaindre dans tous les azimuts, que vous allez me reprocher de ne pas daigner reconnaître votre si évident et lumineux génie, que vous allez sans doute me traiter de salope infâme, que vous allez pleurnicher dans les jupes de l'ineffable Florentine (essayez aussi du côté du clownesque Canal ; vous trouverez une oreille attentive), mais, Dieu ! que tout cela est pénible et sans la moindre once de talent. Vous vous mettez dans la position inconfortable du monsieur qui raconte une blague que lui seul trouve marrante. Pour le moins, c'est gênant.
Vous avez écrit quelques textes d'une belle facture ; je crois que vous avez des facilités d'écriture ; mais, bordel de chierie de chiotte de merde, un peu de lucidité ; cessez de poster tout et n'importe quoi, au seul prétexte que vous l'avez commis. Vous êtes décevant, M. Moussard. Tant qu'à faire, essayez de ne pas poster sur le site vos fonds de tiroir. Vous les avez écrits, c'est entendu, mais leur seul destination est la corbeille. Car, au bout du compte, comme disait Machin (je ne vous donne pas son nom, car je vais encore passer pour un insupportable bas-bleu), "c'est en écrivant qu'on devient écriveron". Ce qui signifie que tout n'est pas à lire.
Vous pouvez m'expédier, au choix, dans les limbes ou en enfer : je m'en fous !!!