
Qui , mieux que Mariano José de Larra, écrivain romantique et journaliste , fustigeant d’une plume acérée les péchés mignons de ses compatriotes, pour nous faire découvrir l'Espagne de 1830 ?
Mais par delà l'anecdote,la saynète cocasse issue de la vie quotidienne, il nous interpelle sur bien des sujets qui restent d'un surprenante actualité...
Ce livre est noté par
merci @bernadetteL et Mokeddem III ,Je ne me suis jamais ennuyé en traduisant Larra et il semble que la lecture ne vous a pas été déplaisante non plus,ce qui est une forme de récompense .
@ARFORD merci infiniment pour ce commentaire ! Je ne pouvais pas espérer meilleure réception.
Vous avez vu juste : Larra est considéré par les Espagnols comme le meilleur prosateur du XIXe siècle ( ce que j'ai essayé de rendre autant que possible dans un français de la même époque) comme le père du journalisme moderne et de l'essai .
Pas mal pour quelqu'un qui a mis fin à ses jours à vingt-huit ans...