Alain Lamoliatte

Biographie

Je suis né à Marseille, mais j'ai bourlingué partout en France et en Allemagne, notamment à Berlin dans les années 80. Amoureux des mots, j'ai toujours écrit. Mes romans sont imaginaires, mais je m'efforce à ce que les histoires soient réalistes.
Bonne lecture à tous.

Alain Lamoliatte a noté ces livres

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Chère Alhéna, on ne voit bien qu'avec le cœur, disait un certain Antoine (enfin son renard). Cette fable peut s’interpréter de deux façons. La première: l'amour rend aveugle et la seconde: il ne faut pas s’arrêter à la première impression. J'ai beaucoup aimé cette histoire de fée dont on ne se contente pas que des miettes. Et puis raconter avec votre art de la narration, ces miettes là sont dignes des meilleurs pâtissiers. Puissent toutes les fées vous réconforter dans les moments que vous traversez. Bien à vous. Alain.
Publié le 06 Mars 2025
3
Bonjour Alhéna, au début je me suis dit que j'aimerais connaitre cette Alcine, si belle, si douce. Puis vous décrivez son vrai visage. Mais encore une fois, cette légende doit nous servir à ne pas regarder les apparences et nous méfier de ce qui est trop parfait. Mais le bien triomphe toujours comme l'amour, le vrai. Comme le disait un ami à moi, pourquoi irais-je dans un musée quand j'ai une toile de maitre chez moi? Mais bon si je dois être transformé en arbre, qu'il soit fruitier pour que les oiseaux viennent s'y nourrir. Merci encore pour cette belle histoire. Alain.
Publié le 01 Mars 2025
3
Chère Alhéna, encore un passionnante histoire de fée. J'ai aussi vécu en Poitou et là bas, le mythe de Mélusine est très présent. Si aujourd'hui, on ne la craint plus comme celle qui annonce la mort, on l'admire pour avoir battit tant de châteaux, comme celui de Parthenay. Merci de faire revivre ces mythes oubliés. Alain.
Publié le 25 Février 2025
3
Bonjour Fernand. Votre texte est très intéressant. Vous le dites vous même, cela aurait mérité deux cent pages de plus. Néanmoins, vous brassez un éventail déjà conséquent en 5. Je pense que l'on a le même age (je me fis à votre photo), donc permettez-moi deux réflexions. J'ai une maladie neurologique qui avant traitement chimique, m'a fait perdre la mémoire. Il nous reste néanmoins la mémoire reptilienne, l'instinct, qui nous permet de savoir ce qui se mange ou pas. Deuxio (Frédéric Dard dixit) les machines ne sont pas intelligentes, l'IA est un terme markéting. Un ordinateur a des algorithmes qui lui disent ce qu'il doit faire dans telle situation. Mais revenons à l'essentiel, merci pour ce moment passionnant. Alain.
Publié le 25 Février 2025
3
Chère Alhéna, mon dieu que cette histoire est belle. Je ne la connaissais pas bien qu'ayant vécu la majeure partie de ma vie dans l'Est de la France. Je pense moi aussi, qu'il faut savoir pleurer pour aimer. Cette bonne fée a dû se pencher sur mon berceau quand j’étais minot. Pourtant, les gens autour de moi disaient que rien n’effacerait jamais le sourire sur mon visage. On peut aussi pleurer de joie. Merci pour ce doux moment. Bien à vous, Alain.
Publié le 18 Février 2025

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