A.P. Gounon

@Parthemise33 Alors là, ce n'est plus Parthemise, c'est lady Lovecraft ! Annie Pic nous avait déjà effrayés avec son Jeannin, mais vous, lady Lovecraft, vous surenchérissez avec votre "chose" innommable, sortie tout droit de Lovecraft... Je ne regarderai plus mon ordinateur comme avant, mais heureusement, je suis douée pour la procrastination... Merci, chère Parthémise, de nous faire rire encore. Merci bisous merci !

@galodarsac Bravo pour votre uchronie si drôle (ou pas ?). Heureusement que c'était un poisson d'avril. Vous m'avez fait peur ! Bien à vous. Anne

@Parthemise J'ai passé un délicieux moment avec votre ébouriffant Noël, chère Parthemise. A Budapest, en plus, où je retournerais bien chez Gerbeaud déguster un gâteau ! J'ai adoré le style élégant et désinvolte, l'humour de vos comparaisons, le mystère et les clins d'oeil... Comme on aimerait adopter à la fois le mendiant et le chat! Ah Nergal ! J' échange mon rouquin plan plan contre Nergal ! Merci chère Parthemise pour votre humour. Bisous. Anne

@Damian Jade Bonjour Damian, J'ai lu d'une traite votre roman, plutôt noir et très bien écrit. Vous traitez avec une désinvolture bienveillante ce sujet original et un peu tordu. Vos héros sont attachants. Le docteur est tout de noblesse et de retenue. Germain lui, capable d'autopsier le corps de sa maîtresse sans trembler et de soupçonner l'homme qu'il aime de meurtre est un jeune homme plutôt inquiétant. Au début, les deux me font penser à ces personnages de Marivaux qui dissèquent sans fin leurs sentiments et leurs désirs avec une élégance et une subtilité délicieuses. Puis Marivaux s'évapore petit à petit et c'est dommage. Mais tel quel, c'est encore un très bon roman.

@Annie Pic Bonjour Annie, Après "Aux frontières de l'âme" que j'ai beaucoup aimé, comme je vous le dis dans mon commentaire, j'ai lu d'une traite "Possession virtuelle", angoissante peinture des rapports complexes entre l'écrivain et son ordinateur. C'est très bien rendu et Jeannin fait vraiment peur! Petite question : pourquoi ce nom, Jeannin ? Merci pour cette nouvelle dont le sujet passionnant est très bien traité. Anne