388 pages, ça peut paraître décourageant… et pourtant, cela se lit comme on boit une bonne tasse de café un samedi matin, un journal à la main, en prenant son temps, en regardant les passants dans la rue un matin de fin d’été et en reprenant le fil de l’actualité. Très bien menée et écrite. Presque comme une histoire qu’on aurait tous lu il y a quelques années à propos d’un trader de La Défense.
Publié le 09 Septembre 2015