Une écriture et un récit symphonique, efficace et troublant, un bel hommage à tous ceux dont le domicile n’est pas celui que l’on croit. Avec ses extrêmes, entre le sang et le minéral, entre le quai aux fleurs et la tente de SDF, les bruits de bottes et l’enchevêtrement des baisers. À y songer, mais c’est un avis très personnel – votre récit symphonique m’évoque métaphoriquement l’expérience de l’adolescence, sans domicile, sous danger, à la quête, à la vie et à la mort (votre titre l'indiquerait un peu) Impressionnant. Merci pour cette lecture.
Publié le 22 Octobre 2024