Laurance Tallergé

Biographie

J’adore les livres depuis que j’ai découvert l’océan des mots.
« Passion» et «patience» sont pour moi deux conditions nécessaires, en écriture.
J’aime aussi lire les auteurs inconnus. Je suis au bon endroit !
Ce que je recherche chez vous tous, « écrivailleurs » comme moi ?
Un style, des idées, des émotions, douces ou fortes, une écriture sincère.
Bonne continuation à tous et merci à ceux qui feront l’effort de me lire.

Laurance Tallergé a noté ces livres

2.01
@Diane Klend Je lis très peu d’autobiographies. Les commentaires sur votre livre m’ont incitée à le parcourir. Je ne vous cache pas que j’ai un peu douté de son intérêt avant la 50ème page environ. Un flot un peu désordonné, pas mal de fautes d’orthographe et de conjugaison, des incohérences de temps. J’étais prête à lâcher et malgré tout je me suis accrochée. Un je ne sais quoi me disait de continuer...l’impression que l’histoire en elle-même valait la peine de sauter par dessus toutes ces imperfections textuelles… Bien m’en a pris. Au fil de ma lecture, l’inondation des débuts (due au « déversoir » émotionnel) se maîtrisait, l’écriture prenait de la personnalité. Je vous ai lue jusqu’au bout. L’enfance a été difficile pour la petite fille que vous étiez, sans aucune affection de votre mère. L’amour des parents est le bien le plus important. Dans l’histoire, une grand-mère aimante a été salutaire. Le manque de considération et de tendresse vous a poussée dans les bras de nombreux hommes. Lorsqu’on a un tel déficit d’amour ce n’est pas rare. Mais quelle concentration de minables et de manipulateurs autour de vous…et de garces du même acabit aussi ! C’est ahurissant. Ils ont dû percevoir votre besoin affectif et en profiter. Malgré toutes ces vicissitudes, vous avez su vous construire professionnellement et aimer vos propres enfants comme vous auriez aimé qu’on vous aime. Et quelle détermination ! Votre histoire m’a touchée et votre style dynamique montre votre capacité de régénération. Je vous souhaite bonne chance et serai au rendez-vous pour la suite !
Publié le 23 Mars 2025
3
@Laurent Moussard Il serait indécent ici de parler de talent et de style…mais vous l’avez, monsieur Moussard. Passons à l’essentiel : votre famille a connu un moment des plus difficiles avec cette séparation causée par l’anorexie de votre fille. C’est inhumain, imprévisible, vous vous flagellez de n’avoir pu empêcher cela. De son côté l’équipe médicale fait son travail et tous les malades sont pour elle sur le même pied d’égalité. Pour avoir côtoyé un jour des personnes confrontées au problème, je sais qu’il est difficile de comprendre qu’on « punisse » en quelque sorte ces jeunes dont on ne sait pas tout à fait, à part le mal-être dont ils souffrent, ce qu’ils désirent réellement. Vivre ou mourir ? Ils ne sont pas en état de le savoir, « coincés » dans « un état » qui semble avoir pris le dessus sur leur volonté. Mais qui peut hélas évoluer jusqu’à la fin de leur existence physique…Certains se sentent « aériens », indépendants des besoins terrestres, incapables de redescendre sur la terre ferme. L’entourage est écarté du processus. On ressent bien dans votre poignant témoignage la détresse et la colère qui vous assaillent, vous et la maman de cette jeune fille. C’est « inhumain » mais conservatoire, extrême mais sans doute nécessaire. La famille n’a pas les outils pour gérer au mieux cette maladie « à la maison ». Même l’amour de parents irréprochables et aimants ne peut pas tout. Vous décrivez tellement bien cette palette de sentiments qu’on s’en approche au plus près en vous lisant ! Votre fille, avec une simplicité et une sincérité touchantes, m’a aussi beaucoup remuée. Je suis heureuse que Nina se tourne vers l’écriture, ce formidable outil permettant aussi de renouer avec soi. J'espère qu'elle est plus heureuse, elle a en tout cas la chance d'avoir une bonne famille et des ressources personnelles. Merci pour ce témoignage. L.T
Publié le 22 Mars 2025
3
@galodarsac Beau recueil de poésie classique aux airs de Ronsard. Tout est très bien écrit et joliment mis en page. J’ai surtout apprécié « Rondeau du bel art, Petit art poétique, Ballade du temps jadis. Et adoré Le départ, témoignage très émouvant et sincère suite au deuil d’un père aimé et admiré. Les larmes sortent avec violence, à la hauteur dramatique d’un évènement soudain...brutal et comme écrit avec des larmes de sang. Le tout est un ensemble recommandable pour les novices en poésie classique voulant se frotter à cet art hyper exigeant. Donc bravo ! Petit bémol : le côté restrictif vis-à-vis d’autres formes de poésie. L’hermétisme est enfermant…Enfin, il faut reconnaître à Monsieur Galodarsac un talent incontestable pour son art, faisant de lui un chantre passionné, un résistant de cette poésie qui ne fait plus recette, donnant en cela encore plus de beauté à cette passion. Comme une espèce à préserver…
Publié le 21 Mars 2025
3
@galodarsac Cette nouvelle très travaillée transpirant la joie et l'humour m'a beaucoup plu et emportée de bout en bout. Pas adepte du style "ampoulé", son utilité s'est révélée au fil des pages et fait partie de son charme. Ce vieux couple est attendrissant. L'étroitesse des conditions de vie des gens "chiches" ? Ils n'avaient jamais testé. Ah, ces meublés minables des débuts des jeunes couples, pleins d'amour et de promesses ! Toujours attendrissant des années plus tard. L'idée du mari excentrique, d'organiser un dîner amoureux dans un taudis, vêtus tous deux de fripes, ne manque pas de sel. J'ai été baladée jusqu'à la fin, très drôle. Le mélange prose et vers est d'autre part très pertinent. Bravo, "Galo" ! L.T
Publié le 19 Mars 2025
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@Pierre Sansberro J'ai apprécié cette histoire où il est question d'un manuscrit qui parle de sa propre vie auprès de son créateur, et après. C'est plutôt original, je l'ai lu avec plaisir car il y a beaucoup d'humour. J'ai vraiment apprécié la fin ! Je ne veux pas tout dévoiler. Autrement, la lecture serait plus agréable avec des espaces et la "justification" permettant d'aligner un texte entier. (icône justifié après mise en surbrillance du texte). Bonne continuation à vous ! L.T
Publié le 15 Mars 2025

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