Zultabix

Zultabix a noté ces livres

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Tes mots comme terreau, ta sueur comme rosée, ont fait pousser sur le bout de ma langue le joli mot "merci". Bien à toi !
Publié le 28 Octobre 2016
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Ce feu dévore le lecteur ! C'est superbement écrit et haletant. Mille bravos ! Bien à toi !
Publié le 13 Octobre 2016
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Les pieds sont dans le plat, mais la source du délire se trouve bien dans la caboche de Bernadette. Flots inextinguibles de folie douce, cabrioles à la Jarry, cul par dessus tête à la Queneau, il est préférable d'attacher sa ceinture pour ce rodéo hilarant à Foutraque City. On se croirait un peu dans "L'automne à Pékin" de Boris Vian qui possède cette jubilatoire singularité de ne parler ni de l'automne ni de Pékin. Ca pétille à chaque page et ça produit des flammes de joie. Bref, un jeune auteur galopin sur lequel le XXI ème s. devra compter pour renvoyer le Prozac aux oubliettes ! Je recommande vivement. Bien à vous. PS : La grand souk de MBS n'est pas composé que de lecteurs. Mais surtout d'auteurs. Si vous voulez plus d'avis sur vos livres, pensez à suivre les recommandations du site : allez lire et commentez les autres. En cliquant sur mon pseudo, par exemple, vous trouverez comme par magie une douzaine de nouvelles. Les retours font toujours plaisir ! :)
Publié le 12 Octobre 2016
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Il est 5H26, je viens de parachever la lecture du long extrait de "Constance Deschanel", accompagné de deux kawas et de mon chat Nimzo pour Nimzowitsch Aaron, célèbre joueur d'échecs russe et danois né en 1886. Eh bien, chère "mademoiselle Anne Loréal", je vais employer une expression qui va sans doute vous faire bondir pour vous dire mon sentiment : vous m'avez troué le cul ! Désolé, il est fort tôt et je n'ai pas encore les expressions idoines bien réveillées. Tant et si bien que j'ai pris la première qui me traversait l'esprit en clôturant votre frustrante page 156. Alors pourquoi une telle expression plus digne d'Aphonse Boudard que des soeurs Brontë pour encenser votre bel ouvrage ? Parce que dans ce monde, il ne doit pas y avoir des masses d'ingénieurs en mécanique, ayant passés vingt dans l'industrie métallurgique, qui écrivent comme vous écrivez, de manière aussi élégante et romanesque. Pris dès l'entame dans l'immersion totale de votre moitié XIX ème s. industriel, nous ne sommes pas ici dans la lutte des classes, mais plutôt dans le rapprochement des classes, et cette jolie audace de votre héroïne m'a beaucoup touchée. Votre récit pour l'heure est, me semble t-il, tenu de bout en bout. Vous avez dû user bien des chandelles pour le ciseler, mais l'on en ressent absolument pas l'effort. C'est aussi fluide que le courant de la Loire. Ayant cueilli toutes mes premières fleurs encore fraîches de rosée, je cesse là mes éloges et vous dis à très bientôt pour lire l'éventuelle suite de Constance et Gabriel ! Bref, je recommande vivement. Bien à vous ! PS : J'ai relevé très peu de fautes d'inattention ou de coquilles, mais page 53, peut-être pourrez-vous ôter le "n" superfétatoire à "Les discussions portaiennt".
Publié le 07 Octobre 2016
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Pierre Perret connaissait tout sur le zizi. À présent, lorsqu'un ami me demandera : "Et pour les gamètes, tu penses à qui ?", je lui rétorquerais illico presto : "Pour les gamètes, c'est Fredo du CNRS. Il connaît tout sur les gamètes.". Bref, j'ai l'air comme cela un peu moqueur, mais j'ai été intrigué par votre titre et je me suis plongé avec mes humbles moyens cognitifs dans votre ouvrage. Difficile de juger un tel travail lorsque l'on est néophyte et que la physique/chimie et les mathématiques vous ont expulsé de l'Education Nationale dès la seconde S. Aussi, je me permets de vous décerner cinq étoiles les yeux fermés pour votre essai, pour votre humilité et votre grand courage, pour avoir réussi à escalader pas à pas la magnétique et fascinante montagne de la science, et pour, en son sommet, avoir pu servir ainsi l'Humanité. Bien à vous, cher Fredo !
Publié le 04 Octobre 2016

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