Zultabix

Zultabix a noté ces livres

3
Je vois que nous sommes à peu près de la même génération. C'était soit les Kickers, soit passé pour une tête à Clarks sous la pluie. On juge souvent un homme à ses chaussures. Pourtant seule la chaussure sait si la chaussette a des trous. Merci pour ce petit texte qui m'a fait remarcher sur le chemin de mon enfance. Bien à toi !
Publié le 14 Septembre 2016
3
Que te dire Didier au sujet de "L'héritage de Gaïa" ? Je ne vais pas faire durer mon stupide suspense plus longtemps. C'est bon, c'est très bon même ! C'est pensé aux petits oignons, c'est écrit d'une main universelle, c'est calibré à la virgule. Dès les premières lignes, on se laisse embarquer sur ta pirogue, prêt à descendre l'Amazone les yeux fermés. Le "Réveil de Déborah" monte magnifiquement bien en puissance et nous révèle son choc visuel final, sans esbroufe, avec juste ce qu'il faut de mots et d'angoisse. Bref, c'est maîtrisé de bout en bout. Sinon, le roman est-il achevé ? As-tu cherché des éditeurs ? As-tu essuyé des refus ? En attendant tes réponses, je te souhaite bonne continuation dans ton écriture ciselée. Bien à toi !
Publié le 12 Septembre 2016
3
Salut Tristan. Connaissant bien la Bolivie (La Paz, Sucre, Potosi, Salaar d'Uyuni, etc), c'est donc fort intrigué que j'ai été magnétisé par "Le pacha sans la mama". Ton texte est fort bien écrit, mais relève à mes yeux, encore pour l'heure, beaucoup plus du journal de voyage que d'une véritable épopée romanesque. Peut-être que cet extrait n'est pas suffisant pour me permettre de juger plus avant les tenants et les aboutissants de ton oeuvre. Peut-être que les choses se préciseront par la suite et que je pourrai aussi voyager un peu à l'intérieur de ta tête, de ta paillasse. En attendant la suite éventuelle, je t'offre cinq étoiles, pour m'avoir ré-embarqué à peu de frais dans ce pays si pauvre aux paysages si envoûtants et luxuriants ! Bien à toi !
Publié le 09 Septembre 2016
3
Un récit passionnant de bout en bout, du moins jusqu'à la page 100, juste avant le chapitre 5 : Saladin (me pardonneras-tu, j'ai tant de choses à lire) qui s'accompagne d'une prose sobre et élégante, d'une écriture épurée qui ne consent qu'à la subtilité de l'action et de l'émotion. Bref, on sent le taf de bénédictin à chaque ligne. Seul léger bémol, les dialogues sont peut-être parfois un peu trop ampoulés. Mais comme le soulève également Lisa DJ, c'est sûrement la volonté de traduire la tonalité respectueuse de l'époque ! Bien à toi et bonne continuation dans tes oeuvres !
Publié le 08 Septembre 2016
3
J'aime les transcendances, me laisser bringuebaler comme un fétu au-delà du perceptible et de l'intelligible. J'aime le petit peuple qui dépasse ses déboires et ose enfin se mettre au monde. En cela, je trouve que la parabole de ton roman est bien goupillée jusqu'à la téléportation finale. L'Arch de la défonce qui se métamorphose en Arch d'alliance, nous sommes de nombreux Bukowski a caresser ce rêve sans jamais avoir l'audace de le réaliser. Bien à toi Romain-roman !
Publié le 06 Septembre 2016

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