Zultabix

Zultabix a noté ces livres

3
Beaucoup de tendresse et de retenue dans cette romance du troisième âge. L'écriture est naïve, dépouillée de tous artifices, et touche droit au coeur. Attention cependant aux quelques fautes d'orthographe et aux "ça" plutôt qu'aux plus orthodoxes "cela". Bien à toi !
Publié le 23 Juillet 2016
3
Lu jusqu'à la troisième partie "Paris". Que vous dire, j'ai trouvé cela remarquablement écrit. Un bien bel hommage ! ! Bien à vous !
Publié le 05 Juillet 2016
3
Lu une centaine de page d'un trait. Les romances contrariées ne sont pas vraiment ma tasse de thé, mais je dois avouer que vous écrivez remarquablement bien et que je ne me suis pas ennuyé une seule seconde. Les dialogues sont mordants, l'intrigue avance sans accroc, bref toutes mes félicitations ! Est-ce votre premier ouvrage ? Bien à vous !
Publié le 05 Juillet 2016
3
Toute ma sympathie et mes félicitations pour ce petit texte sensible. De la part d'un odieux carnivore qui tente de corriger sincèrement ses fringales de viande avec le temps. Progressivement, les esprits changent sur cette habitude culinaire barbare et archaïque. Et c'est tant mieux ! Je ne désespère pas de déguster mon premier steak végétal avant de quitter cette terre. Bien à toi !
Publié le 30 Juin 2016
3
A travers Ludwig, Maayan pose cette question d'ordre quasi métaphysique : pourquoi un bateau ne posséderait pas une âme ? Un jouet, un fauteuil, une statue, une danseuse tournant dans une bouteille... Parmi tous les objets qui nous entourent, pourquoi certains prennent-ils à nos yeux une valeur particulière ? Souvent liés à un souvenir, à un être aimé, les objets cristallisent nos émotions et nos sentiments : amour, tristesse, joie, peur, désir, jalousie... On entretient avec eux une relation intense, voire passionnelle. On les aime, on frémit à l'idée de les perdre, on cherche frénétiquement à les retrouver... Témoins d'un fragment de notre histoire, ils sont aussi une part de nous-même dont nous avons du mal à nous séparer. Ils font partie intégrante de notre vie psychique. Si les objets ont bien une âme, elle est alors un reflet de la nôtre, puisqu'ils n'existent qu'à travers nous. Maayan nous invite à songer qu'ils existent, aiment et ressentent aussi bien en dehors de nous !
Publié le 22 Juin 2016

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