@Monique Louicellier
Bonjour Madame,
J'adore les délicieuses critiques dont vous m'honorez régulièrement. J'en conclus que vous m'aimez beaucoup et je m'en réjouis! Je m'inquiète malgré tout de voir que vous arriveriez à détecter des intentions porno-pédo-je-ne-sais-quoi dans les romans de la Comtesse de Ségur!
De grâce n'attribuez pas à d'autres vos propres obsessions!
Ou peut-être étiez-vous encore dans un état second ?( un petit verre de trop ?), comme le jour où vous m'avez dit de ne pas me prendre pour Phèdre, dont l'oeuvre principale est, comme chacun sait, "Racine"?
(Les lecteurs pourront relire avec bonheur votre superbe commentaire sur "L'Otage perverse")
Bien à vous.
Bonjour,
Je n'aime pas du tout. Je me suis arrêtée en page 20, chapître plage, qui semble étrangement comme écrit par une autre personne, dans un style d'écriture un peu meilleur que celui du premier chapître, l'atelier de modiste.
Pourquoi ?
Principalement parce qu'on dirait des scenari porno et pire pédo.
Même suggéré, c'est grave... Et ça plait à certains/es ? C'est grave !
@Pierre D'Arlet
Diantre ! Quelle belle surprise ! Bercé (envouté ?) par la douceur et la poésie du texte, qui n'a pas été sans me rappeler quelques très grandes pages de l’Immense Marguerite (je parle de Duras, évidemment, ma déesse et mon absolu – comme, par exemple, dans "le ravissement de Lol. V. Stein"- ; pas de l’autre, l’académicienne dont les textes empesés m'ont obligé à passer la moitié de mon temps dans le dictionnaire pour les décrypter !), j'ai failli passer à côté de la construction de l'histoire, aussi audacieuse qu'intéressante ! Bien sûr, en ayant pris de tels risques, vous vous êtes privés de l'attention du lecteur "de base". Mais vous connaissez mon point de vue : peu importe la reconnaissance du public si l'on a le sentiment d'être parvenu au bout de son projet et d'en concevoir quelque fierté.
Bravo et merci !
Je profite de l'occasion, mais cela n’a rien à voir avec « La semaine dernière » pour confesser que vos poésies m'ont hélas laissé plus sceptique : classiques, manquant d’audace et de créativité. Mais il convient de préciser que, hors Baudelaire, Verne et Rostand, je n'ai que peu de goût pour la littérature d'avant 20ème siècle. Il y aurait bien Hugo, mais son aveuglement bonapartiste me prive d'avoir un point de vue objectif sur son oeuvre. Quoi qu'il en soit, ce point de vue n'engage que moi et ne suggère en rien que vos alexandrins soient mal écrits ! Nul doute qu’ils séduiront… un autre public !
Merci @galodarsac d'avoir amicalement lu une de mes toutes premières tentatives d'écriture. Je suis très sensible au fait que vous vous intéressiez à ce que je publie, et vous remercie pour ces étoiles qui sont peut-être un peu exagérées...
Bien amicalement.
Je découvre ce livre un an après sa parution et j'en suis tout retourné, que de pudeur et d'émotion dans ce très touchant récit, tout empreint de poésie et de joie... Et raconter cela sous forme d'une semaine intemporelle, dont on comprend le pourquoi à la fin, donne une originalité surprenante à la forme, qui vient parfaitement servir le fond. On ressort de cette lecture complètement retourné, merci pour ce merveilleux partage !
Vous avez eu raison de publier l’histoire de cette amie proche. Vous la racontez avec une grande finesse, avec pudeur. C’est beau, c’est dit de manière originale, inattendue, et oui, vous faites passer beaucoup d’émotion. Merci de nouveau.
Merci @Isabelle Reynaud de votre commentaire si agréable.
J'ai voulu conserver , en racontant simplement sur le papier son histoire, le souvenir d'une amie très chère.
Ce petit récit n'était en aucun cas destiné à être publié, mais comme pour m'amuser j'avais mis en ligne une autre histoire, j'ai ajouté celle-ci, et si elle émeut quelques lectrices, tant mieux...
@Pierre d'Arlet
Deux adjectifs me viennent spontanément pour exprimer mon ressenti sur votre roman : Magnifique et Surprenant.
Magnifique de tendresse- de tristesse aussi-. Je me suis laissée embarquer avec la légèreté du violon de la belle Juliette et j'ai eu l'impression d'entendre les accords de la Méditation de Taïs, tandis que je devorais son histoire. J'avoue ne rien avoir vu venir jusqu'au dernier jour (vendredi) et c'est tout à votre honneur ; cela prouve que vous savez captiver vos lecteurs.
Bravo !
Ps: je suis désolée, je n'arrive pas à noter. Mais je vous décerne 6 étoiles ;-)
Amicalement,
Isabelle
Publié le 05 Mars 2021
Pierre d'Arlet
Biographie
Je suis Ingénieur de formation, et m'amuse à raconter des histoires.
Quelquefois elles sont...
Ce livre est noté par
Bonjour,
Récit très frais et très authentique.
On est très triste quand on arrive à la fin de l'histoire.
@Monique Louicellier
Bonjour Madame,
J'adore les délicieuses critiques dont vous m'honorez régulièrement. J'en conclus que vous m'aimez beaucoup et je m'en réjouis! Je m'inquiète malgré tout de voir que vous arriveriez à détecter des intentions porno-pédo-je-ne-sais-quoi dans les romans de la Comtesse de Ségur!
De grâce n'attribuez pas à d'autres vos propres obsessions!
Ou peut-être étiez-vous encore dans un état second ?( un petit verre de trop ?), comme le jour où vous m'avez dit de ne pas me prendre pour Phèdre, dont l'oeuvre principale est, comme chacun sait, "Racine"?
(Les lecteurs pourront relire avec bonheur votre superbe commentaire sur "L'Otage perverse")
Bien à vous.
Bonjour,
Je n'aime pas du tout. Je me suis arrêtée en page 20, chapître plage, qui semble étrangement comme écrit par une autre personne, dans un style d'écriture un peu meilleur que celui du premier chapître, l'atelier de modiste.
Pourquoi ?
Principalement parce qu'on dirait des scenari porno et pire pédo.
Même suggéré, c'est grave... Et ça plait à certains/es ? C'est grave !
Merci @galodarsac d'avoir amicalement lu une de mes toutes premières tentatives d'écriture. Je suis très sensible au fait que vous vous intéressiez à ce que je publie, et vous remercie pour ces étoiles qui sont peut-être un peu exagérées...
Bien amicalement.
Merci @Isabelle Reynaud de votre commentaire si agréable.
J'ai voulu conserver , en racontant simplement sur le papier son histoire, le souvenir d'une amie très chère.
Ce petit récit n'était en aucun cas destiné à être publié, mais comme pour m'amuser j'avais mis en ligne une autre histoire, j'ai ajouté celle-ci, et si elle émeut quelques lectrices, tant mieux...
@Pierre d'Arlet
Deux adjectifs me viennent spontanément pour exprimer mon ressenti sur votre roman : Magnifique et Surprenant.
Magnifique de tendresse- de tristesse aussi-. Je me suis laissée embarquer avec la légèreté du violon de la belle Juliette et j'ai eu l'impression d'entendre les accords de la Méditation de Taïs, tandis que je devorais son histoire. J'avoue ne rien avoir vu venir jusqu'au dernier jour (vendredi) et c'est tout à votre honneur ; cela prouve que vous savez captiver vos lecteurs.
Bravo !
Ps: je suis désolée, je n'arrive pas à noter. Mais je vous décerne 6 étoiles ;-)
Amicalement,
Isabelle