Ce texte était à l’origine une pièce de théâtre.
Deux acteurs développaient chacun une histoire ayant le même thème. La solitude, l’un était dans le désert et l’autre dans la foule.
Un film passait derrière eux commentant leurs deux histoires n’ayant rien à voir l’une avec l’autre. Si ce n’est, que finalement, elles auront le même dénouement.
N’oubliez pas, quoi que vous lisiez, c'est une fiction !
Cela m’a été très difficile d’en faire une nouvelle tout en gardant l’esprit de la pièce.
Bon voyage.
Ce livre est noté par
Ma chère @Chanelle 75
Merci d’avoir consacré du temps à lire ce texte, difficile à lire de par sa présentation atypique originale, mais indsicutablement risquée.
Il faut dire qu’à l’origine, c’était une pièce de théâtre.
Je l’ai relue dernièrement, et je vais y apporter prochainement quelques petits changements.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF
Mon cher @Fernand Fallou,
Une remarque à propos des stéréogrammes : C'est une illusion d'optique spectaculaire, mais qui devrait être agréable et relaxante.
Je pense que c'est un exercice à pratiquer avec modération, en évitant de se crisper.
Je conseille de consulter un orthoptiste au moindre problème (fatigue oculaire...).
Il y a de nombreux sites internet sur le sujet. Par exemple :
https://www.vision-alternative.com/stereogrammes/
Bien amicalement
Jean-Pierre
Mon cher @Fernand Fallou
A peine écrit mon 1er commentaire, j’ai réalisé être passé à côté de l’essentiel. Cette histoire est aussi une fable sociologique et écologique ! Par le pouvoir de l’argent le jeune ingénieur corrompt la société nigérienne en « s’achetant » les services de la jeune Aïchatou : un phénomène qu’on retrouve dans les pays pauvres, à Madagascar par exemple. Et plus généralement la prostitution des valeurs culturelles et des traditions par le tourisme de masse (Masaïs qui se trémoussent devant les touristes au Kenya). Par son aveuglement de scientifique, le jeune ingénieur saccage son environnement naturel, comme nous l’avions fait en détruisant nos bocages dans le remembrement des terres agricoles. Au nom du modernisme et de la productivité, nous ravageons la terre, la mer, les habitats naturels, nos paysages pour toujours plus d’autoroutes, de barres d’immeubles, d’aéroports, de lignes à grande vitesse, d’extraction des ressources naturelles.
Pour le Cessna, bravo ! J’ai volé dessus une fois, entre Dar es Salaam et Zanzibar, mais comme passager, dans le siège du copilote, quel souvenir ! comme quoi il y a vraiment du vécu dans votre nouvelle !
Amitiés, Michael
Mon cher @Michael Sherwood
Une fois encore, et avant toute chose, je vous remercie de vous intéresser à mon travail. Je vous rassure je n'ai jamais vécu une histoire pareille. Parfois, malgré toutes nos connaissances, nos diplômes, notre expérience, on s'engage dans une absurdité et la réalité, parfois tarde à nous frapper. Pour l'histoire que vous n'avez jamais lue, (moi non plus) je me réfère à des plaisanteries estudiantines conçues malgré leurs côtés coquins par la réalité. Quant aux pieds, ça fait tellement longtemps que je n'ai pas piloté un Cessna que je ne me souviens plus si les tableaux sont en pieds ou en mètres. Mais comme je ne parle pas anglais. J'ai toujours donné mon altitude en mètres. La différence entre un pilote qui ne parle pas anglais et pilote qui parle anglais… Le pilote Français non anglophone n'a pas le droit de quitter l'espace aérien français.
C'était mon cas. D'où mon indication de l'altitude en mètres. Mais comme vous avez raison, je vais rectifier.
Je suis d'accord aussi pour les répétitions. C'était dans mes projets de revoir un peu ce texte.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé
FF
Ps : Mes connaissances aéronautiques datent des années 80. J'ai 45 heures de vol (à vue) et je n'ai jamais été breveté. Non seulement il faut de l'argent pour pratiquer ce sport, mais en plus, il faut avoir du temps… beaucoup de temps.
@jbtanpi
Mon cher Jean Pierre
Les images, c’était pour équilibrer la quantité de texte de chaque colonne. La mise en page a été très difficile car Word ne gère pas les colonnes de cette façon.
Pour la couverture, c’est ce que dit ma fille et son Jules, ça fait rétro, et je ne l’ai même pas fait exprès.
C’est sûr, il y a des tas d’autres formes de solitudes. Mais la pire c’est être le seul avoir raison devant une assemblée qui a tort. Ce qui arrive fréquemment avec le covid. Pour ou contre le vaccin, par exemple.
Vous avez raison de reprendre vos anciens textes, ce que je fais souvent et la plupart du temps, ça débouche sur une autre histoire.
Cette fois ci, vous m’avez fait découvrir les stéréogrammes. Je ne connaissais pas ces bestioles. C’est pas évident à maitriser. Pour l’instant, je n’y arrive pas. Mais je suis en confiance.
Merci pour ce commentaire surchargé d’étoiles.
FF
Mon cher Fernand,
La forme de votre texte est très originale :
Il ne s'agit pas d'une nouvelle... mais de deux pour le prix d'une, avec de belles images en bonus !
Ces deux nouvelles se complètent, mais elles se brouillent, et nécessitent un effort pour suivre le fil de chaque récit, car ils se déroulent "en même temps".
Le découpage que vous avez fait en deux colonnes et en journées en facilite beaucoup la lecture. Un grand merci du flemmard que je suis. Ça a marché pour moi : je vous ai lu facilement jusqu'au bout.
La couverture qui superpose la silhouette d'un train de banlieue et un paysage tropical m'a rappelé mes souvenirs de jeune adulte (il y a plus de 50 ans !),
C'est une jolie présentation des deux récits. Elle est sobre et efficace,
Les formes de solitude que vous évoquez dans chaque récit paraissent très différentes, mais cette solitude est ressentie de façon similaire par vos personnages.
Je pense d'ailleurs qu'il y a d'autres possibilités de solitude : Par exemple celle d'un auteur devant une feuille de papier en cas de sécheresse de l'inspiration. ou quand une foule d'importuns arrivent en même temps que les meilleures idées.
À vrai dire, cette foule peut très bien se réduire à un seul individu, ou même à un objet. Par exemple un moustique ou un radio-réveil qui met fin à un rêve merveilleux.
Tout cela m'a donné envie de me replonger dans des textes inachevés qui dorment dans mes tiroirs depuis la fin du XXème siècle. Souvent issus d'un rêve, voire d'un cauchemar... mais je ne savais pas comment les terminer.
Encore merci @Fernand Fallou
Jean-Pierre.
P.S. : Votre double récit, tout comme sa couverure, me fait penser à un stéréogramme.
@marguerite
merci beaucoup pour ce commentaire.
très original
Cher @René Sauvage
C’est exactement ça ! Ce que j’ai voulu faire, c’est deux récits qui n’ont rien à voir l’un avec l’autre si ce n’est d’exploiter le thème de la solitude et qui vont se terminer dramatiquement.
Chaque texte puise son énergie émotionnelle dans l’autre.
Merci pour ce commentaire agrémenté d’étoiles.
FF
Chère @Parthemise33
Sans m'en rendre compte, j'ai essayé de transmettre la pièce à travers ma nouvelle. Même moi j'ai du mal à la lire. Mais je lis chapitre par chapitre bleu ou noir. Peut-être qu'une lectrice ou un lecteur, un jour me dira : Moi je la vois bien votre pièce ! Et je serai ravi !
Cela dit, ce n'est pas deux nouvelles, ces deux histoires qui prisent seules ne présentent pas un grand intérêt. Mais ensemble, chacune est le catalyseur de l'autre et ça change tout. C'est mon avis.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
FF.
@lamisch
Ma chère Michele
C'est exactement çà ! Tu as raison, cette pièce n'a jamais été jouée. Dans mon esprit, je pensais qu'elle serait facile à regarder. J'ai eu beaucoup de mal à en faire une nouvelle à lire. Bref ! chapitre par chapitre, noir ou bleu ! Moi aussi, je fais comme ca ! C'est le moyen que j'ai trouvé pour me rapprocher de l'esprit de la pièce !
Deux solitudes, une dans le désert et une autre dans la foule.
Deux histoires qui n'ont rien à voir l'une avec l'autre quant à la forme, mais qui sont psychologiquement les mêmes.
L'erreur que tu m'as signalée est juste et rectifiée, merci.
Merci pour ce commentaire généreusement étoilé.
Bisou, Bon week end.
FF
@galodarsac
Mon Cher Léon
Avant toute chose, MERCI ! Un grand merci pour ce premier commentaire qui vient à point atténuer mes angoisses quant à ce texte que c'est vrai, j'ai imaginé pour la première fois en 1990 et qu'en vérité je n'ai jamais terminé. Quant à la forme, c'était en fait une pièce de théâtre pour deux acteurs, que j'avais écrite pour la troupe dont je faisais partie.
Mes deux protagonistes mimaient (ils avaient très peu de dialogue) leur rôle chacun de leur côté devant un film muet qui racontait l'histoire. J'ai quitté la troupe pour me lancer dans la brocante. Toutes mes notes de l'époque se sont perdues au fil de mes déménagements. Seule l'idée est restée dans ma tête. J'ai essayé de la reprendre plusieurs fois ces trente dernières années, mais préoccupé par mille autres choses, j'ai à chaque fois laissé tomber.
Voilà pour l'historique.
Bien sûr, que je veille dans mon écriture à ce que mes personnages aient un peu des gens que vous connaissez, voire un peu de vous, peut-être et à coup sûr, un peu de moi. Je suis attaché à la cohérence, même dans mes nouvelles fantastique ou dans mes contes.
Merci encore pour ce très gentil commentaire généreusement étoilé.
FF