La veuve du notaire ne croyait pas un mot des conclusions sur la mort de son mari. Elle avait bien raison, mais Philippe Dengain, engagé pour résoudre cette affaire, allait apprendre à ses dépens qu’une veuve peut en cacher une autre.
Même si l’amour est au rendez-vous, le détective aura fort à faire pour se dépêtrer d’un piège diabolique pour loser très privé face aux manigances d’un vieux cheval de retour, d’un tandem des coups tordus version crapuleuse de la « tête et les jambes » et d’autres malfaisants.
Des toits de Paris aux palaces Londonien, de l'île de Jersey à la pointe du Raz, Philippe Dengain va, bien malgré lui, être embringué dans une sale histoire orchestrée par des individus peu recommandables, sur le rythme débridé des trois temps d’une valse pour truands…
Ce livre est noté par
Bonjour,
Votre sypnosis me donne l'eau à la bouche pour lire votre livre.
Merci pour votre partage.
Si vous aimez la poésie. Je vous invite à aller découvrir mon livre à Margareth-Marie.
Bonne journée
LEROL Alexamdra. Merci beaucoup pour vos appréciations.
@BertheC. Merci pour vos commentaires. Mort d’un notaire de province est un roman noir sur fond d’intrigue policière c’est pourquoi il n’obéit pas aux codes du polar et du thriller. C’est aussi une peinture de la société d’avant les années quatre-vingt qui met en évidence le décalage profond qui s’est opéré depuis dans les mentalités.
Cet auteur est incontestablement un conteur.mais cela peut nuire a l'histoire d'un polar
la conversation avec Solange est un peu longue,et peut être aurait elle pu être plus vivante
les dialogues sont très justes et à propos,
le recit ,jusqu'a la centieme page,cadre bien le sujet.Apres,le rythme est plus lent et on a l'impression que les personnages sont un peu sortis "ex cathedra".
On finit par ne plus bien comprendre les aleas et le rôle de chacun
on a envie de savoir pourquoi,et qui sont les commanditaires.
ce recit a besoin de davantage de structure,car il a tous les éléments pour faire de ce polar une recherche passionnante,sauf que n'est pas creusé le mystère de Solange,les successions,et le passé.
j'ai du lire 2 fois pour tout comprendre,et les indices sont tous là;dès le début
Dans l'histoire du haras,qui aurait ou être passionnante,trop de noms,
la fin est surprenante,dommage que les différents thèmes ne soient pas poursuivis ,avec la rigueur ,d'un détective et par des dialogues,des aventures ou des digréssions,qui nous font perdre le fil et le coté haletant
vous avez un thème très .bonoriginal et ce polar est quand meme passionant;je l'ai lu,et relu.,bon signe!
petite observation;quand vous racontez avec tous les temps conjugués,le récit est naturel et vivant
pardon de mes commentaires mais vous avez tout ce qu'il faut pour le rendre passionant et haletant.bon courage,j'attends la suite!
@Alix Cordouan. Merci pour vos appréciations. Le roman est à présent disponible dans son intégralité.
@Pauline 21. Merci, c’est très gentil de votre part.
@Sylvain be. Merci pour votre commentaire et vos compliments.
@Lisbeth MOENS. Merci pour vos remarques. Ce roman est une intrigue policière qui se développe en trois « temps ». Ce qui m’attache dans ce genre d’écriture c’est d’exposer sous un voile, dès le début, les ingrédients de la fin sans pour autant que le lecteur en devine le dénouement.
@Agathe. Merci pour votre commentaire. Comme vous avez pu le remarquer « une veuve peut en cacher une autre ». Cela dit, vous n’avez lu que le premier « temps de la valse des truands ». Mais tout est exposé dans son début, pour qu’à la fin du troisième temps, le premier pas de la danse, lève le rideau de l’intrigue où la convoitise devient le révélateur du dénouement.