@Hervé Jonet
Cher Hervé, excusez-moi de ne pas avoir répondu à votre commentaire, manque de temps, dépression ou mélancolie, voyez-vous et sans doute sommes-nous beaucoup à vivre de cette façon peu satisfaisante.
Je pensais être une brute peu délicate, il faudra que vous m'expliquiez mieux un jour ce qui a motivé vos bons mots.
Par contre avez-vous laissé un extrait de votre écrit (roman ? Traité ou essai philosophique ? Témoignage ?) sur votre page ou un moyen d'aller le lire ?
Je ne vous dis pas à très bientôt, même si le cœur est là, car je suis aux abonnées absentes...
@Pelo @Annie Pic
Merci beaucoup pour vos commentaires qui me confortent dans mon envie d'écrire, même si faute de temps, il s'agit là d'un vieil écrit, non poursuivi...
C'est très gentil.
Merci Annie, vous qui écrivez merveilleusement bien, notamment à propos de l'invisible et de ce qui peuple nos cauchemars.
En fait, en ce moment, je fais la distinction entre l'invisible assez pourri et l'au-delà plus discrêt et bien mystérieux...
Chère Monique Louicellier, dans cet extrait, ressort immédiatement la fragilité de l'âme. Entre le rêve et la réalité, le délire se confond dans la noirceur du cauchemar, et le réveil en est d'autant plus angoissant.
Fidèle à vous-même, vous argumentez d'une plume habile, quelquefois un peu rude, mais tellement vibrante, la détresse de l'âme, lorsqu'elle se confronte à l'existence corporelle.
La jeunesse qui s'envole, fait prendre conscience de l'éphémère de nos vies successives. À longueur de temps, notre fil de vie se rogne, nos corps vieillissent, se transforment, et notre âme immuable est désorientée.
Dans cet extrait, ressort immédiatement la fragilité de l'esprit, si ténue entre le rêve et la réalité. Le questionnement sur les désirs inassouvis, la poursuite éphémère du bonheur, la fausse mort induisant des délires cauchemardesques, et il y aurait encore tant à lire...
Merci Monique pour ce partage.
Annie
Des vers qui respirent par moments le bonheur et par moments la souffrance. Des scènes violentes, des scènes de torture cauchemardesque vécues par les pauvres victimes . Rien n 'est fait dans la demi mesure car les sentiments sont extrêmes. Ces scènes m'ont donné la nausée, j'ai eu de la peine pour les victimes mais sinon j'avoue que les scènes sont vraiment bien faites et bien écrites.
Publié le 28 Juin 2023
Monique Louicellier
Biographie
Je remplirai ma biographie plus tard, quand j'aurai aussi ma date de décès...
Ce livre est noté par
@Hervé Jonet
Cher Hervé, excusez-moi de ne pas avoir répondu à votre commentaire, manque de temps, dépression ou mélancolie, voyez-vous et sans doute sommes-nous beaucoup à vivre de cette façon peu satisfaisante.
Je pensais être une brute peu délicate, il faudra que vous m'expliquiez mieux un jour ce qui a motivé vos bons mots.
Par contre avez-vous laissé un extrait de votre écrit (roman ? Traité ou essai philosophique ? Témoignage ?) sur votre page ou un moyen d'aller le lire ?
Je ne vous dis pas à très bientôt, même si le cœur est là, car je suis aux abonnées absentes...
Merci pour ce témoignage poignant rédigé avec beaucoup de délicatesse.
@Pelo
@Annie Pic
Merci beaucoup pour vos commentaires qui me confortent dans mon envie d'écrire, même si faute de temps, il s'agit là d'un vieil écrit, non poursuivi...
C'est très gentil.
Merci Annie, vous qui écrivez merveilleusement bien, notamment à propos de l'invisible et de ce qui peuple nos cauchemars.
En fait, en ce moment, je fais la distinction entre l'invisible assez pourri et l'au-delà plus discrêt et bien mystérieux...
Des vers qui respirent par moments le bonheur et par moments la souffrance. Des scènes violentes, des scènes de torture cauchemardesque vécues par les pauvres victimes . Rien n 'est fait dans la demi mesure car les sentiments sont extrêmes. Ces scènes m'ont donné la nausée, j'ai eu de la peine pour les victimes mais sinon j'avoue que les scènes sont vraiment bien faites et bien écrites.