
En s’installant dans un pays si proche, Sarah et Julien n’imaginaient pas s’y sentir presque étrangers un jour. Ils ne soupçonnaient pas qu’un un tel dépaysement, un tel décalage humain, soient possibles.
Ils avaient oublié qu'un fragment de leurs cœurs était resté là-bas, chez eux. Un tout petit fragment qui faisait d’eux des êtres incomplets.
Il était une fois une nuée de papillons qui allaient les effleurer de leurs ailes et jouer avec leur destin…
Écrit en 2019, alors que leur aventure n'avait pas pris fin, ce qui muselait l'auteure, ce roman, inspiré d'une tranche de sa vie, a été refondu, complété, finalisé...
J'ai finalement changé de genre à la suite d'une discussion constructive avec un ami auteur...
Bonne lecture !
Ce livre est noté par
Bonjour, cher @guy fontenasse, et mille mercis pour votre adorable commentaire et votre généreuse appréciation.
Comme s'agissant de @St-Bleyras, ils me rassurent et me flattent d'autant plus que je connais vos exigences.
Merci encore et bonne journée ! Amicalement,
Michèle
Mille mercis, mon cher @St-Bleyras. Et pour votre lecture attentive et pour votre commentaire chaleureux. Venant de vous, dont je connais le talent comme les exigences, ils me touchent tout particulièrement.
Au plaisir de vous lire de nouveau à mon tour, je l’espère, et big becs,
Michèle
@Zoé Florent
Vous avez l'art de nous entraîner dans votre récit et de nous faire éprouver pour une part ce que vous avez ressenti vous-même en vivant ces péripéties confinant parfois à la torture mentale, voire physique. Une pensée particulière pour vos chiennes : l'amour que vous et Julien éprouvez pour elles est touchant et communicatif. Vous avez ce don, qui vient du cœur, de donner vie à vos personnages, humains ou animaux. J'ai bien dit : qui vient du cœur. Et qui touche au cœur. C'est le plus manifeste de votre façon.
Merci.
@Foxyne Moon Mille mercis pour votre commentaire empathique et sensible qui touche autant qu’il ravit un vieux cœur toujours vaillant, chère Foxyne. Mille autres pour votre très généreuse appréciation aussi.
C’est la deuxième fois que j’écris un roman biographique, et pourtant, la pression durant sa rédaction a été la même, tout comme l’angoisse au moment de le faire lire. Cette fois-ci encore, l’impression que quelqu’un lisait par-dessus mon épaule ne m’a pas quittée, à la fois stimulante et terriblement intimidante.
Comme je l’ai écrit plus bas à Catarina : écrire revêt souvent la forme d’un striptease que l’on peut romancer à sa guise (entendre par là : derrière lequel on peut jouer à cache-cache). Mais quand on ne modifie pas la réalité vécue, c’est se mettre à nu… Trouillomètre à zéro garanti... Pour autant, je ne vous apprends rien ;-)...
L’extremadura, région considérée comme un des poumons de l’Europe, est magnifique, très préservée, car peu peuplée. Elle vaut vraiment le détour.
Quand à vos larmes, je suis désolée de les avoir provoquées, bien sûr, mais les associe aux nombreuses que j’ai versées, après la disparition de nos adorables compagnes de vie, ou encore tout récemment, lors de la rédaction des derniers chapitres.
Merci encore, très chère Foxyne, et vu l’heure, bonne nuit !
Avec toute mon amitié,
Michèle
PS : "Votre livre est tel un bon policier où l’on est pressé de connaître l’assassin", écrivez-vous, et cette remarque me rassure, car écrire un récit rébarbatif est ma plus grande crainte, lorsque j'aborde ce genre d'écrit ;-)...
Bonjour, @Michel CANAL, et mille mercis pour tes retour empathique et généreux coeurs associés qui m'accueillent très agréablement ce matin tout en me touchant profondément.
Oui, la page de cette aventure, que tu résumes parfaitement, j'ai pu commencer à la tourner fin septembre, après la mort de Barry, puis la clore tout récemment, contrainte à quelques pauses entre-temps.
Commence à présent une période de recul que j'entame sereine. Ma petite victoire, comme toutes celles vécues jusque-là après ces moments difficiles que nous réserve la vie, reste d'avoir su me protéger de l'aigreur, de la rancoeur et du cynisme, expédients si tentants lorsque l'on ne veut pas morfler sur le long terme. D'avoir su préserver l'amour et l'amitié sans lesquels je ne suis rien.
Merci encore, ami très cher. Ta fidélité m'est toujours aussi précieuse.
Bises et bon week-end à vous deux,
Michèle
@Zoé Florent, comme d'habitude, je mets d'abord un commentaire en raison de la possibilité de retours à la ligne nécessaires à la longueur. L'avis plus adapté à la qualification par les coeurs viendra en suivant.
C'est l'histoire de la fuite d'un couple, Sarah et Julien, qui décide de s'installer en Extremadura espagnole afin, en s'immergeant en pleine nature, d'espérer trouver l'apaisement et la sérénité. Un retour aux sources à la recherche d'instincts perdus, un essai de réconciliation aussi avec leurs congénères. Ils ont en projet la construction d'un hôtel en pleine campagne — leur casa rural — en autonomie énergétique. Pour Julien, la fuite fait suite à son échec professionnel et aux désillusions.
Cela fonctionne très bien dans un premier temps pour Sarah, la vision comblée par la beauté des paysages, boostée par l'énergie vitale de cet environnement au milieu des oliviers, des pinèdes, au bord des lacs. Avant de constater, là aussi, le mépris de l'Homme pour ces lieux enchanteurs.
Ça sera des années de dur labeur, et l'envers du décor qui pourrait avoir raison de leur enthousiasme : les méandres administratifs à tous les niveaux, la découverte des coutumes locales donnant lieu à de nombreux déboires, la mauvaise foi, la corruption, les coutumes ancestrales de maltraitance envers les animaux, le non respect de la nature par ses habitants, le climat fait de contrastes, la nature se trouvant soumise à rude épreuve dans la région, leur chemin d'accès se trouvant souvent coupé suite aux inondations…
Mais bluffés par la capacité de récupération de cette nature soumise à rude épreuve, enchantés des beautés à admirer qui leur permettaient de se ressourcer, tels les grues cendrées, ils ont suivi leur instinct, même si cela devait les conduire à l'épuisement...
Deux personnages secondaires occupent une place dans ce récit : Barry, la chienne andalouse Podenco, recueillie et sauvée des maltraitances ; et Kate, leur chienne Jack Russel, cadeau d'amis Français.
Sauf que… les contretemps étant insurmontables, décourageants, réalisant qu'ils étaient en train de creuser leur tombe, ils décident de rentrer chez eux pour bâtir une nouvelle vie… avec la douce impression de retrouver le bercail, l'endroit où on se sent si bien, entouré de ses proches.
Et que Sarah et Julien n'en ont pas terminé avec les déceptions espagnoles et les drames : étau financier, jeu trouble de leur avocat, vente à perte de leur bien pillé, perte accidentelle de Kate, Julien agonisant sauvé in extremis puis assujetti à une longue convalescence. C'est ainsi que naquit ce récit dont elle fit d'abord un roman nommé « L'instinct des grues cendrées ».
Récit de cette aventure espagnole, de cette tranche de vie, que Sarah a réécrit, après la mort de Barry, qui s'était si souvent battue pour la vie. Réécriture avec le style, la sensibilité et la force de caractère que l'on connaît de Michèle.
Comment pourrais-je vous oublier, vous qui brillez comme une étoile inaccessible à mon firmament des graphomanes invétérés ?
@Bérangère Patatras Je réitère : oubliez-moi...
PS : @Bérangère Patatras Bla, bla, bla... Bye !
Je n'ai pas encore pris le temps de mettre en page le fichier pour la vente en ligne, mais votre demande m'incite à m'y mettre au plus vite. Je vous ferai signe dès que ce sera le cas.
Merci à vous, cher @@St-Bleyras, et big becs aussi !
Michèle
@Zoé Florent
Bonsoir Zoé. Peut-on acheter la version papier ? Sur quel site ?
Merci d'avance.
Big becs !
Alors je dois devoir cela à votre excellent ami MC, vous savez : le tricheur...
@Bérangère Patatras Eh non, très cher, désolée de vous décevoir, mais je n'ai rien à voir avec une quelconque censure...
@Bérangère Patatras PS : tirez les conclusions que bon vous semble. Pour ma part, je n'attends qu'une chose (déjà exprimée à maintes reprises) : que vous cessiez de m'insulter, que vous me lâchiez et m'oubliez une bonne fois pour toutes, et je ne crois pas trop m'avancer en vous écrivant qu'il en va de même pour Michel.
Est-ce à vous, entre autres, chère madame, que je dois la censure brutale de mon "Patchouli" ? Je vous demande cela, car vous sembliez prévoir (cf plus bas) que j'allais tomber de mon pied d'estal (graphie bichettesque), mais je n'ose croire à une telle bassesse, parce que je sais bien, parfaitement, incontestablement, foncièrement, absolument, que vous n'êtes du genre à magouiller dans le dos des gens. Néanmoins, je m'interroge... )-//%=(=+-!_)[!*^^;£]...
Le lien recopié débouche sur la page d'accueil du site, aussi n'ai-je pas pu en prendre connaissance.
Que le genre soit prisé, je n'en ai pas la moindre idée. Si je me réfère cependant à mes quelques essais assumés, il récoltent moins de lecteurs et de commentaires que lorsque je me publie dans le genre roman. Un genre beaucoup plus exploité ici, d'ailleurs (4 pages d'écrits sous la bannière témoignage contre 42 sous celle des romans toujours en ligne).
Pour le reste, ce "témoignage-expérience" n'a d'intérêt que pour ce qu'il est : le récit d'une tranche de vie riche en rebondissements, en déceptions, en combats souvent inutiles et en leçons de vie, ce qu'il en reste au final. L'écrire autrement ou dans un autre but ne m'a pas effleurée. Pas plus que d'essayer d'enjoliver ou de dramatiser.
Quant à l'évocation d'Ana, la demi-soeur de ma fille, je peux te garantir que le changement a été brutal, aussi brutal que le coup de foudre qu'elle a vécu pour Nicolas. Mais c'est bien connu, les transformations similaires sont légion, tant l'amour peut rendre aveugle... Aveugle et con parfois, malheureusement ;-).
Merci encore pour ton implication. Que ce récit t'inspire une telle réflexion et que tu m'en fasses part me touche sincèrement.
Voilà, m'dam... un peu hianch, mais on y arrive enfin.
Le témoignage, un genre qui fait fuir ? J’ai plutôt l’impression que c’est l’inverse,
et plus encore en autoédition et autopublication. Le témoignage est un genre
très prisé des auteurs et bien lu.
« Le roman témoignage est un combat contre l’oubli.
Le roman témoignage révèle une expérience personnelle. En s’adressant à tous,
il peut être une forme de thérapie, un combat contre l’oubli, contre l’ignorance des
autres. Il a pour but de changer leur regard. Il permet de se rebeller, de continuer
à vivre, de guérir ses blessures
[https://www.monbestseller.com/auteur/liste/temoignage#:~:text=
Le%20genre%20litt%C3%A9raire%20t%C3%A9moignage%20est,prend%20la
%20narration%2C%20souvent%20chronologique.]
Et il n’y a qu’à voir la liste des ouvrages classés dans cette catégorie sur le site.
*
Ce qui fait la force de ton texte et son humanité, le point central de ton témoignage,
est la description que tu donnes de “l’escalade d’engagement”.
Elle est là, la puissance, car ce mécanisme qui est, hélas, à la base de
pratiquement toutes les dérives sectaires passe la plupart du temps inaperçu.
Tu cites, en ouverture, le cas de cette jeune-fille de ta famille qui se convertit
à l’islam et en épouse les us et coutumes... Mais n’a-t-elle pas, elle aussi,
été sujette à l’escalade d’engagement ?
Donc, voilà, je te le dis tout simplement : ton sujet mérite pleinement que tu
lui offres la dimension du genre dans lequel tu l’as classé. Et, d’ailleurs, si tu fais
quelques recherches sur la question, tu constateras que cette affaire de biais
d’engagement tient une place de premier ordre dans les sujets de société.
[Le biais d’engagement consiste à persister dans une idée ou une action
plutôt que de reconnaître qu’il s’agissait d’une erreur. Après avoir obtenu
des résultats négatifs au début d’un projet, il est parfois possible de se
rattraper en fournissant davantage d’efforts. Un cycle d’engagement
croissant peut ainsi se produire. Lorsque le temps et l’énergie investis ne
peuvent plus être récupérés, la motivation d’éviter une perte totale ou
de maintenir bonne figure mène à poursuivre les efforts dans la même
direction plutôt qu’à se retirer. Plus le temps, l’énergie et les efforts investis
sont élevés, plus il devient difficile d’abandonner un projet. Ce biais cognitif
conduit ainsi à maintenir une escalade d’actions infructueuses pour justifier
une ligne de conduite initiale en dépit de conséquences négatives//https://www.shortcogs.com/biais/
escalade-d%27engagement//
Ce site pourrait même être intéressé par ton texte, qui sait ?
Etrange...
@Catarina Viti Ton commentaire est bizarrement tronqué, et je peux difficilement y répondre... J'attends de pouvoir le lire dans son intégralité pour ce faire...
Le témoignage, un genre qui fait fuir ? J’ai plutôt l’impression que c’est l’inverse, et plus encore en autoédition et autopublication. Le témoignage est un genre très prisé des auteurs et bien lu.
« Le roman témoignage est un combat contre l’oubli.
Le roman témoignage révèle une expérience personnelle. En s’adressant à tous, il peut être une forme de thérapie, un combat contre l’oubli, contre l’ignorance des autres. Il a pour but de changer leur regard. Il permet de se rebeller, de continuer à vivre, de guérir ses blessures. [https://www.monbestseller.com/auteur/liste/temoignage#:~:text=Le%20genre%20litt%C3%A9raire%20t%C3%A9moignage%20est,prend%20la%20narration%2C%20souvent%20chronologique.]
Et il n’y a qu’à voir la liste des ouvrages classés dans cette catégorie sur le site.
*
Ce qui fait la force de ton texte et son humanité, le point central de ton témoignage, est la description que tu donnes de “l’escalade d’engagement”. Elle est là, la puissance, car ce mécanisme qui est, hélas, à la base de pratiquement toutes les dérives sectaires passe la plupart du temps inaperçu.
Tu cites, en ouverture, le cas de cette jeune-fille de ta famille qui se convertit à l’islam et en épouse les us et coutumes... Mais n’a-t-elle pas, elle aussi, été sujette à l’escalade d’engagement ?
Donc, voilà, je te le dis tout simplement : ton sujet mérite pleinement que tu lui offres la dimension du genre dans lequel tu l’as classé. Et, d’ailleurs, si tu fais quelques recherches sur la question, tu constateras que cette affaire de biais d’engagement tient une place de premier ordre dans les sujets de société.
[Le biais d’engagement consiste à persister dans une idée ou une action plutôt que de reconnaître qu’il s’agissait d’une erreur. Après avoir obtenu des résultats négatifs au début d’un projet, il est parfois possible de se rattraper en fournissant davantage d’efforts. Un cycle d’engagement croissant peut ainsi se produire. Lorsque le temps et l’énergie investis ne peuvent plus être récupérés, la motivation d’éviter une perte totale ou de maintenir bonne figure mène à poursuivre les efforts dans la même direction plutôt qu’à se retirer. Plus le temps, l’énergie et les efforts investis sont élevés, plus il devient difficile d’abandonner un projet. Ce biais cognitif conduit ainsi à maintenir une escalade d’actions infructueuses pour justifier une ligne de conduite initiale en dépit de conséquences négatives//https://www.shortcogs.com/biais/escalade-d%27engagement//
Ce site pourrait même être intéressé par ton texte, qui sait ?
@Catarina Viti Bonjour, Catarina, et mille mercis pour ton commentaire fouillé qui me surprend d’autant plus agréablement que j’ignorais que tu avais lu la première version en 2019.
Je vais essayer de te répondre point par point, aussi clairement et franchement que possible.
Le choix du genre, d’abord, un genre qui fait fuir mais que j’ai décidé d’assumer, ce que je n’avais pas fait lors de la première parution. Je crois que tu connais le sens et les difficultés de la démarche pour avoir toi-même classé “Adieu Amériques” dans le genre roman et “Sweet Memory” dans le genre roman en portraits. Écrire revêt souvent la forme d’un striptease que l’on peut romancer à sa guise. Témoigner, quand on ne modifie pas la réalité vécue, c’est se mettre à nu, tout en sachant qu’il y a de fortes probabilités de se faire canarder par quelque lecteur en manque d’exercice ;-).
Le titre, je l’ai conservé et conserverai le même. Idem pour le synopsis. Ils évoquent les grues, la nature et l’instinct, trois acteurs de cette aventure. Quant au genre de la couverture, je vais le modifier, comme j’ai modifié celui de “Génération double peine” pour répondre aux interrogations de @St-Bleyras en son temps.
Sinon, lorsque se profilent choix et changements dans nos vies, le risque considérable de tomber sur un os est réel, tu as mille fois raison de le rappeler. À moins d’être fou ou inconscient, nous le connaissons tous, ce risque-là. Certains préfèrent l’immobilisme, d’autres l’action, et je fais et ferai toujours partie de cette deuxième catégorie.
Pour conclure, “une réalité pourtant évidente que les autochtones n’ont pas cherché à dissimuler” revêt l’allure d’un joli tacle que je préfère ne pas commenter… Sacrée Catarina ;-)… Quant aux prises de conscience, sont évoquées celles qui se sont produites sans que j’aie eu envie d’en rajouter.
Merci de m’avoir consacré autant de ton précieux temps – je sais que tu ne touches pas terre- et bonne journée,
Michèle
Bonjour Zoé,
J’ai relu ton texte que tu as effectivement enrichi. Mon intervention porte sur son classement, et quelques réflexions que celui-ci m’a inspirées.
Je pense que c’est une bonne idée de présenter le fond de cette « mésaventure » — qui a bien failli tourner à la tragédie humaine — comme un témoignage. À l’heure actuelle, un nombre de plus en plus conséquent de nos concitoyens sont prêts à échanger ce qu’ils ont construit toute une vie pour un château en Espagne (notamment quitter les villes « nocives » pour une campagne « saine et généreuse »), or, que ce soit quitter le territoire natal pour d’hypothétique Eldorado ou se retirer dans un de ces écovillages de rêve... le risque de tomber sur un os est considérable.
En ce sens, cette histoire est vraiment un témoignage puisque tu y exposes d’un côté ta volonté et celle de ton mari, vos rêves, et, de l’autre, une réalité pourtant évidente que les autochtones n’ont pas cherché à dissimuler.
Je pense que c’est là que réside l’aspect « témoignage » de ton texte, cette partie que tu peux partager.
Pour que ce texte devienne un véritable témoignage, il faudrait sans doute l’enrichir de tes prises de conscience au fur et à mesure que le processus mis en marche par votre volonté vous écrasait. Ce texte illustre à la perfection l’escalade d’engagement (qui est également un grand sujet de société).
Bref, tu tiens un texte qui peut être utile dans les circonstances actuelles. Pour le mettre en valeur, il serait judicieux d’en revoir le titre (la couverture aussi — en tout cas, l’indication de « roman » ne doit pas y figurer) et, bien entendu le synopsis.
Rassurez-vous, mon pied d'estal (comme l'écrit le poète Bichet) est d'autant plus solide qu'il n'existe pas ;-)§-*=(+-;?"&
@Bérangère Patatras Bla, bla, bla... Gaffe de ne pas tomber de votre propre piédestal... Je le sens bancal ;-)... Pour le reste, vous le savez, votre jugement m'indiffère, très cher.
PS : je vous laisse le dernier mot, as usual...
J'ai lu une vingtaine de pages et j'ai laissé tomber. Pour cause de syntaxe trop souvent maladroite qui rend la lecture pénible. Et, surtout, en filigrane, comme dans chacun de vos récits où vous vous mettez en scène, pour cause d'infatuation insupportable. Non, madame, vous n'êtes pas meilleure que la grande majorité de vos contemporains. Et ce regard que vous portez sur votre entourage, proche et distant, peut-être feriez-vous bien de le tourner vers vous-même. Vous abandonneriez peut-être alors votre ton d'innocence et de candeur surjouées. En tout cas, vous mériteriez peut-être d'être lue, ce qui n'est pas le cas à l'heure actuelle.
Cela me fait particulièrement plaisir de vous lire, cher @St-Bleyras.
Mille mercis pour votre petit signe amical qui me booste.
Bisous (ou big bec) confraternels aussi,
Michèle
@ Zoé Florent
Quelle bonne surprise de voir aujourd'hui sur mBS arriver cette version "refondue, complétée, finalisée" de L'instinct des grues cendrées ! J'avais beaucoup aimé lire la version originelle, l'un de vos meilleurs textes à mes yeux, je veux dire l'un de ceux, et peut-être même celui, qui m'ont le plus parlé.
Je lirai cette nouvelle version, ça c'est sûr, pas maintenant car je suis trop occupé à d'autres activités, mais bientôt, c'est certain, et le plus tôt sera le mieux.
Je voulais pour l'heure simplement marquer mon plaisir de voir ce livre débarquer, chère Zoé.
Et vous adresser mes bisous les plus confraternels !