Chris Martelli
Présentation

A vélo, en ville ou à la campagne. Je roule et je lis toujours à fond et "sans dérapage".

Chris Martelli a noté ces livres

2.4
Pour les amoureux des grandes sagas ! J’ai relu ici un peu du Dr Jivago, j’ai vu Omar. J’ai vu Julie. Enfin… les mêmes paysages que les leurs, la même vie de princes et de moujiks, de palais et d’isbas. Pour le reste, votre récit explore une version russe du syndrome de Stockholm. Intrigante. Belle fresque ambitieuse dont vous vous sortez avec talent, malgré ce qu’il m’a semblé parfois être des situations bien exagérées, ou encore une maturité étonnante dans la bouche d’un enfant de 10 ans !
Publié le 13 Décembre 2015
2.4
Avec vous, il y a toujours des phrases inoubliables. A la 1° page : « ce que l’on invente n’est pas vrai, mais ce que l’on rêve ne s’oublie pas ». Des phrases qui nous assurent que la lecture va être dense, bonne, vraie, et que l’on va rêver.
Publié le 07 Décembre 2015
3
Vos nouvelles sont pleine de poésie. Elles sont délicieuses à lire, toutes de candeur, de douceur, de gentillesse. Elles disent des joies simples, de jeux de ricochets, de freesbee, de promenades avec le chien, que les grands aiment la compagnie des petits et que les petits aiment celle des grands. Vos nouvelles racontent une nature de cocagne. J’ai aimé vos chutes toujours inattendues.
Publié le 07 Décembre 2015
2.4
Beaux partages. Et le beau dans une nouvelle, c’en est son principe même : la chute. Et les votres viennent doucement, quelques lignes avant la fin, comme pour nous (r)assurer qu’on avait bien deviné. Ma préférée, « exécution ».
Publié le 29 Novembre 2015
3
Lu d’une traite cette nuit. Pas nécessaire d’être une grande amatrice de Sherlock (dont je suis une fan absolue) pour apprécier ce contre point proposé par ce cher Watson ! Une démonstration dont une des valeurs, c’est justement d’apporter cette analyse en contre perspective. Et le dénouement final, et la révélation sous la plume de Sherlock lui-même, est une apothéose qui me donne l’envie immédiate d’aller reprendre quelques unes des aventures de ce célèbre duo. Elémentaire cher Zamioune ! Permettez-moi néanmoins une question : votre titre est-il vraiment le meilleur pour donner l’envie de lire votre récit, moi qui ai été attiré par l’article que mbs a fait sur lui ? PS. Entre autres vérités confondantes, j’ai particulièrement apprécié cette phrase « la vérité ne doit son existence notionnelle que grâce à la possibilité du mensonge ». Bravo l'artiste !
Publié le 28 Novembre 2015

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