Chris Martelli
Présentation

A vélo, en ville ou à la campagne. Je roule et je lis toujours à fond et "sans dérapage".

Chris Martelli a noté ces livres

3
Qui ne rêverait d’avoir un tel mentor que ce Monsieur Malatesta (quel nom !), dont on ne sait pas au début s’il est l’amant de la mère ou juste l’ami cultivé, fortuné et désintéressé de la famille ? Belle fresque que celle que vous construisez autour de cet enfant, avec votre style qui coule comme une rivière, lentement, paisiblement, sans à coups. Et qui place au fil de l’eau des phrases de vieux philosophe… comme celle-ci « Il faut penser comme le serpent qui s'apprête à tenter Ève. Si tu es bon menteur, nulle ne saura te résister » ! Ou celle-ci « On peut parfaitement être édité à la Bibliothèque de la Pléiade après sa mort et avoir complètement raté sa vie. ». Ou encore « les hommes deviennent suffisants quand ils se marient. Ils pensent qu'ils ne perdront jamais ce qu'ils ont conquis, alors ils nous délaissent et se reposent sur nous. » Mais je m’arrête ici, je suis en train de copier coller votre livre !!
Publié le 03 Novembre 2015
2.4
Charmant, rafraichissant, revigorant ! A mettre dans les souliers du prochain 24 décembre
Publié le 28 Octobre 2015
3
Ce récit qui installe peu à peu, au fil des pages, ce mystérieux mystère, le talent que vous avez à nous le faire oublier en nous amenant un peu ailleurs, puis en le ramenant quelques pages avant la page 104, ne peut que laisser dans l’attente de lire la révélation ! Magnifique.
Publié le 24 Octobre 2015
0
Votre roman romain est construit comme une saga. Les personnages se précisent au fur et à mesure que le fil de leur vie se tisse, que le drame qui couve et qu’on craint de lire arrive peu à peu… On tourne les pages avide de connaître toutes les issues imaginées. C’est une très belle version latine que vous déclinez ici ! ps. Je trouve que vous pourriez rédiger votre synopsis de telle manière qu’on ne sache pas le destin de Caelia.
Publié le 08 Octobre 2015
2.4
C’est vrai, ce n’est pas mon genre fétiche la sff. Pourtant, je suis « tombée » sur votre récit par hasard et j’ai aimé la poésie qui s’y attache et l’onirisme qu’il engendre. On est à mille lieues de chez soi, on voyage, on rêve un peu, et on se surprend à croire que cela soit possible. Il est vrai qu’on a quand même était très influencé par nombre de films qu’on a plébiscités. Et votre récit est assez dans cette mouvance, je trouve.
Publié le 06 Septembre 2015

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