
Une petite fable, qui raconte l’histoire d’une jolie maison bleue perdue au milieu d’un désert de pierres noires. Une famille habite la maison, depuis longtemps... mais pour combien de temps encore, alors que le péril menace ? Courte fable, aussi courte que le temps qu’il reste à cette petite famille pour réaliser le danger et y faire face, réagir... Le pourra-t-elle? Le saura-t-elle? Le voudra-t-elle?
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@KellyK @RodrigueHatu ...Merci pour vos remarques. Visiblement, je vais devoir revoir ma copie, car ce 1er jet n'a pas été perçu comme je l'aurais voulu... C'est bien ma faute et votre retour m'aide à corriger le tir ;-) Le sujet de cette nouvelle n'est pas tant sur la vie en société dont nous connaissons bien les dérives, que sur la menace de cette façon de vivre. L'urgence de lever le nez de nos occupations individuelles pour réfléchir à notre salut collectif. Oui, la fin, "c'est la grosse loose" et c'est bien ce qui pend au nez de notre humanité, habitants de cette maison: notre planète bleue... Allons-nous continuer de la laisser s'embraser en faisant semblant que tout va bien, qu'on a mieux à faire que d'arrêter le feu? Allons-nous continuer de nous chamailler alors que le toit risque de s'effondrer?
Votre maison du bonheur, elle devient grave la maison du malheur. Au début j'ai kiffé, vous m'avez fait rêver, moi qui ai envie de partir à la campagne, faire un potager, avoir des animaux, cela serait trop stylé. Cette maison nous donne envie de quitter Paris et d'aller à la campagne, marre de certains cas sociaux ou de certains stressés de la vie que j'ai pu rencontrer à Paris. Dans cette maison en plus les gens ont l'air d'être solidaires et accueillants les uns avec les autres, elle est franchement cool l'ambiance. Par contre la fin, c'est la grosse loose ma parole, les gens deviennent individualistes et c'est la guerre. D'ailleurs j'ai loupé un chapitre car les gens qui étaient solidaires au début, deviennent individualistes.. C'est peut-être qu'au bout d'un moment les gens ont craqué à force de se marcher dessus...