2020. Année du confinement. Comme Gary Cooper, dans le film "Peter Ibbetson", Elian vit en Angleterre et rêve de son amour de jeunesse, Esther.
Esther vit en France.
À son retour, Elian contacte Esther. Ils se revoient.
Les espoirs renaissent mais la réalité n'est pas le rêve.
@Bertrand Rab
Merci Bertrand. Rien ne me fait plus plaisir que l'idée d'un retour...
@Laurent gc; @Alexandra robin; @ValG83400
J’ai la chance d’avoir des lecteurs tels que vous. Amitiés
J'ai adoré, le lire une deuxième fois était inévitable.
@Pierre Reffe
Quel suspens… je me suis demandée ce que serait la suite… Un grand merci Pierre pour l’énergie et le dynamisme des mots !
@jpz.paco
À mon tour de vous remercier pour votre commentaire sensible et délicat, JPZ. J’aime bien votre formulation de « poésie du manque » que je trouve juste. Un manque qui remplit bien des pages… et fait naître de jolis commentaires tel que le vôtre.
Attention, danger ! Si vous commencez pas d'arrêt possible. Dans une écriture sans fioriture, toute en tension, Lydia vous tient en haleine. Avec ces deux passionnés l'amour n'est pas un long fleuve tranquille. Ce n'est qu'une succession d'images, de sensations, de sentiments à fleur de peau. Tous les sens sont en éveils ... comment s'en sortir ? Retour à la première page SUPERBE
Quel beau voyage intérieur, où la poésie du manque rencontre le réel avec délicatesse.
La beauté, la légèreté de l'écriture associent le lecteur à cette recherche de soi même.
Merci pour l'émotion entre rêve et réalité.
JPZ
@Sylvie de Tauriac
Je ne désespère pas d’écrire une longue histoire d’amour sans routine. C’est un sujet très porteur ! Merci pour vos mots et ce souffle d’air frais venu droit de la Méditerranée ! Je vous lirai avec plaisir.
@Agales
Merci pour votre beau commentaire. Si cette histoire a touché quelque chose en vous, vous touchez quelque chose en moi, soyez-en sûr(e), cher(e) Agales.
@Mustic
Sommes-nous capables de vivre nos rêves ? On ne devrait jamais renoncer car ils sont notre puissance d’exister. Merci Mustic pour cette jolie réflexion. Vous êtes la mouche du coche !
@Jéo Lihère
L’avantage d’un pseudo c’est qu’en plus du mystère, il peut être éloquent … Merci pour vos mots. Un voyage unique s’enchaîne…
@Blam
Je devrais prendre votre commentaire pour le synopsis de l’histoire ! C’est plutôt accrocheur ! Merci Blam !
Un roman épistolaire très romanesque, on y croit ou pas, c'est très beau ou c'est trop beau, à vous d'aller jusqu'au bout pour le savoir ...
@Maud de Fayard
Je vous remercie pour votre commentaire sensible. Oui, les questions se posent, il faut affronter, traverser, dépasser, tomber, se relever. Et ce qu'il en reste est le souvenir du voyage. Avancer plutôt qu'être à quai. Je vais vous lire, vous me semblez aussi voyageuse...
Une histoire incroyable qui se déplie au fur et à mesure des pages , sans effort on laisse couler les mots , les phrases , l’amour qui se construit, qui se rapproche. Dans un respect mutuelle, ainsi que de la famille à protéger malgré les émotions, les questions qui se posent et une fin adorable qu’on à oublier qu’on avait atteint la dernière page. Merci pour ce beau voyage.
Si les secrets ouvraient l’océan, fantaisie.
@Valérie Pison2
Vous avez eu raison de prendre votre temps. Je n’en apprécie que mieux vos mots. Très touchée…
Il m’a fallu un peu de temps mais me voilà enfin pour vous dire mon admiration pour ce roman épistolaire, un genre très exigeant, pouvant être parfois ennuyeux, écueil que vous avez évité avec brio.
Bravo @lydia Karvine pour cette très belle réussite. Votre classement est mérité !
@Sacha alex
Je vous remercie d’avoir lu cette histoire et d’y avoir été sensible. Les histoires d’amour se ressemblent. Superbe dans l’apothéose comme dans la chute ! Eros est un adepte du grand huit. Merci pour les cœurs !
@Loriii
Quel charmant retour! Je vous remercie d’avoir débuté le livre et d’avoir donné vos premières impressions. Sont-elles toujours bonnes? Mystère… Là, je m’éclipse, vous laisse à votre lecture…
@elianCooperPA
C’est un plaisir de penser que ce que l’on écrit touche d’autres vies. Il y a une réelle émotion à l’idée d’une connexion invisible entre les êtres à partir de quelques mots. Merci.
@Belay Corinne.
Si l’histoire a su vous captiver, j’en suis enchantée. La jeunesse est un aimant puissant de la mémoire. Merci pour ce retour !
@Paco TETUCUMAN
Merci Paco. L’évocation de Lorca me touche. Ce poème est d’une sensualité extrême, de chair, de sang, de sueur. Je prends comme un cadeau.
@Anna Rosso
Si le livre vous a fait voyager, qu’il a suscité en vous ces émotions, c’est formidable. Que dire de plus ? Merci !
@Agostini François-Xavier
Sait-on jamais si on en a fini avec le passé? Ou avec un livre ( "ensemble pas encore vraiment terminé" : j'aime bien la formule qui reste mystérieuse ...) Vous me reprochez de dire dans le synopsis : "la réalité n'est pas le rêve" et pourtant c'est ce qui fait toute l'histoire. Deux êtres qui cherchent à posséder une preuve de leur existence, l'un dans le rêve, l'autre dans la réalité. Si je n'avais pas fait cette erreur fatale, il n'y aurait pas de roman. Voilà que je me mets à parler comme vous, de façon bien mystérieuse... Merci pour votre commentaire et les cœurs !
@Michel LAURENT
Vous êtes un fin critique, vous déchiffrez tout. Merci pour ce retour nuancé et sensible. Et de tout cela, il me reste l'envie de vous lire. En bordure des commentaires, s'ouvrent des chemins. On a bien entendu ce qui s'est dit sur le livre, on en a respiré les effluves et maintenant on se dit: "il est temps d'aller voir ce qui apparaît ou se dérobe chez l'autre, le bruissement de son œuvre. Bref très envie de faire le voyage inverse... la lecture de votre roman".
Et oui, il me semble aussi qu'Elian ait songé au film de Truffaut ... Mais non, il ne lui a pas écrit, s'il l'avait fait, et si Esther avait lu "l'Homme qui aimait les femmes", sous la plume d'Elian, elle l'aurait taclé. L'Homme qui aimait les femmes... Trop tabou! Un grand merci !
@Macedo
La suite ? Tout cela un jour ou l'autre finit par se remettre en route. Pourquoi pas un recommencement ? Merci Macedo !
Une grande émotion pour ce roman épistolaire.
Très prenant, beaucoup de suspense.
Bravo.
@Nadia Jeannot
Si vous avez apprécié cette histoire, j’en suis heureuse. Merci Nadia !
@Jeanne Bageau
Merci pour votre commentaire. J'y suis sensible. Je viens de modifier la police de caractère pour une plus grande facilité de lecture.
@Marina J-Boeffard
Vivement le prochain voyage ! Sans confinement si possible ! Merci Marina !
@Daphne Devouge
Merci Daphné pour votre commentaire et votre note. Le livre est un partage et si j’ai pu susciter du bonheur, tant mieux !
Très beau roman. Complètement embarquer dans l’histoire avec une très belle écriture ❤️❤️
Je recommande ce livre qui apporte inspiration.
Bravo Lydia Karvine ❤️
@Stug
Une aubaine de vous lire. Il y avait du péril dans la première phrase. Et puis dans un élan soudain, vous racontez votre expérience de lecteur...Je me suis délectée de vos mots ! Merci Stug !
@Ange-François
Merci pour votre lecture et votre commentaire bienveillant. L’émotion est l’essentiel, je suis d’accord ! Ce qui nous émeut et nous meut... Sans cela, que devenons-nous ? Vous m’avez devancée car je désirais lire vos poèmes sur le site. À bientôt !
@Ma clo
Merci pour ce joli commentaire. Très touchant. Quant à la question de savoir si c’est inspiré de faits réels: une inspiration n’est-elle pas mêlée de rêve et de réalité ? :-)
@Toucas
Je suis ravie que vous soyez sensible au genre épistolaire. Je crois que l’idée ne serait jamais venue sans le confinement. Espace clos, restrictions suffisent à provoquer le tumulte. On cherche l’évasion. Merci pour ce retour nuancé et éclairant.
BRAVO Mme Lydia
Quel plaisir de découvrir ton premier roman...
Le rêve, ça fait rêver ! Je me suis évadée en suivant le parcours d'Esther et Elian !
Tu as une belle imagination ; peut être inspirée du réel ?
C'est un peu court, la fin est trop brusque - je reste sur ma faim !
Je lirai bien la suite et espère aller "un jour au Paradis, grâce à toi"
Alors à ta plume ! Fais moi signe dès la parution du 2ème...
A très vite...
Je t'embrasse
Clothilde (Ma Clo)
Née en 1964 à Toulon, j'ai poursuivi des études de philosophie à Nice, ce qui m'a amené à enseigner. J'enseigne aujourd'hui...
"COMME PETER IBBETSON" est le "Livre le +" du 7 octobre. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Lydia KARVINE, c’est pour cela qu'elle publie son roman sur monBestSeller.