Le Voyage à Grenoble

Oui, oui.

Tu parles de toi ?
PS : Normal puisque tu ne sais même plus qui tu es !

@Michel CANAL
Je ne comprends pas pourquoi vous tenez à passer pour un imbécile. Cela dit, vous y parvenez très bien.

J'en suis ravi ! Et je le serai encore plus le jour où il n'y aura plus un commentaire de tes alias sur mes pages.

@Michel CANAL
Et moi je ne m’inquiète aucunement pour la vôtre. Je m'en fous.

!!! ???
Je m'inquiète pour ta santé mentale !

@Michel CANAL
Réplique très faible, si vous voulez mon avis. La sénilité fait chez vous des progrès, ce qui n'est pas le cas de vos commentaires. Là, comme dans vos textes, c'est la déroute, la grande débâcle. Vous savez quoi ? Je vais prier pour vous. Sait-on jamais, il y a peut-être un dieu pour les graphomanes cacochymes.
PS : Je me sens obligée de vous le dire, parce que, en plus, vous avez la vue qui baisse : il y a bien longtemps que je ne me risque plus sur vos pages ; je craindrais trop d'y chopper je ne sais quelle maladie honteuse.

Mais oui, cher troll Marguerite et tous ses alias, bla, bla, bla, c'est ce que tu fais de mieux...
PS : tant qu'il y aura de tes commentaires sur mes pages (oublis ?), tu me verras sur les tiennes.
PPS : comme tu le dis si bien : « dans ce monde cruel, on n'obtient jamais que ce qu'on mérite ».
Bonne journée, auteur éphémère juste bon à se recycler. Ceci dit, je comprends qu'à force tu ne saches plus qui tu es, ce que tu avais déjà publié, encore moins sous quel pseudo... Aie toujours un petit papier sur toi pour qu'on puisse te ramener à bon port le jour où tu ne sauras plus où tu habites.

@Michel CANAL
Cher Joli-Coeur à jamais pérenne, il y avait bien longtemps que vous n'étiez pas venu sur une de mes pages pour y semer vos incongruités. Je ne dirai pas que vous me manquiez, mais je suis tout de même heureuse de constater que vous n'êtes pas tout à fait mort, enseveli par l'inanité de vos écrits (pérennes, d'accord, mais c'est bien, si c'en est une, leur seule qualité). D'ailleurs, par curiosité j'ai jeté un œil à vos résultats. Eh bien, bonjour la dégringolade ! C'est la grande débandade, non ? Allons, ne pleurez pas ; dans ce monde cruel, on n'obtient jamais que ce qu'on mérite.
Mes hommages, vieille crapule.

@Jéromine Patatras... anciennement "Jack and Jill plantent des radis" et "Émilie Bruck",
Bienvenue au spécialiste du recyclage : Souvenirs, souvenirs !
— Le voyage à Grenoble
Autres - Nouvelle de Jack and Jill plantent des radis Où l'on croise une snob péronnelle, l'autrice de "E pericoloso sporgersi", Isidore Ducasse, la Vénus de Milo, une bique angora, le plus mineur des auteurs mineurs de la littérature...
Jack and Jill p... - 11/08/2023

— Toute la vérité sur les parenthèses, par Émilie Bruck (pour monBestSeller)
... (*) Par exemple, dans ma nouvelle Le Voyage à Grenoble, parce que j'étais complètement bourrée lorsque je l'ai rédigée ...
monBestSeller - 14/10/2023
Et cette fois, tu es encore bourrée ?
Bonne chance !

@Violaine Malicorne
Ne t'en fais pas, pas besoin de longs discours, un simple signe de toi suffit à mon bonheur. Mais, c'est vrai, tu as raison, je n'y avais pas pris garde, ce sont surtout les femmes qui, en général, réagissent à mes textes. Je ne compte évidemment pas l'autre crétin emplumé qui se croit malin de me dézinguer sous un pseudonyme, je ne compte pas non plus le père Moussard avec qui tu as su me brouiller. Les femmes seraient-elles plus sensibles que les hommes à ma littérature ? Peut-être qu'il serait intéressant de le savoir, mais ça ne m'empêche pas de dormir. Après tout, j'écris pour qui a envie de me lire, sans tenir compte un seul instant de son sexe.

@Jéromine Patatras Passer après toute cette enfilade de commentaires élogieux (tous dus à des femmes, d'ailleurs - y a-t-il un enseignement à en tirer ? - hormis un, commis sans doute par un auteur que ton succès plonge dans l'aigreur), ce n'est pas du nanan ! Aussi me contenterai-je de dire que j'ai lu ta nouvelle avec le même plaisir que tu as certainement connu à l'écrire. Allez, je me lâche : je l'ai trouvée admirable !

@Vanessa Michel
Ah oui !
Merci.

Léon le héros de la modification. Belle journée !
P.S.: Tant pis pour elles !

@Dominique Martens
Vous avez dit quelque chose ?

@Vanessa Michel
Décidément, vous êtes une lectrice comme on les rêve, je veux dire aussi attentive et sensible à la forme qu'au fond - l'une et l'autre allant toujours de pair comme on le sait ou devrait le savoir. J'ai aimé, je vous l'avoue, que la crudité d'un certain vocabulaire ne vous ait pas effrayée et que vous ne l'ayez pas confondue avec une quelconque vulgarité. Parce que la vulgarité n'est jamais, ce me semble, dans les mots mais dans l'esprit de certains qui les écrivent (ou les lisent). La libération des mœurs qu'a connue notre temps n'a pas tout à fait empêché qu'une très sotte pudibonderie continue de prospérer dans de nombreuses têtes, avec pour conséquence qu'auprès d'encore trop nombreux lecteurs, dans une histoire d'amour, on peut parler de sentiments jusqu'à s'en étourdir mais qu'il demeure interdit de dire les choses du sexe. Or, aussi bien que le fond et la forme sont intimement liés, les sentiments et le sexe naviguent dans la même galère (!), l'être humain est un animal sentimental et sexué (heureux bonobos qui ne s'embarrassent pas de trompeuse moraline pour s'envoyer en l'air !), et il est extrêmement puéril de faire semblant de l'ignorer, ou de s'en offusquer. Fort heureusement pour vous (et pour moi par la même occasion), vous n'êtes pas faite de cette hypocrite et puritaine farine, ce qui fait que je reçois vos compliments avec un réel plaisir. Merci.
PS : Sans doute suis-je une pécore de première, mais je n'ai pas compris votre allusion à un certain Léon. Auriez-vous la gentillesse d'éclairer ma lanterne ?
PPS : Mes sœurs sont affreusement vexées...

Bonjour, J'ai lu quatre ou cinq pages. Le style est correct ; les phrases courtes et agréables. Mais je ne vois que le long soliloque égotique d'une graphomane bavarde. Absolument rien, à part un verbiage sans fond et sans fin, des gazouillis d'hirondelles. Mais ne sommes-nous pas dans la ligne parfaite de la littérature actuelle qui consiste à : 1) À ne parler que de soi. 2) À se regarder le nombril 3) À babiller. Un vide structurel, la défaite de la pensée. La dernière vague d'intellectuels formés à l'écriture, mais lobotomisés et décérébrés. Et, il est regrettable que pour susciter la pâmoison, recevoir leur petite dose d'endorphine, trop d'auteurs sacrifient le fond au style. L'habit, l'apparence, la brillance au profit d'une vacuité sidérale.

Jéromine, c'est un double plaisir pour moi, puisque vous avez associé à ma passion des phrases infinies celle (tout aussi ravageuse) des points-virgules. C'était un véritable régal ; lumineux et souterrain, cru sans être vulgaire, alerte, drôle, tendre... Vous avez l'art de rendre vos personnages si attachants ! J'aime effroyablement la manière dont la démesure de votre grande (et charmante) écriture s'allie à la délicatesse. Brèfle : je préfère mille fois prendre le train avec Pauline qu'avec Léon. Bien à vous (et à vos sœurs, mais je n'aurai pas le temps de faire la bise à tout le monde).

@Pierre Sans Berro
Pourquoi donc avez-vous supprimé votre commentaire ? Une crise subite de timidité ?

@Pierre Sans Berro
Après que j'ai lu, avec toute l'attention nécessaire, votre important message, il m'est venu à l'esprit plusieurs réponses possibles. Je vous les livre, vous laissant le soin de choisir celle qui vous conviendra le mieux :
1) Et que voulez-vous que ça me fasse ?
2) Rassurez-vous, s'il n'y a que ça que vous ne connaissiez pas, vous êtes le plus savant des hommes,
3) C'est bien gentil de m'avoir lue jusqu'à la deuxième page,
4) Je ne manquerai pas d'en parler à mon bégonia ; je suis bien sûre que ça va le passionner,
5) Merci d'avoir su extraire de ma nouvelle sa substantifique moelle,
6) Sinon, vous, ça ?
J'en ai bien encore quelques autres en réserve, mais le temps me manque de vous les exposer. Et si l'envie vous envahit qu'on reste en bons termes, évitez, s'il vous plaît, de me dire pour laquelle vous opterez.
Cordialement.

@Catarina Viti
Ce que vous ne savez pas, ô commentatrice insubmersible, c'est que ma maman à moi (qui était une sorte de folle Amazone) m'a tellement tapé sur la tête avec ses escarpins qu'elle m'a inculqué une modestie inoxydable, imputrescible, avec dont à laquelle de quoi je mourrirai avec. Avant de ressusciter pour bien emmerdifier les grincheux.

@Catarina Viti
Quoi ??? Mes nouvelles ne défriseront même pas une feuille de chou ??? Quel terrible blâme !!!

@Catarina Viti
Ne craignez-vous pas que mes balivernes ne gâchent irrémédiablement votre farci poitevin ?

@Muriel W
Très drôle, cette allusion à Butor ! Mais je crains qu'il aurait été horrifié de se voir ainsi associé à mes calembredaines !
Mes sœurettes se joignent à moi pour un solennel merci !...

@Jéromine Patatras Voilà une "Modification" à laquelle n'aurait pas pensé Michel Butor ! Plus sérieusement, j'ai beaucoup aimé l'écriture toujours ample et d'une richesse peu commune, cette manière que vous avez de nous faire côtoyer intimement un personnage féminin fantasque et à qui est donné ici une très dense et très belle réalité. Je reste des demoiselles Patatras une lectrice conquise !

@Vanessa Michel
J'ai hâte (mais je tremble) de connaître votre avis...

Ah génial ! Ça sera ma récompense ce soir après une journée de travail. J'espère de tout cœur qu'elle contient les interminables phrases qui me ravissent, et dont vous gardez si jalousement le secret... Bonne journée, Mademoiselle Patatras - quelle fratrie ! Et merci.