La série « Macron, Napoléon des temps modernes ? » avait commencé par une nouvelle publiée le 21 mai 2018, pour le cinquantenaire de Mai 68 organisé par monBestSeller sur le thème « Sous les pavés, quelle plage ? ». Le titre s'était imposé par analogie aux réformes entreprises par le 1er Consul Bonaparte, devenu Napoléon 1er, Empereur des Français.
A la nouvelle ont suivi des essais publiés après chaque étape déterminante du premier quinquennat Macron.
J'ai tout réorganisé sous la forme d'essais (4 pour le premier quinquennat) qui constituent une chronique. Un cinquième est en cours d'écriture pour le second quinquennat.
Ce livre est noté par
@Kroussar
Bonjour Jean-Claude,
Il a encore prouvé hier soir lors de son allocution qu'il est excellent en "communication".
Chacun pouvait se demander comment il allait pouvoir s'en sortir après le passage en force de la réforme des retraites qui donne lieu (sans discontinuer) à des regroupements sauvages, des actes de vandalisme ou de destruction par tags et/ou incendie sur des biens publics (commissariats, hôtels de ville, couvent des Jacobins à Rennes, mobilier urbain, vélos des villes...) comme sur des biens privés parfois symboles du capitalisme (agences bancaires, immobilières, voitures, siège de l'établissement financier BlackRock, siège de LVMH) mais pas toujours (scooters, kiosques à journaux, vitrines, poubelles...), des blocages de voies ferrées, d'accès aux incinérateurs, etc.
Il faut savoir qu'actuellement il n'est pas en mesure de pouvoir se déplacer librement ni d'aller au contact du public sans un cordon de sécurité important. Du jamais vu pour un Président. Cela fait penser à la tête tranchée de Louis XVI, aux attentats meurtriers contre Napoléon 1er, Napoléon III, à l'assassinat du Président Sadi Carnot, du Président Paul Doumer, à l'attentat du Petit-Clamart contre le général de Gaulle.
C'est la triste réalité. La question est : comment cela finira-t-il alors qu'il est encore à la première année de son second quinquennat ?
Comme on dit : affaire à suivre. J'approche les 400 pages sur ce tome 6... et il y a et aura encore beaucoup à écrire au fil de l'actualité pour cette chronique !
Pour te reprendre sur un passage de ton commentaire pertinent : "je trouvais en Macron un comportement qui ne correspondait pas à la stature de président de la République". J'exprimais le point de vue contraire dans le tome 1. Son talent de "comédien" pour avoir précisément su incarner l'attitude de la fonction au tout début de son premier mandat (à opposer à celle de Nicolas Sarkosy et de François Hollande). Je la décris page 21 : malgré sa jeunesse, il a su d'emblée redonner de la hauteur à la fonction présidentielle... Je le redis, il avait abusé tout le monde avec son "talent de comédien" qui lui permettait d'endosser un rôle. Mais il y a un moment où la réalité s'impose. J'avais commencé à m'interroger lors du "clash" avec le CEMA Pierre de Villiers le 13 juillet 2017 (pages 51 à 55 du tome 1). Ancien militaire, j'avais considéré cela comme un affront extrêmement maladroit, une bourde sans nom, et pensé que le général allait donner sa démission, ce qu'il a fait. Il a pris sa revanche avec ses trois écrits publiés aux éditions Fayard : "Servir" (2017) ; Qu'est-ce qu'un chef ? (2018), surtout celui-ci, et encore "L'équilibre est un courage" (2020).
Excuse-moi d'avoir encore été un peu long, mais c'était justifié.
Cordialement. MC
Bonjour Michel,
Effectivement, ces modifications et compléments (j'ai eu la flemme de relire tes recueils.) sont les biens venus. Et je les partage... Notamment (et je te cite) :
"Macron est le résultat d'une construction.
Une construction sans complot, une construction légale, à la vue de tous. Il est le simple représentant d'un groupement d'intérêts qui sont différents de ceux de la nation souverainiste et indépendante, le modèle séculaire que nous connaissions tous avant la mondialisation."
Je ne sais pas pourquoi, l'intuition peut-être, mais je trouvais en Macron un comportement qui ne correspondait pas à la stature de président de la République. Plutôt à celle de l'un de ces jeunes loups prêts à tout pour y arriver. Et j'en ai croisé des dizaines dans l'industrie, mais une fois en poste ces gamins détruisaient le savoir-faire, les compétences pour une sacro-sainte rentabilité...
Il me semble, qu'il y a beaucoup de parallèles...
Cordialement,
@Kroussar,
Bonjour et merci pour ces commentaires.
Oui, la vision du futur telle que je la ressens est aussi bien sombre de mon point de vue.
J'avais d'ailleurs ajouté au sous-titre du tome 5 - Ou 100 jours avant Waterloo - que j'ai retiré après qu'il a passé le cap de ces 100 jours.
Et le sous-titre du tome 6 ne reflète pas non plus l'optimisme : - 2023 : Jupiter dans l'impasse ? -L'écriture en cours du tome 6 (que je nourris au fur et à mesure de l'actualité abondante m'a amené à des passages nettement moins flatteurs que ceux de mes premières impressions quand il a été capable de tromper tout le monde, avec l'aide des médias et de ses conseillers en communication (qui ont coûté si cher). J'ai en particulier introduit (hier, c'est donc très récent) deux passages chocs dont extraits ci-après :
1 - « Emmanuel Macron est le Tartuffe absolu de notre temps, un esprit méchant, qui cache sa médiocrité, son peu d'élévation intellectuelle et morale, derrière des artifices de communication.
En vérité, Macron est un être superficiel, narcissique, froid, méprisant, manipulateur, perfide, hypocrite, incapable de faire preuve d'une once d'empathie ou de compassion vis à vis des Français.
Il n'y a chez Macron qu'une seule cohérence : tout en lui est faux et tout chez lui sonne faux. Au-delà, tout n'est qu'apparences, fabriquées par des experts en communication et des médias complaisants.
L'homme n'est pas aimable mais dur et sec.
Et, derrière les images bien lissées, les simagrées, les inflexions surjouées et les sourires de façade, percent rapidement le regard froid et le sourire carnassier de l'homme qui est prêt à tout, sans état d'âme, pour atteindre ses objectifs et son intérêt.
(…)
Cet homme, contrairement à l'image fabriquée de toutes pièces par les médias, est vide, peu intelligent et il ne possède aucune vision, aucune ambition, aucun projet.
Sa philosophie politique est aussi médiocre que son esprit et tient en une phrase : être faible avec les puissants et être puissant et intraitable avec les faibles.
(…)
Et, comme si cela ne suffisait pas, comme tous les êtres insuffisants et stupides, il adore mépriser.
Comment parvenir à respecter un tel homme qui sans cesse se complaît dans le mépris du peuple, dans l'outrance, l'insulte et le défi ?
C'est tout simplement impossible.
(…)
2 - « Au risque de vous surprendre, il est à mon sens tout à fait logique que Macron soit l'actuel président de la République. Je ne suis surpris ni par son élection ni par sa réélection.
(...)
Macron est le résultat d'une construction.
Une construction sans complot, une construction légale, à la vue de tous. Il est le simple représentant d'un groupement d'intérêts qui sont différents de ceux de la nation souverainiste et indépendante, le modèle séculaire que nous connaissions tous avant la mondialisation.
(…)
Analysez Macron comme une construction et tout sera évident.
En 2017, tous les médias font le même constat : nous sommes en présence d'un génie ! Sans rire, ils nous présentent cet homme fluet à la voix de crécelle comme un philosophe éblouissant, un banquier remarquable, un véritable génie de la finance.
Les médias, ce supposé quatrième pouvoir garant de la démocratie, éludent, sans aucune vergogne, toutes les trahisons, tous les manques, toutes les contradictions et martèlent 24/7 qu'il est jeune, beau, moderne, brillant et qu'il sera notre sauveur.
Des gens peuvent honnêtement y croire.
(...)
En 2021, la campagne fut une parodie de démocratie. Voter mais pour qui ? Où était la solution ?
(…)
Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Eric Zemmour servent alors de repoussoirs faciles et de leurres ridicules pour animer une campagne factice.
Et pendant ce temps, les uns et les autres (LREM, Modem, LR, etc.) se mettent d'accord pour occuper des postes en attendant la fin du spectacle c'est-à-dire la soumission douce et totale de notre nation.
(…)
Nous devons affronter la réalité que nous cachent nos dirigeants, nous sommes au bord du gouffre.
Si j'étais candidat à la présidentielle, je ne ferais qu'une seule promesse, celle de Churchill en 1940 : "Je n'ai à offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur."
Bonne lecture et bonne journée.
En réponse au titre de ce recueil, la réponse est définitivement : NON !
Macron ne sera jamais le napoléon des temps modernes, car Napoléon à tout créé, ou presque, alors que le gamin aura tout détruit...
Bonne journée.
@Michel CANAL
Bonjour Michel, je partage également la vision sombre du futur, je suis pourtant un optimiste.
Mais ne dit-on pas qu'un pessimiste est un optimiste bien informé.
En attendant le 5e tome, bon courage...
@Kroussar, je suis ENTIÈREMENT D'ACCORD avec votre analyse sur notre président, sur le manque de courage de nos gouvernants depuis plusieurs décennies au regard des magouilles électoralistes pour en particulier l'indépendance énergétique voulue par le fondateur de la Vème République, poursuivie par ses successeurs à l'Elysée jusqu'à VGE ; sur la lâcheté, l'imprévision et les erreurs des suivants et sur le fait que le binôme actuellement à la tête de l'exécutif a sa part dans le démantèlement de nos centrales nucléaires ; sur le fait enfin que la maxime "Gouverner, c'est prévoir" s'est transformée en "Gouverner, c'est se faire élire ou réélire" ; qu'ils ont été incapables d'anticiper et de prévoir... et que donc ils sont incapables de gouverner aujourd'hui.
J'apporte cependant deux précisions de taille :
— le tome commenté sur la chronique du premier quinquennat d'Emmanuel Macron est le "1" sur une série qui en compte "4", développé (comme expliqué dans l'introduction) à partir d'une nouvelle sur le cinquantenaire de Mai 68 ;
— un tome "5" relatif au second quinquennat est en cours d'élaboration, toujours avec l'objectivité dont j'ai essayé de faire preuve.
Comme déjà précisé dans mes réponses à des commentaires sur l'un comme sur tel autre, si mon écriture avait été partisane j'aurais échoué dans l'objectif d'en faire une chronique.
Merci pour votre passage et pour vos analyses, surtout résidant loin de la France, donc loin des inquiétudes partagées par nos concitoyens quant à l'avenir qui se profile, pas seulement sur le plan énergétique. D'ailleurs, mon hypothèse pour les mois et années à venir serait celle d'un scénario plutôt sombre.
Pourquoi cet aveuglement sur MACRON ? Alors qu'il est impliqué dans la crise actuelle !
Personnellement, cela m'attriste de voir ce qui se passe en France et en Europe... Alors je partage mon coup de gueule avec vous.
Je n'aime pas parler de politique, c'est un sujet sensible et qui fâche, même entre amis...
Mais le constat est malheureusement là : "L'indépendance énergétique" tant voulue par Charle de Gaulle et Georges Pompidou, puis relayée par Valéry Giscard d’Estaing ( héritier du plan Pompidou-Messmer ) a été réduite à néant à partir de 1983...
Je ne souhaite pas entrer dans un débat gauche versus droite, cette notion désuète, mais force est de constater que les derniers Présidents de la République se sont tous endormis au volant, plus ou moins volontairement... et qu'une pénurie d'énergies menace réellement.
Certes l'Etat a manqué de courage, mais il n'a fait que suivre les mouvements d'opinion portés par les médias, qui ont une grande part de responsabilité.
Je tiens à préciser que je ne suis ni de gauche, ni de droite, encore moins du centre, comme le disait Coluche. J'ai toujours voté pour le programme qui me semblait, à mes yeux, être le plus raisonnable pour l'avenir de nos enfants, et j'ai été souvent trompé.
Aux petites et, surtout, grosses magouilles qui arrangeaient les politiciens, il faut ajouter l'opportunisme politique (faire risette aux PASTÈQUES, ces écolos Verts à l'extérieur, Rouges à l'intérieur), le clientélisme à géométrie variable (E. Macron), la lâcheté (TOUS), la médiocrité des Présidents d'EDF nommés par les politiques, les petits marchandages de la politique extérieure du pays (avec l'Allemagne) et la vision de nos Président qui se limite à leur prochaine campagne électorale.
Bref, cette déchéance du système énergétique Français n'est tout au plus que la "chronique d'une faillite annoncée".
Comment pouvait-il en être autrement ?
Alors que la France était plutôt en avance sur le nucléaire et première en fourniture d'énergie électrique en Europe.
La peur du nucléaire, certes bien réelle, pour la maîtrise des réacteurs et des déchets, a fait prendre de mauvaises décisions, surtout en invoquant que les centrales contribuent au réchauffement climatique (idée bien ancrée dans les esprits), CE QUI EST FAUX !
Les centrales sont pratiquement dénuées d’émissions de particules ou de gaz nocives pour la santé et l’environnement. Le faible taux de CO2 émis par les centrales est un avantage massif, au regard du charbon et du gaz, source de près de 70% de l’électricité mondiale.
Tout projet de construction de centrales thermiques, qu'elles soient nucléaires ou au gaz, prend du temps. Ainsi, ce n'est pas aujourd'hui que l'on va régler les problèmes que l'on aurait dû prévoir et traiter, il y a 10 ou 20 ans, y compris dans la formation des techniciens et ingénieurs nécessaires... Quant aux soudeurs, un savoir-faire s'est perdu et doit être retrouvé, ce qui demandera son lot d'essais et d'erreurs...
D'ailleurs des erreurs ont été commises dernièrement. Quand on sait que six couvercles de cuve actuellement en service ou sur le point de l'être (E. P. R de Flamanville) ont été validés sur la foi de PV de réception falsifiés (Dixit l'A. S. N, l'Autorité de Sûreté Nucléaire), alors que cet élément est la pièce principale d'une cuve de réacteur dont la rupture entraînerait un accident de niveau 7 sur l'échelle INES (international nuclear event scale) de type Tchernobyl, on peut supposer que là encore, des PV de réception ont pu se signer sur un coin de table dans un bon restaurant.
Bref, il va de soi que, chez ces gens-là (les politiciens, les énarques), "Personne n'est responsable de rien". C'est UNE règle édictée par ce petit monde issu de l'ENA.
Si on en est là, c'est PRINCIPALEMENT, à cause des décisions foireuses des politiciens, voulant plaire aux écologistes, appuyés par les médias.
Voulez-vous quelques noms ? Oui ?
Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Royal, Borne, Macron et tous ces politiciens qui se sont gravement plantés sur l'énergie nucléaire, en imposant sa suppression, ont eu un comportement néfaste pour la France.
MITTERRAND qui, dès 1981 dans le contexte de la poussée du mouvement écologiste, décida de l'arrêt de toute nouvelle construction de centrale, limitant le programme nucléaire aux centrales en cours de construction.
CHIRAC et SARKOZY, furent inexistants... et rien ne sera tenté pour inverser la tendance, laissant quasi à l'abandon et à la discrétion des Présidents d'EDF la maintenance des centrales.
BORNE, l'anti nucléaire, qui a sévi à côté de Madame ROYAL, reine de la gabegie ; et du Magnifique Calamiteux 1er dit HOLLANDE, destructeur de Fessenheim et de la filiale nucléaire française, prévoyant la fermeture de la moitié des centrales existantes et l'arrêt de tout investissement destiné à les prolonger.
MACRON, qui a aveuglément et bêtement poursuivi dans la voie de son prédécesseur, gagnant le titre de Super Calamiteux Bis, en ne revenant pas sur la décision de fermer Fessenheim, et toute cette cohorte de conseillers énarques tout aussi diplômés que déconnectés du réel et totalement incapables.
MACRON, encore, qui a promulgué une loi de programmation (2018) pour démanteler 14 réacteurs nucléaires dans la période 2020-2025. Cette loi n'a pas encore été abrogée. Il a commencé par Fessenheim ! Et le PDG d'EDF a embauché du personnel qualifié tels les soudeurs qu'il va chercher au Canada et au Danemark !
Pendant les dernières élections présidentielles, Mélenchon a confirmé qu'il était pour la fermeture des centrales, et les autres se sont fait tout petit sur le sujet.
ALORS ?
TOUS, je dis bien TOUS, s'ils avaient un tant soit peu de sens de l'honneur et de la considération pour les Français, devraient avoir à cœur de présenter leurs excuses pour leurs erreurs et, en même temps, leurs démissions. Ils ont été incapables d'anticiper et de prévoir, donc ils sont incapables de gouverner aujourd'hui.
La maxime "Gouverner, c'est prévoir" s'est transformée en "Gouverner, c'est se faire élire ou réélire".
Et que dire de ce dernier comité Théodule, comme disait de Gaulle. Ce fameux CNR, Conseil National de Refondation, comité où l'on parle, sans jamais prendre de décisions...
PS 1 : je tiens à préciser que je suis pour la préservation de la planète, pour la réduction du gaspillage, pour la réduction de la pollution... sans pour autant revenir à l'âge de pierre, donc des choix particulièrement difficiles.
PS 2 : l'empreinte carbone de notre famille est très faible, peu de déplacements en voiture (une fois par trimestre), pas de voyage en avion ou en bateau, utilisation de l'eau à minima, peu de consommation électrique (pas besoin de chauffage) ; récoltes familiales pour le riz, les légumes et les fruits, sans produits chimiques. Élevage de volailles uniquement au grain. Élevage de cochon et de veau uniquement avec du fourrage, etc.
PS 3 : Ce 7 septembre 2022, le Président Macron semble se réveiller et ORDONNE, en mettant EDF sous pression, de relancer le parc nucléaire alors que 31 réacteurs sur 56 sont à l’arrêt. L’entreprise espère n’en compter qu’une dizaine d’indisponibles cet hiver. Bien évidemment, MACRON s'est empressé de rejeter la faute et les problèmes sur les autres...
Ah, merci ! Oui, c'est la conversion qui fait ça. Ce n'est pas la première fois.
Bises, connue qui ne dit pas son nom.
Cher Michel, je te signale que ta lettre aux Français a migré dans le texte alors qu’elle devrait se trouver tout à la fin en annexe.
Problème de conversion certainement.
Bises à toi. Ta très chère amie C...
Amis lecteurs, je viens de remplacer le PDF de cet essai tome 1. J'ai ajouté une introduction en début des pages numérotées (1 à 7) :
« Le lecteur se demandera peut-être pourquoi ce titre : Macron, Napoléon des temps modernes ?
Peut-on comparer Emmanuel Macron, qui n'a même pas fait son "Service militaire" — mais qui est tout de même de par sa fonction, Chef des Armées — à celui qui a été glorifié sous le nom et le titre de Napoléon 1er, Empereur des Français (...)
Emmanuel Macron, qui doit faire face à une conjonction de périls que peu de pays ont eu à affronter en temps de paix, n'est pas assuré, dans la conjoncture actuelle, de pouvoir se représenter à l'élection de 2022. (...) »
Bonne lecture, conforme à la conjoncture actuelle.
Merci @MartineRenaud pour avoir laissé une trace de votre passage (l'indispensable pour un auteur) et pour avoir exprimé votre opinion.
Vous avez raison pour la structure. Le point de départ qui m'a incité à poursuivre dans la lancée était ma participation à un concours de nouvelles pour le cinquantenaire de Mai 68. Sauf que j'ai développé un peu plus le texte du concours, limité à environ 8 pages (une frustration pour moi).
Depuis, je suis en train de tout reprendre pour ne garder que des essais qui relateront (toujours ma méthode analyse/synthèse) les différentes phases de ce quinquennat singulier. J'ai regroupé en un seul volume (tome 1) le texte de cette nouvelle et sa première suite (évoquant elle les "Gilets jaunes"), en profitant car je suis un perfectionniste, pour en améliorer la présentation.
Le choix du titre générique m'a été inspiré d'une part, par le caractère atypique du personnage, sorti de "presque nulle part" et arrivé à se faire élire (un coup d'état pacifique), la représentation photographique très ressemblante avec Napoléon 1er, et d'autre part, par le nombre important de réformes structurelles entreprises très vite... à la manière de lorsqu'il était seulement 1er Consul et poursuivies lorsqu'il a été Empereur.
Ces essais en plusieurs tomes pour garder un nombre de pages facilitant la lecture (j'ai tenté un seul volume, mais il aurait été un pavé indigeste) et séquençant bien les phases auxquelles notre "Jupiter" a été confronté remplaceront les écrits actuels.
J'ai terminé les tomes 1 et 2. Pour la suite "des suites", la 6ème est naturellement en cours d'écriture car l'actualité est riche en événements avec l'évolution de la pandémie, les élections sénatoriales faisant déjà partie du passé, un nouveau gouvernement, l'attente des élections régionales et départementales...
Ce quinquennat méritait que l'on s'y consacrât tant les événements ont été nombreux. Le lecteur aura donc "in fine" une synthèse de citoyen "lambda" qu'il pourra mieux comprendre que l'information mensongère des politiques et des médias.
Merci, énigmatique @cats008 qui me fait le plaisir de se diversifier, toi qui t'étais manifestée seulement par mes écrits sur Claire et qui me défies depuis mes premières publications.
Je ne bouderai pas le plaisir d'un si agréable commentaire me rappelant mon passé récent d'animateur.
Pour ce qui est de notre président, je suis assez d'accord avec toi. Nous verrons ce soir ce qu'il va nous annoncer dans on allocution.
Je n'ai pas encore commencé ma suite 5, mais je crois que je ne vais pas tarder à devoir m'y atteler.
Bisous à toi, C. Combien faudra-t-il encore attendre pour savoir qui se cache sous cette initiale, avec le profil de ce couple de chats magnifiques ?
MC
@Michel CANAL, Je te rassure, Michel, ta manière de présenter les événements est loin d'être ennuyeuse. Au contraire, c'est vivant. J'ai entamé le tome 2 et je trouve que l'insertion d'articles sur les discours et réflexions de Macron donne du dynamisme au récit. Il n'y a pas cet aspect lourd qu'ont certains ouvrages à but pédagogique.
Je continue de ce pas ma lecture (je lis lentement, surtout sur un écran).
Très bon dimanche,
Mes amitiés,
Duncan,
Merci @Duncan Cartwright d'avoir exhumé cette nouvelle qui avait pour objectif de comparer les situations de l'épisode "Mai 68" et de mai 2018 que d'aucuns auraient souhaité aussi bouleversant pour son cinquantenaire.
C'est un aperçu condensé utile (qui reste dans l'esprit de la nouvelle du concours) pour ceux qui n'ont pas vécu Mai 68.
Les suites sont des synthèses que j'ai souhaitées objectives, sans parti pris autre que celui de reconnaître à notre président d'avoir eu le courage et la volonté de tenter de réformer tout ce qui aurait dû l'être depuis des décennies, avec chaque fois la question : réussira-t-il à les mener ?
Bonne lecture, cher Duncan, en espérant que ces synthèses ne vous ennuieront pas car elles n'ont pas le côté marrant de vos nouvelles.
Avec toute ma sympathie. MC
Merci @Jean Balmori pour votre commentaire de connaisseur. Malgré les rediffusions de Mai 68, celui qui n’a pas connu l’avant et le pendant ne peut imaginer le bouleversement de la société les mois et les années qui suivirent.
Au plaisir de vous lire après lecture de la « suite ». MC
Merci @Lys Jean-Luc pour l’intérêt que vous avez manifesté à cette analyse sous forme de nouvelle "développée", dont l’enjeu était, en fonction du succès ou de l’échec de la convergence des luttes et des mécontentements organisée par Mélenchon et l’opposition de gauche le 26 mai 2018, la possibilité pour notre président jupitérien de pouvoir ou non poursuivre le plan de réformes en cours et futures.
L’analyse comparative avec Mai 68 mise en ligne le 21 mai, soit cinq jours auparavant, se terminait donc sur un point d’interrogation.
L’essentiel y était exposé en peu de pages. Je ne savais pas à ce moment-là que les événements m’obligeraient à envisager une suite.
Cordialement. MC
Merci @Kroussar, pour ce commentaire pertinent. Tu as eu raison de lire cette "nouvelle" développée pour bien comprendre la comparaison entre Mai 68 et mai 2018 d'une part, un paradoxe de situation :
— Mai 1968 : pas de chômeurs, pas de dette, l’insurrection pour exiger des réformes,
— Mai 2018 : plus de 6 millions de chômeurs ; plus de 2 000 milliards d'euros de dettes, les libertés d’un pays démocratique, l’appel à l'insurrection pour s’opposer à des réformes salutaires initiées par le gouvernement,
et d'autre part partir de cette analyse pour prendre la mesure de l'évolution durant l'année 2018 après l'échec de la tentative de déstabilisation souhaitée et orchestrée par Jean-Luc Mélenchon.
Une opposition "politique" a souhaité en 2018 en arriver à bloquer l'économie du pays comme en mai 68. La "nouvelle" s'arrêtait donc sur cette éventualité.
On connaît la suite... qui fait l'objet de l'essai.
Pour un expatrié lointain comme toi, Jean-Claude, ce "point de situation" pour utiliser un jargon familier, était utile, voire nécessaire. Tu comprendras en même temps comment j'ai pu me piquer au jeu de me lancer dans une "suite", au moment charnière du "grand débat national" lancé par notre Président (que je ne suis pas le seul à oser comparer au Napoléon à l'origine de grandes réformes plus de 200 ans plus tôt, sous le Consulat d'abord, puis sous l'Empire, réformes encore en vigueur actuellement).
Si Macron réussit l'exploit de réformer, malgré les obstacles, lui aussi, comme son illustre prédécesseur, aura fait beaucoup pour dégager ceux qui faisaient de la politique (à tous les échelons) un métier particulièrement juteux, pour plus de justice sociale, fiscale et démocratique.
C'était bien sûr une gageure pour moi car je ne fais pas de politique, ni n'en suis un commentateur spécialiste. Ce qui est certain, c'est que notre Macron est extrêmement brillant. Il l'a été pour s'infiltrer dans le dispositif élyséen, pour comprendre quelles réformes les Français attendaient, pour créer un "mouvement" lui permettant de s'imposer jusqu'à gagner l'élection présidentielle (sans coup d'état du 18 brumaire) malgré sa jeunesse et son inexpérience, n'ayant jamais été élu.
Comme on dit : affaire à suivre !
Amitiés, cher Jean-Claude et frère d'armes.
MC
L'actualité appelle une suite. J'y travaille et serai heureux de la soumettre à votre lecture. MC
@VAY Céline,
merci, ma chère Céline, pour tes analyses toujours poussées, pertinentes, impartiales. Tu as raison, tout ce que tu dis est juste. C'est précisément l'intérêt du titre et de la chute, terminés par un point d'interrogation. La seule certitude est qu'il fallait réformer et moderniser, donner un grand coup de pied dans la fourmilière, rajeunir les élus, faire en sorte qu'ils ne s'incrustent pas dans les fauteuils du pouvoir, redonner sa puissance à l'Etat... La méthode a-t-elle été la bonne ? Comment les Français réagiront-ils au terme de ce quinquennat ? Si Napoléon a été un grand organisateur des institutions, il a aussi laissé dans l'Histoire la marque d'un tyran et d'un grand "criminel" (bien que les morts à déplorer sur les vingt années de ses guerres ne dépassent pas en nombre, pour la France, celles de la Grande Guerre en seulement cinq ans). Tu l'auras compris, le choix du titre n'était donc pas un gage d'adhésion et de certitude de réussite. Seulement un clin d'oeil à la méthode comparable, menée tambour battant en faisant fi des obstacles... et probablement de l'opinion. L'Histoire est seulement en train de s'écrire, mais on peut d'ores et déjà, pour rester dans le sujet, dire que mai 2018 n'a été que la parodie de Mai 68. Mélenchon s'est monté le bourrichon, et les syndicats d'opposants traditionnels ont perdu leur capacité de nuisance, face à un exécutif qui a retrouvé sa détermination. Avec toute mon amitié. Je t'embrasse.
@CHARDON Eric, quelle agréable surprise de découvrir votre commentaire, celui d'un jeune auteur qui a su faire une analyse remarquable de ce que j'ai souhaité exprimer (il est important de le préciser) avant les manifestations des 22 et 26 mai. L'ampleur souhaitée par les organisateurs pouvait être (c'était l'objectif recherché) "LE" tournant déterminant susceptible de faire céder le gouvernement. Cette hypothèse était énoncée dans le préambule : assistera-t-on à un « Bis repetita de Mai 68 » en mai 2018, ou seulement à sa parodie ?
Vous avez eu raison de souligner l'opposition paradoxale du contexte social et économique en 1968 et en 2018, qui a abouti cependant à un climat insurrectionnel comparable.
J'apporte toutefois un bémol à ce qui peut sembler être de l'admiration pour le très jeune président Macron. Cela relève du simple constat de la réussite de son élection, de sa perception des problèmes qui gangrènent le pays dans un contexte de mondialisation et d'âpre concurrence, de la grandeur retrouvée pour la fonction, et de sa détermination pour aller de l'avant, au plan national comme au plan international.
Je compare le nombre de réformes réalisées ou engagées, ainsi que le rythme pour les mettre en oeuvre, à ce que réalisa le premier consul Bonaparte, devenu empereur, à qui nous devons tant d'institutions créées sous son règne.
Cher Eric, votre avis pertinent, vous qui n'avez pas vécu Mai 68, m'a réjoui. Je ne doute pas de la réussite dans vos projets. Soyez un auteur talentueux, vous pourrez alors rêver à un avenir d'écrivain. Foncez ! La plate-forme monBestSeller vous sera d'un grand secours pour recueillir l'avis des lecteurs et des auteurs avant d'envisager l'édition.
Avec ma cordiale sympathie. MC
Merci @Mestari, d'avoir mis "Macron, Napoléon des temps modernes ?" en lecture.
Un avis de lecteur me serait très précieux. N'hésitez pas à nouer un dialogue avec moi, soit par un commentaire sur cette page, soit en aparté par la messagerie (Voir son profil > Envoyez-moi un message).
Avec toute ma sympathie. Bonne lecture.
@Boris Phillips, voilà un commentaire digne du personnage érudit et persifleur que tu incarnes. J'ai particulièrement apprécié ton aphorisme de fin "en remuant les oreilles" : « Que l’Équinoxe annoncée devienne pâle ressac et il n'y aura nul besoin d'un Bossuet pour prononcer l'oraison funèbre d'une omnipotence syndicale venant agoniser sur la grève ». Mais détrompe-toi, si j'ai pu donner l'illusion d'un engagement, ce n'était pas mon intention. Il y avait juste, dans mon analyse, deux similitudes "possibles", d'ailleurs présentées sous forme d'interrogation, que chacun peut interpréter à sa façon. Mai 2018 sera-t-il un "bis repetita de Mai 68 ?", et notre jeune président "jupitérien" réformateur, fonceur et déterminé, qui exerce une gouvernance qualifiée de "verticalité du pouvoir", laissera-t-il dans l'Histoire le surnom de « Macron, Napoléon des temps modernes ? ». Merci, cher Philippe, pour ce commentaire écrit avec verve et humour. Avec toute mon amitié d'amateur d'Histoire et de gastronomie. Michel
Merci @ELISABETH LARBRE pour ce commentaire très amical. Je me sentais frustré d'avoir une foule de renseignements utiles qui ne pouvaient être inclus dans la nouvelle du concours, limitée en nombre de commentaires. Alors, cette nouvelle libre s'imposait, dans le même esprit : le phénomène Macron, le plus jeune président élu, se démarquant des partis traditionnels, les atomisant au passage, proposant avec audace et détermination des réformes indispensables. Un contexte de conflits sociaux, de contestation, d'occupations de sites avec vandalisme, de violences... une situation insurrectionnelle qui n'est pas sans rappeler celle de Mai 68. Mai 68-Mai 2018, la tentation d'un "bis repetita" s'imposait à certains, avec pour objectif une marée populaire susceptible de contraindre le gouvernement à renoncer à certaines réformes. Une analyse intéressante pour un amateur d'Histoire ! Une comparaison "osée" entre Napoléon (un grand réformateur en son temps), et notre Macron ? Pas tant que ça ! Je suis persuadé qu'on en parlera. Il n'y a pas eu de polémiques idéologiques. Amitiés, Elisabeth.
La marée populaire annoncée par la gauche de la gauche ce samedi 26 mai n'a pas atteint son objectif.
Elle était l'interrogation conditionnelle de mon analyse : « Cette marée populaire empêchera-t-elle Jupiter, notre Napoléon des temps modernes, de moderniser la France pour les cinquante ans à venir ? »
On ne scandera pas : « Macron, reprends ton baluchon ! »
Merci @LAURENCE LABBE, pour cette analyse objective. Il est vrai qu’il y avait beaucoup de choses à dire, avec la tentation de pousser le curseur ici ou là.
Ce que j’ai évoqué est factuel, non partisan, ouvert pour la suite vers des interrogations, surtout pas en arrêt sur des certitudes. Si j’avais relaté tout cela en juin ou plus tard, il n’y aurait peut-être pas eu le suspense du 26 mai 2018.
Pour le reste, il est trop tôt pour se projeter sur un avenir plus lointain. Le bilan ne sera quantifiable qu’en fin de quinquennat.
L’intérêt était d’évoquer la similitude qui semble s’imposer entre la situation de Mai 68 et tous les évènements qui font l’actualité depuis plusieurs mois, avec en prime les actes de violence récurrents.
Merci @shokouh, d'avoir mis "Macron, Napoléon des temps modernes ?" en lecture.
N'hésitez pas à nouer un dialogue avec moi, soit par un commentaire sur cette page, soit en aparté par la messagerie (Voir son profil > Envoyez-moi un message).
Bonne lecture... d'actualité !
Merci @lamish pour ton apport aux échanges sur ce sujet d'actualité. Si j'avais publié cette analyse après le 26 mai, il n'y aurait pas eu le suspense qui reste accroché à cette convergence des luttes qui sera (ou non) déterminante.
Franchement, j'ai mon opinion. Ce n'est pas pour rien que j'ai choisi ce titre. Certains y ont déjà fait allusion, les photos à ce sujet sont nombreuses. Il y a bien sûr celle que j'ai incluse sous le titre, j'en ai ajouté deux autres sur Facebook, mais il y en a beaucoup d'autres, dont certaines satiriques.
Une seule chose m'inquiète : l'incapacité "apparente" de l'Etat à juguler les occupations illégales, les violences et les actes de vandalisme, auxquels il convient d'ajouter certains faits divers commis par de jeunes mineurs (à Pau, à Perpignan, à Marseille, à Toulouse, à Paris dans le 18ème, entre autres) face auxquels municipalités, police et justice sont en échec de solutions.
Comme dans un feuilleton : suite au prochain numéro.
Merci Michèle pour tes analyses toujours pertinentes. Bises.
J'apprécie toujours @Cristina Leg, qu'une lecture suscite un dialogue. Un anniversaire comme celui-ci est ouvert à toutes les options, même si chacun penche pour l'une ou pour l'autre. Le suspense durera au moins jusqu'au samedi 26 mai. Aujourd'hui mardi 22 mai est une étape dans les revendications.
Mai 68 est perçu différemment selon qu'on l'a vécu ou non. Un hold-up pour les uns, aujourd'hui donneurs de leçons, un mythe pour les autres. Il ne faut pas ignorer que ce fut une révolution, avec des scènes de guerre civile à Paris. Une autre personnalité que le général de Gaulle aurait probablement été renversée.
Certes, il s'en est suivi, surtout à partir de 1974, une libéralisation des moeurs à outrance, mais pour ce qui est des avancées sociales concernant les salariés et les femmes, je parlerais plutôt de régression. Idem pour ce qui est des libertés. Elles se sont considérablement restreintes dans beaucoup de domaines. Le paradoxe, c'est que ceux qui scandaient "Il est interdit d'interdire" sont les mêmes, une fois au pouvoir, technocrates au service de leur caste, qui les ont peu à peu réduites pour les autres sous toutes les formes : interdictions, limitations, politiquement correct, tabous... De quoi est-on vraiment libre aujourd'hui ?
La fin de la nouvelle (page 24) pose bien le parallèle entre Mai 68 et ce que nous vivons actuellement. Merci pour ce partage, Cristina.
Merci @Boris Phillips, d'avoir mis "Macron, Napoléon des temps modernes ?" en lecture.
Bonne lecture... d'actualité ! J'attends (avec anxiété) l'avis du professeur d'Histoire, cher Boris.
Merci @FANNY DUMOND, pour ce commentaire qui en apprend beaucoup sur la situation de mai 68 en tant que jeune témoin, puis sur le naufrage de notre époque. En effet, malgré beaucoup d'avancées sociales autant en faveur des salariés, que des femmes, qu'est-ce qui a changé vraiment ? Les salariés galèrent pour avoir un emploi correctement rémunéré, des diplômés sont en recherches vaines, contraints d'accepter n'importe quel job pour survivre dans un monde de précarisation, avec comme épée de Damoclès l'incertitude du lendemain, les femmes dans le secteur privé ou libéral ont toujours un salaire très inférieur à celui de l'homme. Je n'ai pas abordé la notion de liberté. Force est de constater qu'elle se restreint comme peau de chagrin. Il faut faire attention à ce que l'on dit, à ce que l'on écrit, certains sujets sont devenus tabous. Ceux qui scandaient en 68 "Il est interdit d'interdire" sont ceux-là même qui sont devenus les technocrates qui en s'embourgeoisant, ont verrouillé la société, multipliant les interdictions, les restrictions, les obligations de ceci ou de cela... Fanny, ce fut un plaisir d'évoquer le passé de notre adolescence, ce qui nous rajeunit (hi, hi, hi !). Amitiés.
Merci @lamish, d'avoir mis "Macron, Napoléon des temps modernes ?" en lecture.
Bonne lecture... d'actualité !
Merci @Christina Leg, d'avoir mis "Macron, Napoléon des temps modernes ?" en lecture.
N'hésitez pas à nouer un dialogue avec moi, soit par un commentaire sur cette page, soit en aparté par la messagerie (Voir son profil > Envoyez-moi un message).
Avec toute ma sympathie.
Bonne lecture... d'actualité !