Catarina Viti

Merci pour ce moment de lecture, chère Parthemise. C'est léger, amusant, et toujours aussi bien écrit, mais nous ne sommes pas à l'abri d'un printemps silencieux (paraît-il). Un certain Mao Zedong, dans un lointain royaume, fut aussi, en son temps, indisposé par le moineau... et l'on sait ce qu'il en résulta !

Bonjour, Hélène, j’ai terminé la lecture de « Elle, Lui et la Mer », et je confirme ce que je vous ai déjà dit à propos de la beauté de votre écriture. Il y a quelque chose d’infiniment sensoriel et puissant dans votre manière de raconter la mer, la lumière, les senteurs, les couleurs, la plage, l’été. C’est une des grandes forces du roman : une atmosphère qui imprègne le lecteur et le transporte dès la première phrase. L’histoire d’Almira et Jeff, quant à elle, repose sur des thèmes magnifiques : l’amour, la quête d’identité, la transformation du monde, la mer comme entité vivante. Tous les éléments sont réunis pour faire de ce roman, un grand roman. Curieusement (il y a une telle tension dramatique dans le premier tiers du roman), j’avais pensé à une tragédie directe, mais elle ne vient que longtemps après, et je ne sais pas si la tension narrative me permet d’arriver à ce dénouement avec la même force que j’ai ressentie dans le début de cette lecture. En fait, la difficulté vient de ce que le lecteur a été absolument ensorcelé par le protagoniste principal : la mer, qui est longtemps escamotée par la pression du scénario. Si vous souhaitez davantage de retours sur cette lecture, j’ai d’autres éléments prêts à vous être communiqués. Je recommande vivement la lecture de votre livre. Selon moi, quelques légères modifications lui donneraient une aura encore plus belle, mais votre écriture emporte tout sur son passage.

Bonjour Thierry, Quelle fameuse idée vous est venue de commenter un texte que je soutiens, c'est ainsi que j'ai découvert et votre profil et votre livre à côté desquels j'étais passée. On sent que ce texte a été réfléchi, mûri, travaillé. C'est une très belle prose, élégante, sûre, accompagnée d'un souffle profond qui permet de signer des oeuvres de longue haleine. De mon point de vue, c'est un texte qui mérite une mise en valeur, et ce qui convient en pareil cas : une version papier. Bien entendu, il est peu vraisemblable que le lectorat se bouscule au portillon, car votre style n'est pas de mode. De nos jours, le lecteur attend du rapidement mis en orbite, du dialogue qui punche, un arc narratif qui balance des flèches à cent à l'heure dans la cible. Or, vous offrez une lente percolation, une exploration fouillée du labyrinthe, ce que la masse lectorale ne recherche pas en priorité. Mais je soutiens votre texte et par les 3 coeurs, j'en recommande chaudement la découverte. Je n'ai pas terminé la lecture, mais si vous le souhaitez, nous pouvons dialoguer. Merci pour ce partage.

Succulent !

Bonjour Anne ! Je n'ai pas encore lu votre livre (ou du moins votre extrait), mais je recommande par avance aux visiteurs de venir découvrir votre nouveau roman. Nous avons tous en mémoire Constance.