Valérie Pison

Chapeau l’artiste. Cela fait trois semaines que j’ai découvert la plate-forme MBS. Par paresse intellectuelle et par peur d’aborder un type d’écrit que je ne connais pas bien, j’avais délaissé votre livre pourtant présenté en première position. Je l’ai finalement ouvert et j’ai été subjuguée: l’idée de parcourir l’actualité sous forme de poèmes donne un autre éclairage. Même peu initiée à la poésie, je me suis sentie concernée par tous les poèmes ou presque. J’ai beaucoup aimé ( entre autres ) Het Pomphuits, Le choix de sa vie et Gaza effet de serres ( et ce ver : les tirs d’artillerie font mouche à sang pour sang). On comprend mieux en vous lisant l’expression : « la magie des mots ». S’il y avait eu une note supérieure c’est celle que j’aurai choisie. Félicitations pour cet ouvrage et merci pour ce partage. Valérie P

@anthony Valber Il est vrai que certains bons mots le sont un peu moins ( bons) mais l’ensemble est original , amusant, et plein de bon sens ! J’ai particulièrement aimé les bons mots suivants : « les femmes veulent se faire comprendre…. », « la raison n’est point contradictoire…. » et le très bon : « l’amour a ses propres raisons , la raison a son amour propre… » , vous avez donc bien eu raison de nous proposer ces bons mots ! C’est tellement difficile finalement d’être drôle et léger, ce fut un petit bonheur de parcourir ces pages. Cordialement Valerie

Que de bon mots ! On voudrait ne pas s’arrêter de découvrir toutes vos trouvailles ! J’en garde sous le coude pour les instants de blues, de fatigue ou tout simplement pour souffler un peu. Et rire ! Avec finesse, bien sûr. J’adore ! J’aimerai moi aussi produire de telles bombes textuelles ….

J’avais oublié de sélectionner « note »…

@Zoé Florent bravo pour cette nouvelle qui ne peut que donner des frissons, même si pour Jade la fin n'est pas trop cruelle. On ne peut s'empêcher de penser à toutes celles qui tombent sous les coups de leur compagnon. On suit avec effroi la montée de la violence dont on imagine l'issue dangereuse mais la fin nous libère de cette angoisse, sans pour autant nous faire perdre de vue l'importance de traiter de ce terrible sujet. Amicalement. Valérie