Bonjour @Aragon Marielle. Merci beaucoup pour votre retour sur cet écrit. Je vais songer à faire un texte un peu plus positif sur le bonheur qu'apporte un coup de cœur.
bonjour
Beau texte sur la rupture et sur sa propre remise en question. Cela peut être, effectivement, salvateur de coucher les mots sur le papier.
Mais l'amour des mots peut, sans doute, vous inciter à écrire d'autres essais sur la beauté de la rencontre, sur ce que cela peut vous apporter, avancer dans la positivité et ainsi d'exprimer des sentiments autres que les regrets...
Cela serait tout aussi percutant
Amicalement
Bonjour @F.J. Lécollier. Merci beaucoup, il faut parfois laisser l'objectivité prendre le dessus. Peser les pours et les contres d'une expérience vécue, quelle qu'elle soit. Merci d'avoir pris le temps de me lire !
Belle démonstration sur l'art d'encaisser une rupture sans aigreur, mais avec classe et lucidité, en sachant conserver les bons souvenirs. Derrière le coeur, le cerveau. Remarquable !
Je vous remercie pour votre commentaire. En pleine écriture d'un roman, je sentais qu'un de mes personnages avait envie de vider son sac pour pouvoir avancer.
Surprise ! Ce n'était pas lui, c'était moi ... J'avais besoin de le faire pour pouvoir continuer mon récit. Alors j'ai pris 30 minutes pour coucher ces quelques mots, que je comptais d'ailleurs supprimer ce matin.
Mais votre développement me donne en effet envie de m'y attarder un peu plus ! Merci !
Court mais d’un romantisme fascinant ! J’ai particulièrement aimé ce passage :
« Tout commence un samedi, à la fête de la bière, il ne pouvait pas en être autrement. Je t’aperçois, tu souris aux gens, leur apportant le réconfort d’un burger. Je veux en être, je me fiche de manger, je veux juste te regarder. Alors je m’approche, maladroitement, je choisis le premier menu que je vois. Pour la petite histoire je ne le finirais pas. »
C’est hélas tellement bref que l’on reste un peu sur notre faim (de burgers). Pourquoi ne pas développer ? Moi, je verrais bien quelque chose du genre :
Tout commence un samedi à l’incontournable Fête de la Bière. Où d’autre le destin pourrait-il orchestrer une telle épopée romantique ? Je t’aperçois, telle une déesse grecque perdue au milieu des vapeurs de friture. Ton sourire, étincelant comme la sauce barbecue sous un rayon de soleil, illumine les cœurs, distribuant généreusement des burgers, ces véritables ambroisies de la plèbe affamée. Tu sembles… divine, à l’exception de ce filet de ketchup qui coule sur ton tablier.
Je suis transcendé. Plus rien n’a d’importance : ni la bière, ni les amis qui me hurlent dans les oreilles. Je dois faire partie de cet échange sacré entre toi et les burgers. Manger ? Pfff, la nourriture est si secondaire à ce moment-là, c’est toi que je veux contempler ! Je m’avance, trébuchant comme un pingouin sur une patinoire, et choisis au hasard un menu. Pourquoi ce menu? Personne ne le saura jamais, c’était le premier qui m’a sauté aux yeux (ou, pour être honnête, celui dont j’ai réussi à déchiffrer le nom sans bégayer).
Et pour couronner le tout, cerise sur le gâteau – ou plutôt frite sur le burger, je ne finirai même pas ce repas ! Trop absorbé par ta présence céleste, chaque bouchée devient une mission impossible, un défi olympien. La nourriture? Pfff, elle est tellement fade en comparaison de l’intensité dramatique de ce moment...
Publié le 10 Septembre 2024
Ellias Uctus
Biographie
Amoureux des mots et des histoires qui touchent l'âme.
J'ai besoin d'être mélancolique pour me pousser à écrire, afin de ne plus...
Ce livre est noté par
Bonjour @Jonathan B.
Merci pour votre commentaire. Je me rends compte que je ne suis pas seul, c'est plutôt rassurant.
Ayant vécu une expérience similaire, j'ai trouvé des éclairages pertinents qui m'ont également embarqués.
Bonjour @Renan2024. Merci beaucoup pour votre note ainsi que pour votre commentaire.
Bonjour @Aragon Marielle. Merci beaucoup pour votre retour sur cet écrit. Je vais songer à faire un texte un peu plus positif sur le bonheur qu'apporte un coup de cœur.
Bonjour @F.J. Lécollier. Merci beaucoup, il faut parfois laisser l'objectivité prendre le dessus. Peser les pours et les contres d'une expérience vécue, quelle qu'elle soit. Merci d'avoir pris le temps de me lire !
Bonjour,
Belle démonstration sur l'art d'encaisser une rupture sans aigreur, mais avec classe et lucidité, en sachant conserver les bons souvenirs. Derrière le coeur, le cerveau. Remarquable !
Bonjour @Michel Laurent
Je vous remercie pour votre commentaire. En pleine écriture d'un roman, je sentais qu'un de mes personnages avait envie de vider son sac pour pouvoir avancer.
Surprise ! Ce n'était pas lui, c'était moi ... J'avais besoin de le faire pour pouvoir continuer mon récit. Alors j'ai pris 30 minutes pour coucher ces quelques mots, que je comptais d'ailleurs supprimer ce matin.
Mais votre développement me donne en effet envie de m'y attarder un peu plus ! Merci !
Court mais d’un romantisme fascinant ! J’ai particulièrement aimé ce passage :
« Tout commence un samedi, à la fête de la bière, il ne pouvait pas en être autrement. Je t’aperçois, tu souris aux gens, leur apportant le réconfort d’un burger. Je veux en être, je me fiche de manger, je veux juste te regarder. Alors je m’approche, maladroitement, je choisis le premier menu que je vois. Pour la petite histoire je ne le finirais pas. »
C’est hélas tellement bref que l’on reste un peu sur notre faim (de burgers). Pourquoi ne pas développer ? Moi, je verrais bien quelque chose du genre :
Tout commence un samedi à l’incontournable Fête de la Bière. Où d’autre le destin pourrait-il orchestrer une telle épopée romantique ? Je t’aperçois, telle une déesse grecque perdue au milieu des vapeurs de friture. Ton sourire, étincelant comme la sauce barbecue sous un rayon de soleil, illumine les cœurs, distribuant généreusement des burgers, ces véritables ambroisies de la plèbe affamée. Tu sembles… divine, à l’exception de ce filet de ketchup qui coule sur ton tablier.
Je suis transcendé. Plus rien n’a d’importance : ni la bière, ni les amis qui me hurlent dans les oreilles. Je dois faire partie de cet échange sacré entre toi et les burgers. Manger ? Pfff, la nourriture est si secondaire à ce moment-là, c’est toi que je veux contempler ! Je m’avance, trébuchant comme un pingouin sur une patinoire, et choisis au hasard un menu. Pourquoi ce menu? Personne ne le saura jamais, c’était le premier qui m’a sauté aux yeux (ou, pour être honnête, celui dont j’ai réussi à déchiffrer le nom sans bégayer).
Et pour couronner le tout, cerise sur le gâteau – ou plutôt frite sur le burger, je ne finirai même pas ce repas ! Trop absorbé par ta présence céleste, chaque bouchée devient une mission impossible, un défi olympien. La nourriture? Pfff, elle est tellement fade en comparaison de l’intensité dramatique de ce moment...