Laurance Tallergé

Biographie

J’adore les livres depuis que j’ai découvert l’océan des mots.
« Passion» et «patience» sont pour moi deux conditions nécessaires, en écriture.
J’aime aussi lire les auteurs inconnus. Je suis au bon endroit !
Ce que je recherche chez vous tous, « écrivailleurs » comme moi ?
Un style, des idées, des émotions, douces ou fortes, une écriture sincère.
Bonne continuation à tous et merci à ceux qui feront l’effort de me lire.

Laurance Tallergé a noté ces livres

3
@Mario Fontaine. Je craignais que ce livre m’ennuie. Je ne l’ai pas lâché, captivée par cette écriture étincelante, simple et poétique. Une belle écriture, venant d’un être « pas tout à fait comme tout le monde», et très intelligent. Un auteur lucide, plein d’humilité, un être solitaire en souffrance et capable d’aimer, qui lance un jour ses mots avec un énorme courage. Une envie que cela change, de s’ouvrir au monde et aux autres, parce qu’il est temps. J’ai beaucoup aimé cette personne que je ne connais pas et je lui souhaite le meilleur. Son courage, sa pureté touchante et son talent méritent d’être récompensés. Si j’en avais le pouvoir, Mario Fontaine, et après quelques corrections, comme il se doit, je vous éditerais. Tant de belles phrases...Rien à jeter. « J’ai dû laisser des parties de moi quelque part». « Je savais déjà que je serai toujours seul ». « Il y a des phrases qui supportent mal quelqu’un à côté d’elles » « Le mouvement est la question d’un solitaire ». « Jour après jour, dans la solitude de mon appartement, ce qui advient peu à peu, c’est moi sans les autres ». «C’était difficile de m’aimer, je m’en rends compte maintenant» Lucidité et humilité : « la concordance des temps avec laquelle j’ai du mal ». «Si quelqu’un lit cette page, il ne pourra pas le savoir mais je suis écrasé par la pensée de sa présence. » Vous m’avez à la fois émue et éblouie, avez mis en lumière cet intérieur autiste que nous connaissons mal. L’autisme reste je pense encore méconnu et s’exprime de façon très variable. Vous avez le mérite de vous livrer très personnellement, et pour cela aussi je vous admire. Vous me laissez bouleversée. « Lorsque j’étais enfant, jusqu’à l’âge adulte, je prononçais « grand-mère » pour dire le mot « grammaire »...je n’ai jamais pu rectifier réellement ce défaut » Lettres à Mémé... Le titre faisait enfantin, au final il est parfait.
Publié le 07 Avril 2025
3
@Rosalie Fleuret J'ai beaucoup aimé ce petit recueil poétique même sans rimes. C'es une âme qui parle, nous verse un peu de sa souffrance. C'est pour cela je crois que la plume est "comme arrêtée", en suspens...par pudeur je crois. Emotion palpable sans pourtant de sensiblerie. Dénonciation de la violence ("le premier coup et les autres"), d'autres souffrances, ailleurs, inatteignables...La souffrance est très présente, physique ou morale. Mais c'est d'une plume légère qu'elle s'exprime. Et je trouve que ce contenu n'est pas trop fait pour un support classique, "cadré". Pour moi, c'est très joli.
Publié le 05 Avril 2025
2.01
Une nouvelle bien enlevée qui donne envie d’aller visiter ce « pays ». J’aime assez le petit poème du tout début sur la vache Salers, très réputée, c’était une bonne idée de lui concocter quelques vers. Et « Personne n’a jamais refusé de monter dans une Rolls » Quelques coquilles. La fin est amusante et inattendue. L’ensemble est plutôt distrayant.
Publié le 04 Avril 2025
3
Un joli conte pour enfants et adultes. Belle idée ! Quelques coquilles...la passion aveugle. J'ai aimé la simplicité et l'inventivité de ce texte.
Publié le 02 Avril 2025
2.01
Dans ce texte aux accents de Giono, âpre et généreux à la fois, on sent l’amour immodéré pour votre « pays » et l’envie de le faire découvrir. Il a toutefois besoin d’être retouché. (Pagination, « coquilles », tournures…) Bonne continuation.
Publié le 01 Avril 2025

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