A l’approche de la quarantaine, Clio ne sait toujours pas si elle veut un enfant. Dans l’association où elle est bénévole, autour de la machine à café, elle se livre à des discussions sur le sujet en compagnie de deux de ses collègues. Si, pour Clio, la liste des inconvénients à devenir parent tend à l’emporter sur les avantages, Lélia, elle, rêve de rencontrer l’homme qui lui permettra d’envisager l’étape bébé. Quant à Led, jeune homme pressé, il se voit prêt à franchir toutes les limites pour devenir père avant trente ans.
Pourquoi fait-on des enfants ? Faut-il être prêt à tout pour en avoir ? Comment envisager la procréation à l’heure d’internet ?
Les bouleversements dans la société vont-ils détourner les lois de la filiation ?
Ce livre est noté par
@Agostini Francois-Xavier merci pour votre vote !
Bonjour; ne bougez pas ! ne faites pas l'enfant et ne faites pas d'enfant, car comme dans "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" sur monbestseller.com le grand dépeuplement va commencer; nous sommes trop nombreux sur la planète Terre qui n'en veut plus de vos enfants, pour quel travail puisque les robots vont tout remplacer. Et ce grand dépeuplement est déjà commencé, un grand vide va suivre le dépeuplement promis dans "Prophetia et Clémence la revanche contre la barbarie" un vide salutaire. Il faut préparer les consciences à un nouvel ordre du monde, car au-delà de 7 milliards d'habitants la planète explosera ou implosera sur elle même. adoptez si vous le pouvez mais ne faites plus d'enfants c'est le ciel qui vous le recommande l'Occident a commencé à faire moins d'enfants...bonne lecture sur monbestseller.com
Bonjour @Catarina Viti pour poursuivre l'échange vous pouvez me contacter via mon blog : http://www.charlottedegaravan.com/
Charlotte, bonjour. Il me semble avoir bien compris vos arguments et même vos objectifs. De même, j'adhère pleinement à l'idée que ce sujet revêt une importance capitale car notre groupe humain arrive à l'instant de tous ses déchirements. Se reproduire (ou pas et pour quoi, et comment, etc) est devenu une réflexion, un positionnement : rien de ce que cela a été depuis le début de l'humanité. Votre livre a toute sa place car il faut bien que quelques ouvrages soulèvent la question, sortent des stéréotypes pour esquisser des réponses à l'interrogation sidérante : devenons-nous continuer l'aventure humaine ?
Aussi, je me permets -de quoi j'm'mêle?- d'attirer votre attention sur la présentation et la forme de votre ouvrage. Je ne sais pas s'il y a entre eux et vos objectifs une congruence suffisante. Si vous souhaitez poursuivre cet échange nous pourrions utiliser le message privé. Bonne continuation. Amicalement.
Merci @Catarina Viti pour avoir porté attention à mon livre, l’avoir noté et commenté. Si l’idée de départ était de tourner autour de la question de faire des enfants ou pas, au fur et à mesure de l’avancée de ma réflexion d’autres questionnements se sont posés notamment en qui concerne les nouvelles formes de procréation. J’ai donc choisi de faire débattre mes personnages qui n’ont pas le même point de vue au regard de l’enfantement et de la manière d’y parvenir. Alors que Clio vit en couple et pourrait passer à l’étape ‘enfant’ elle n’en éprouve pas vraiment l’envie ou le besoin, Lélia quant à elle défend l’idée selon laquelle un enfant ne peut se faire qu’après avoir rencontré l’amour (ce qui lui manque) tandis que Led, jeune homme pressé, est prêt à utiliser tous les moyens (GPA, coparentalité...) pour parvenir à être père avant trente ans. J'ai voulu aborder des sujets de société sous un angle à la fois léger (côté roman) mais aussi plus sérieusement (côté essai) dans cet ouvrage d'un genre hybride.
Merci @Lola G pour ce commentaire. En effet, Clio n'est pas seule puisqu'elle vit en couple mais on voit bien que l'homme avec qui elle partage sa vie n'est pas un 'papa poule' en herbe... quant à elle, elle est tokophobe bref... difficile d'enfanter dans ces conditions. Ceci dit il convient de ne pas s'arrêter uniquement sur ces personnages car il y en a deux autres et c'est au travers des discussions entre tous, au fil du récit, que des questions se posent. Et un livre ne sert pas forcément à apporter des réponses mais à se poser des questions.
Touchée. Oui, j’imagine ces questions là plus tard et lire tes mots est à la fois flippant et rassurant. Bizarre quand même. Moi je crois que Clio elle oublie qu’elle est pas seule, non? Qu’on est deux. En tout cas, c’est l’idée que je me fais.
Je comprends @Sandrine C que le mélange des genres puisse être déstabilisant mais je souhaitais traiter de sujets de société en matière de procréation sans tomber dans l’essai avec une alternance entre parties romancées légères voire drôles et des passages plus sérieux et porteurs d’informations tout en suscitant des questionnements. Mes trois personnages principaux ont des points de vue différents sur la question centrale du désir d'enfant : si Clio a pu vous paraître féministe elle est surtout en proie à des névroses qui l'empêchent de pouvoir affronter la maternité.... sa collègue, quant à elle, considère que pour avoir un enfant, il faut en premier lieu trouver le partenaire qui lui manque... quant à Led il s'agit d'un garçon qui a décidé d'avoir des enfants avant trente ans et comme il dissocie l'enfantement de l'amour il est prêt à envisager tous les moyens pour parvenir à son but (PMA, GPA, coparentalité...). C’est un ouvrage à lire dans son intégralité pour en saisir tout le sens, c’est la raison pour laquelle j’ai d'abord hésité avant de l’exposer ici. On a pu me faire remarquer que le titre ne reflétait pas le contenu du livre d'où j'imagine la déception qui peut s'en suivre. Je vous remercie pour votre commentaire , c’est toujours intéressant d’avoir un retour.
Je ne suis pas assez féministe, sans aucun doute !! j’ai trouvé votre texte plein de conventions, comme si un magazine voulait traiter le sujet, avec une partie romancée, une partie news, une partie témoignages… O défaut sur la construction, y’a tous les cas de figures, trop de clichés !! mais moi il m’a manqué du sens. Ou tout simplement savoir si je lisais un article ou un roman ??Et je préfère l’idée d’avoir eu des enfants, et non de les avoir fait… Et pourtant je ne doute pas que vous ayez beaucoup de lectrices qui pensent comme Clio. Ayant dit ça, vous avez une vraie plume, vive, directe, fluide, tout à fait agréable à lire.