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Synopsis
Il aime trop les femmes et celles-ci le lui rendent bien. Pour n’en laisser échapper aucune, il leur ment à toutes.
[...]
C’est vrai ou c’est faux. Si c’est vrai, il va lui falloir conclure l’affaire sans tarder. Si c’est faux, c’est que c’est elle qui veut la conclure très vite. Dans un cas comme dans l’autre, il s’agit d’une aventure d’une nuit, sans lendemain ni complication.
[...]
Il a relevé son visage. Elle est belle, sa fée. Et il est heureux une fois de plus dans sa vie, grâce à une femme, car cette femme l’accepte pour ce qu’il est : un Don Juan qui ne trouvera jamais sa moitié d’éternité.
Publié le 13 Juillet 2024
Les statistiques du livre
680
Classement
72
Lectures 30 jours
458
Lectures totales
-270
Progression
0
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2
Bibliothèque
Michel LAURENT
Biographie
Je serai un grand écrivain posthume. Si, si, pourquoi faîtes-vous mine d’en douter ? Certes, je me suis mis tard à l’écriture, d’où la...
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Ce livre est noté par
@mambouckou Merci pour votre lecture et votre commentaire encourageant. Je ne manquerai pas de m'intéresser à votre dernière publication. Bonne journée à vous.
@Bernard Delalande Oui, Thomas, en vrai narcissique, éprouve en permanence ce besoin de plaire, donc aussi de se raconter des histoires.
Ce qui est touchant et très vécu c'est le conte de fée que Thomas se raconte .
@Michel LAURENT je vous félicite pour ce nouvel ouvrage ainsi que votre synopsis très bien rédigé par vos soins ! Dès que j'en aurais l'occasion je lirai avec joie votre livre et d'ailleurs n'hésitez pas à aller jeter un oeil à mon profil car j'y ai publié, un nouvel ouvrage qui se nomme les histoires vraies des survivants de l'extrême. J'aimerais bien avoir votre avis sur mon bouquin. merci à vous et passez une excellente journée !
@mensey ingridh Merci à vous pour vous être intéressé à cette petite nouvelle.
@T.Guenard Je vous rappelle la différence principale entre un Don Juan et un Casanova : le Don Juan multiplie les conquêtes car il a un besoin invétéré de séduction. Chez lui, séduire répond à un besoin narcissique de reconnaissance, il n’a rien à faire des sentiments de la personne séduite. Dans le langage d’aujourd’hui, c’est un bad boy qui ne pense qu’à sa gueule.
Si l’on peut choisir, c’est bien préférable d’être un Casanova (en dehors du fait même que Casanova a existé alors que Don Juan est un personnage de fiction). Car Casanova, s’il est aussi – et autant – séducteur que Don Juan, est lui totalement sincère. Il aime les femmes et il sait être amoureux. Pas nécessairement très longtemps, mais les 2-3h (!) où il est amoureux, il est sincère et il y croît.
Alors, vous avez raison, comment imaginer que notre visiteur de Beauvais, simple Don Juan, puisse être heureux ?
Dans cet extrait on ne sent pas Don Juan pleinement heureux malgré toutes ses conquêtes, on le sent même désemparé dans une certaine solitude. Merci à vous d'avoir mois en lumière ce paradoxe et d'avoir si bien montré que le apparences sont parfois trompeuses et que le bonheur ne réside pas toujours à l'endroit où il est.