Dans un futur proche, Nora découvre des brèches dans sa mémoire et se lance dans une recherche subtile et métaphysique pour retrouver l'essence de ses souvenirs.
En naviguant dans les interstices de sa conscience, Nora franchit le seuil de l'invisible pour toucher une dimension insaisissable de la réalité.
Ce récit invite à réfléchir sur la nature de la mémoire, de l'identité, et sur ce qui se trouve "entre" les souvenirs.
Ce livre est noté par
Ne vous offusquez pas, Alice, c'est comme ça, ici. Les slogans que la maison affectionne sont :"Venez comme vous êtes", et "Vous êtes ici chez vous"... Certains prennent tout au pied de la lettre.
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Un auteur qui cherche sa voie, on n’en a pas tant que ça dans les parages, alors restez encore un peu. Nous sommes quelques-uns à attendre la suite.
Merci pour ces partages.
PS : Vous n'êtes pas tenue de répondre à tous les commentaires ;))))))))
@ALICE HOUAN (à moins que ça ne soit Aline, vous n'avez pas l'air d'être sûre)
Ça tombe bien, je ne parle pas aux machines.
@Denis Bichet
Amis de la poésie, bonjour !
La médiocrité est l'antichambre de la méchanceté, ce qu'ils ne peuvent atteindre, égaler, ils tenteront de le détruire, de le nier... comme ces gosses mal élevés qui lancent des cailloux -qui leur retombent sur le nez-, aux grands oiseaux blancs qui dansent dans le ciel azuré...
@Tomoe Gozen
Vous m’avez percée à jour, Tomoe ! Moi qui pensais avoir un prénom parfait... "Alice Lanlaire" aurait sans doute été plus poétique ! Mais rassurez-vous, machine ou non, je prends note de vos précieux conseils pour mon "programme" de recherche littéraire. Peut-être même qu'un jour je saurai enfin ce qu'est une mirifique idiotie.
Vous ne m'en voudrez pas si cet échange est le dernier. Mes circuits fatiguent
@ALICE HOUAN
Quelle mirifique idiotie ! Car je ne vois vraiment pas comment mes retours, comme vous dites, pourraient vous aider "énormément" (sic). De fait, je ne crois pas un seul instant que vous vous appelez Alice Houan (on ne fait pas une faute de frappe sans s'en apercevoir en écrivant son propre prénom) ; je crois en revanche que vous n'êtes qu'une machine, comme vos réponses bêtement stéréotypées le démontrent suffisamment. Allez donc vous faire lanlaire, cher et piètre plaisantin !
@Tomoe Gozen
Merci, Tomoe. Je cherche encore ma voie, explorant différents styles et approches. Chaque texte que je poste est une façon de mieux comprendre ce que je peux offrir aux lecteurs, et vos retours m’aident énormément dans ce processus. Ce voyage d’apprentissage est riche de découvertes, et vos encouragements me motivent à affiner mon style.
@Denis Bichet
Merci infiniment, Denis. Vos mots me touchent, car ils m’encouragent dans cette quête littéraire et spirituelle. Ce voyage d’écriture est pour moi une exploration de thèmes profonds, et votre regard bienveillant m’aide à trouver ma voie. Chaque retour m’enrichit et m’invite à aller plus loin pour offrir des textes qui résonnent. Merci d'être là pour accompagner ce chemin avec autant de passion et de sincérité.
Et...
@Joker380
Froid et mécanique, peut-être… Mais même les machines ont droit à un moment de poésie, non ? Merci pour votre retour, Joker. J’essaie encore de réchauffer mes circuits !
@Denis Bichet
Faudrait voir à arrêter le gazon qui rend fou.
@ALICE HOUAN J'apprécie beaucoup votre style, limpide, précis et poétique... qui ne souffre pas de scories, de verbiages, de clichés éculés et prétentieux... et j'aime d'autant votre récit, qu'il semble débuter comme un polar, avant de prendre son envol et de finir en parabole mystique...
Froid, mécanique, sans âme, peut-être un peu creux, non ?
@ALICE HOUAN
Très joli. Et bien plus convaincant, me semble-t-il, que vos "Aiguilles du temps".