Merci beaucoup pour les petits coeurs et votre commentaire @Thierry Ki !
Je suis heureuse que cette nouvelle ait pu vous faire (re)plonger dans vos propres beaux souvenirs d'enfance. Bien à vous.
Cette nouvelle m'a beaucoup touché.
Par ce retour à la terre, à la vraie vie, simple, pure, innocente.
Je m'y suis retrouvé, moi ou l'enfant que j'étais.
Cela m'a replongé un instant dans mes propres souvenirs de petit-enfant, chez mes grands-parents, où d'un côté on pouvait redouter de s'ennuyer au milieu des discussions des grands, mais où il y avait toujours des trésors cachés à chercher, des petits riens à observer, des merveilles à découvrir...
Merci pour ce portrait si juste d'un grand-père vu par des yeux innocents.
Merci pour ce si beau texte.
@gaspard-off, merci pour votre retour. Pour vous répondre, le "tu" s'adresse exclusivement au grand-père. Je souhaitais travailler sur le rythme, aussi bien dans les phrasés que dans le sens, notamment par contraste, voire opposition, déjà en décrivant cet homme si lent avec des termes plutôt "rapides". J'aimais ce décalage d'une enfant (que l'on imagine pleine d'énergie), et qui se retrouve enserrée de lenteurs : celles du grand-père, des paysages, du quotidien et même des escargots avec lesquels elle joue...
J'ai effectivement conservé le point de vue de la fillette, qui "empêche" d'obtenir la vision et les émotions du grand-père quant à cet évènement que seule la voix de l'enfant-adulte nous rapporte - tout en questionnements, qu'elle se pose et que chacun devra résoudre (en) soi-même. Bien cordialement.
@Denis Bichet, grâce à vous, ou par votre faute ? Lorsque vous avez évoqué votre "ennui" du dernier dimanche matin "tristounet", j'ai su que je mettrai cette nouvelle en écho ! Merci pour les petits cœurs que je découvre presque accompagnés d'un poème en vers libres. Ça me touche beaucoup ! Bien cordialement
Écriture syncopée... Fragments de vie qui s'enfuient avec le vent... Mobilier d'outre temps... Passé lancinant... Odeurs de cuisines... Kaléidoscope d'images sépia... Ennui savouré... Joli texte...
Bonjour,
J'ai bien aimé votre texte, il a réveillé en moi des parfums et des toiles cirées oubliés. Je ne sais pas bien qui est ce "tu" auquel vous vous adressez. C'est tantôt votre grand-père, tantôt vous enfant et vous adulte, m'a-t-il semblé. J'ai bien aimé ce trouble. Les phrases parfois longues ou très brèves, bercent ou réveillent, un peu comme la conscience qui se balance. J'aurais aimé savoir l'impact de ces souvenirs sur le narrateur devenu adulte.
Merci pour cette lecture.
Amicalement.
Merci infiniment pour votre retour et les petits cœurs @Emilie LUJEAN !
Et oui, lorsque la guerre s'achève sur les territoires, elle se poursuit malheureusement en beaucoup de ceux qui l'ont traversée... Cordialement.
Bonjour@Vanessa Michel laisser s'ennuyer un enfant développe sa créativité. Précepte que bon nombre de parents, d'adultes ne connaissent pas Il faut à tout prix les occuper. Et nous aussi, ne culpabilisons pas de nous octroyer des moments de divagations de l'esprit. J'ai beaucoup aimé vos retours en arrière chez vos grands-parents qui m'ont rappelé certaines vacances à la campagne quand le rythme de vie et la vie n'étaient pas les mêmes que dans ma cité bétonnée. Cordialement. Fanny
Publié le 06 Décembre 2024
Vanessa Michel
Biographie
Peintre et écrivaine depuis plus de quinze ans, j'ai longtemps travaillé à la rédaction d’articles et d’ouvrages ayant trait à la...
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Merci beaucoup pour les petits coeurs et votre commentaire @Thierry Ki !
Je suis heureuse que cette nouvelle ait pu vous faire (re)plonger dans vos propres beaux souvenirs d'enfance. Bien à vous.
@gaspard-off, merci pour votre retour. Pour vous répondre, le "tu" s'adresse exclusivement au grand-père. Je souhaitais travailler sur le rythme, aussi bien dans les phrasés que dans le sens, notamment par contraste, voire opposition, déjà en décrivant cet homme si lent avec des termes plutôt "rapides". J'aimais ce décalage d'une enfant (que l'on imagine pleine d'énergie), et qui se retrouve enserrée de lenteurs : celles du grand-père, des paysages, du quotidien et même des escargots avec lesquels elle joue...
J'ai effectivement conservé le point de vue de la fillette, qui "empêche" d'obtenir la vision et les émotions du grand-père quant à cet évènement que seule la voix de l'enfant-adulte nous rapporte - tout en questionnements, qu'elle se pose et que chacun devra résoudre (en) soi-même. Bien cordialement.
@Denis Bichet, grâce à vous, ou par votre faute ? Lorsque vous avez évoqué votre "ennui" du dernier dimanche matin "tristounet", j'ai su que je mettrai cette nouvelle en écho ! Merci pour les petits cœurs que je découvre presque accompagnés d'un poème en vers libres. Ça me touche beaucoup ! Bien cordialement
Bonjour,
J'ai bien aimé votre texte, il a réveillé en moi des parfums et des toiles cirées oubliés. Je ne sais pas bien qui est ce "tu" auquel vous vous adressez. C'est tantôt votre grand-père, tantôt vous enfant et vous adulte, m'a-t-il semblé. J'ai bien aimé ce trouble. Les phrases parfois longues ou très brèves, bercent ou réveillent, un peu comme la conscience qui se balance. J'aurais aimé savoir l'impact de ces souvenirs sur le narrateur devenu adulte.
Merci pour cette lecture.
Amicalement.
Merci infiniment pour votre retour et les petits cœurs @Emilie LUJEAN !
Et oui, lorsque la guerre s'achève sur les territoires, elle se poursuit malheureusement en beaucoup de ceux qui l'ont traversée... Cordialement.
Merci à vous @Louis Vialle pour votre retour et pour les cœurs ! Cordialement.
Bonsoir @Fanny Dumond3,
Merci beaucoup pour vos trois cœurs et votre commentaire !
Bien cordialement.