mon coeur espère

Merci @Claude DUSSERT.

@Corine Messonique. Pour de la poésie à temps perdu, j'ai apprécié de nombreux textes écrits tous simplement d'une main distraite.... Claude Dussert Poète. Vous pouvez lire quelques uns de mes derniers textes sous le Titre : "Par des Chemins de Traverse.

Merci @Steren, votre commentaire me fait plaisir.

@Corine Messonique, je vous découvre et je suis touchée par vos textes, j'ai apprécié la douce mélodie de votre plume, c'est caressant et délicat. Avec toute ma bienveillance. Natacha

@Donovan Letch
Je suis très touchée par cette attention mais ne vous inquiétez pas, même ainsi c’est très lisible (en tout cas pour moi puisque ce sont mes mots). Mais, s’il vous plaît, n’usez plus vos pauvres yeux pour moi. Gardez les pour vos bois, ils en sont plus dignes.
*Réponse à un commentaire supprimé depuis.

@Donovan Letch
Pour compenser, je vais faire court : merci! Je vous relirai les jours de déprime ;)
*Réponse à un commentaire supprimé depuis... que je ne pourrai donc malheureusement pas relire les jours de déprime ;)

@Catarina Viti
Merci beaucoup de m’avoir lue. Les poèmes (avec des vers) sont peut-être (pour moi) une manière de revenir à ce qui est l’essence de la prose : la poésie. Passer d’une forme à l’autre me vivifie, comme un retour à la source. Textes fruitiers, c’est une image encourageante. Encore merci!

Merci @Vanessa Michel pour votre gentil commentaire.
❤️
Coco

Le "silence enroué", dans et entre vos mots, enchante vos poèmes - de tout ce qui s'entend, s'écoute, se dit et se suggère. Merci à vous ! Bien cordialement.

@Antar Abdelaziz 77
Merci beaucoup de m’avoir accordé votre lecture et un commentaire si développé et bienveillant. Je ferai un ajout à ce recueil dès que l’inspiration se présentera de nouveau ;)

Bonjour @Corine Messonique, J’ai beaucoup aimé votre poésie et ces tranches de vie pathétiques où vous peignez la fragilité des êtres. Leur soif de bonheur et leur immense bonne volonté se fracassent contre le prosaïsme de ceux auxquels ils se sont attachés (poème : fragment d’une vie indocile). Cette quête désespérée nous remue au plus profond de nous-mêmes, car elle est pleine de vérité. Dans ce sens vous avez raison d’affirmer que « seul le cœur devine » votre poésie. En même temps, vous semblez lancer un avertissement : sujets dépourvus d’empathie ou de sensibilité, passez votre chemin ! Mais vous avez aussi des fulgurances de style qu’un grand maître ne renierait pas. Je vous cite dans ce passage où vous vous comparez à la mer : « …c’est moi qui choisis Quand tu pars, quand tu rentres Quand je t’engloutis Je suis la mer, tu es le passager » Je vous le déclare, en toute franchise, je trouve cela très beau. Au plaisir donc de lire quelque chose d’autre de vous dans la même veine !

Je me permets de recopier ici les commentaires recueillis sur ma page (de publicité) "Corine_Messonique", avant sa prochaine suppression annoncée, pour que vous ne les ayez pas écrit en vain. Si cela vous gêne que je l'ai fait sans votre permission, dites-le moi et je l'enlèverai. Merci!
Corine

Cortex
❤️❤️❤️ Quelle écriture... bravo pour le soin que vous y apportez, sa précision, sa poétique. C'est dans un écrin qu'on vous lit. Mention particulière pour « Je suis la mer... » parce que j'aime la mer, et que je la regarderai maintenant comme un passager @Corine Messonique Publié le 09 Mars 2025

bichetdenis 001Y
J'aime beaucoup votre style, plein de douceur et d'émotions. Page 35, très dur à vivre... Poèmes sur l'enfance et le temps qui passe, très beaux... Dommage que je ne puisse pas voter deux fois. Publié le 08 Mars 2025

Autant en emporte le vent
❤️❤️❤️ Histoire douloureuse que celle de la page 35. Très beaux poèmes émouvants et nostalgiques, ensuite. Publié le 08 Mars 2025

Sorcha GALY
❤️❤️❤️ Cette note est pour les deux recueils de poésie Mon Coeur espère et Fragments d'une vie indocile. Corine nous emporte dans un monde plein de douceur où les mots se posent sous nos yeux tels les délicates ailes d'un papillon. Je tiens à vous remercier, Corine, pour ce moment de pur bonheur et de bien-être. Merci à vous. Publié le 08 Mars 2025

Vanessa Michel
❤️❤️❤️ Toujours aussi magnifique de poésie ! Effectivement, on ne peut pas vous ré-offrir de cœurs ou de fleurs sur la publication d'origine. Bien cordialement. Publié le 07 Mars 2025

Zoé Florent
❤️❤️❤️ @Corine Messonique Je viens ici pour une nouvelle distribution de coeurs, une doublette n'étant pas possible sur la page de votre recueil (peut-être pourriez-vous envisager de créer une page d'autrice en souscrivant un pack Prem's ?) /// J'ai apprécié ce rajout : la douceur et la richesse de votre style poétique est encore au rendez-vous de vos nouveaux textes courts comme de vos poèmes. Toujours dans l'émotion, mais dans un répertoire un peu plus "plombant", cette fois-ci, que certains apprécieront et d'autres moins... /// Merci pour ce nouveau partage délicat et bon week-end. Amicalement, Michèle Publié le 07 Mars 2025

Pierre Sansberro
❤️❤️❤️ Bonjour Corine. "Poétesse à mes heures perdues" écrivez-vous dans votre bio. Moi je crois que la poésie a trouvé en vous un serviteur à temps plein. Bien cordialement. Pierre Publié le 07 Mars 2025

bichetdenis 001Y
❤️❤️❤️ J aime beaucoup la première nouvelle, que je connaissais. Cette sorte d'apocalypse... de black out... Et c'est très bien écrit avec des phrases saillantes, ciselées... des réflexions et remarques percutantes sur le déclin, l'abandon, la perte de la volonté. Churchill disait que la différence entre la civilisation et le chaos ou la barbarie, c'est trois repas chauds... plus d'électricité pendant trois jours et on y est... Publié le 06 Mars 2025

@Laurance Tallergé
Vos mots sont encore si encourageants pour moi. Merci de votre fidélité et de votre bienveillance.

@Corine Messonique
"Fragments d'une vie indocile" m'a autant plu que "Mon coeur espère", c'est peu de le dire. Je suis comme envoûtée par votre écriture, lumineuse, aérienne, impalpable, et tellement prégnante...La poésie en prose n'est pas plus facile à écrire que la poésie en vers, et vous la maîtrisez à la perfection.
"Le motif d'un coeur rouge bat et jamais ne s'arrête".
Vous me touchez à chaque fois en plein coeur. Les vicissitudes de la vie et de l'amour, la guerre en Ukraine ou ailleurs, à la fin...et l'espoir, toujours.
"Un seul être enfante et tout est repeuplé"...

Merci beaucoup @Phillechat 4 pour votre joli commentaire.

Une plume douce et caressante qui sait chanter la danse éternelle de l'amour et de la mélancolie !

Votre appréciation @Bérangère Patatras est particulièrement encourageante pour moi. Merci beaucoup.

@Corine Messonique L'écriture est précise et souvent très belle. A déguster à petites gorgées pour bien savourer.

@bichetdenis001
Ah, j’en déduis que vous avez lu le premier texte de ma cueillette du 5 mars ;) Je ne sais pas si les féministes vont se fâcher. En tout cas moi non. Pour moi, c’est une indication intéressante sur ce texte et je vous remercie.

"Fragments d'une vie indocile"... C'est bien écrit, je sais que ça existe et que toute souffrance est intolérable... mais au risque de déclencher l'ire des féministes, je me souviens, de cette amie thérapeute qui disait : "Dis moi quelle victime tu es, je te dirai de quel bourreau tu as besoin'

Merci @Siana Kepra!
Sommes-nous les seules ? J'espère que non ;)

Je n'ai pas encore tout lu de votre recueil, mais je suis très sensible à l'entrelacement des genres et j'ai été très touchée par une formule : "l'air pleure une mélodie"... Je continue d'y avancer "à sauts et à gambade" comme l'écrivait Montaigne. Il dénote d'une sensibilité troublante et amène des images vivaces. Férus de poésie et d'art, sommes-nous les seules à percevoir le monde ainsi ? Je me demande, parfois.

Merci @Laurance Tallergé, je suis très touchée par vos mots.

Une belle découverte que ce livre poétique inspiré, lumineux et fort, émouvant et très bien écrit. Des images magnifiques.("Les eaux troubles de son regard, double miroir d'algues et d'étoiles, dissimulent des serments aquatiques, récits muets gravés dans la vase du coeur qui réclament d'être reçus". Une auteure discrète et inspirée par la vie, avec ses joies et ses peines, et ce style fait de je ne sais quoi de particulier, érudit sans être précieux, qui fait mouche. Bravo.

Merci @bichetdenis001, c’est très gentil à vous de m’apporter votre soutien.

Je lis et relis "un berceau d'ombres tressaille", magnifique... "Une écrevisse rouge comme une plaie vive", tant d'images simples et belles qui évoquent la magie de l'enfance !

Merci beaucoup @Nadia Keroumi, je suis très touchée par votre message.

félicitations j'adore!.

Merci @Melia1, votre commentaire me touche beaucoup. Au plaisir de vous lire aussi.

Un livre tout en douceur, porté par une poésie qui réchauffe le cœur et fait du bien à l'âme. Merci pour ces jolis mots qui résonnent longtemps après la lecture.

Merci @bichetdenis001
Cette histoire j’ai voulu l’écrire avec la naïveté d’une très jeune femme alors je suis très heureuse qu’elle vous ait touché.

Très belle histoire de Gustave et Inès... Celle qu'on aimerait tous vivre... c'est beau la vie, l'amour, la liberté... qui n'a pas eu peur, un jour, de décevoir ses parents en prenant le large, en étant un moins que rien...

Allez savoir pourquoi @Parthemise33, votre commentaire me fait super plaisir ;)
Merci beaucoup et bisous à vous aussi!

@Corine Messonique J'ai découvert votre écriture toute en douceur et fluidité. Votre texte "On avait cru d'abord" est angoissant, l'air de rien. Une véritable nouvelle de science fiction glaçante. J'ai aimé plus que les autres "Je suis la mer, tu es le marin". Allez savoir pourquoi, je ne me l'explique pas moi-même. Le mélange prose-vers est très harmonieux et se lit très agréablement. Merci Bisous Merci pour ce partage passionnant

@Odile NOEL-SHINKAWA
Je suis évidemment très touchée par votre commentaire. Je vais vous faire un aveu : j’ai si peu confiance en moi (par rapport à l’écriture) et vos mots sont tellement élogieux que j’ai peur que vous vous moquiez (voyez ma franchise). Mais je vais opter pour la confiance : si vous avez trouvé mes textes beaux, alors votre appréciation est une très grande récompense et une très grande joie pour moi. Merci de tout cœur.

@Corine Messonique
J’ai fait des études de lettres jusqu’au doctorat, travaillé sur Baudelaire, Valéry et Mallarmé. J’adore la poésie, j’en lis beaucoup, j’en écris. J’ai toujours une petite appréhension à l’idée de lire des poèmes. Mais là, quelle merveilleuse surprise! J’ai lu ces textes avec exaltation, en les savourant jusqu’à la dernière goutte. Ils sont magnifiques, bouleversants, à couper le souffle! Merci pour cette offrande!

Merci @bichet-denis pour ce gentil compliment.

Très beau poème, page 6, il y a du Prévert dans le ton. Je vais lire la suite, mais ça se déguste, pas d'une seule traite.

@Vanessa Michel
Oh la la… votre petit mot est tellement gentil et encourageant que je ne sais pas quoi vous répondre… ne me viens que ce mot tout simple mais très pesé et pensé : merci!!!

Toujours ce coup de foudre (encore bien vivant !) @Corine Messonique pour "C'était au temps de ma douce jeunesse"... J'adore votre écriture, et le fait qu'en vous lisant, on se soulève instantanément de terre. C'est l'éther, le monde doux ou cruel des sentiments, le rêve; un ailleurs d'amoureuse qui comble de beautés épurées, dont la musique reste un véritable enchantement ! Merci à vous ! P.S.: mon coup de cœur de ce soir: "Le vent complice de l'absence"

Un grand merci à vous @Zoé Florent pour ce commentaire encourageant et bienveillant.
Bon dimanche à vous aussi.
Amicalement,
Corine

@Corine Messonique Oui, il y a le coeur, comme vous l'écrivez. Le coeur d'une éternelle amoureuse d'un amour qui transpire de vos jolis assemblages poétiques... J'ai apprécié de relire vos trois nouvelles piquetées de textes plus courts. La première aussi, nouvel autre plaisir de lecture. / Merci pour ce partage, chère Corine, et continuez de nous ravir au gré de vos cueillettes... Bon dimanche. Amicalement, Michèle

@bichetdenis
Tout à fait ;)
Et pour aller dans votre sens j’ajoute que dans Corine il y a coeur ;)
En tous cas merci pour votre appréciation bienveillante, cela me touche beaucoup.

Effrayante et puissante, la première nouvelle, la nuit d'apocalypse. Le début m'a fait penser à Rhinocéros de Ionesco... Si vous me permettez ce jeu de mot, il y a qq chose de messianique chez @Corine Messonique... De très belles poésies et textes poétiques suivent...

Je vois ce que vous voulez dire @Pierre Sansberro
Merci beaucoup pour le partage!

@Corine Messonique Son livre a été désactivé..Voici un extrait ..Je crois qu'il a toujours sa chaine you tube mais il a supprimé tous ses anciens textes.
HOMELIE POUR UN VIEUX PAYSAN
Vous voilà donc mort , vous qui sembliez solide comme un marbre, durable comme un siècle... Je vous ai toujours connu vieillard. En réalité vous paraissiez immortel avec vos cheveux blancs. Vous aviez la ride profonde et le regard silencieux des grands sages. Votre visage était un terreau, vos mains des massues. Et votre parole, rare mais féconde, résonnait comme d’immémoriales sentences paysannes. Vous étiez de la race révolue des hiboux d’antan. Le berger de la bête et de la flore, l’ami de la graine et du fagot, l’amant du Soleil et de la Lune. Un oiseau agreste d’envergure onirique. Un seigneur agraire, un poète des labours, le troubadour des pissenlits. Chaste et vertueux. Vous sentiez le foin, la pluie, les saisons... Pour la société vous n’étiez rien qu’un vieux bouseux sans intérêt, un péquenaud dépassé par son époque, un rescapé de la féodalité perdu dans la modernité, un gueux du passé oublié par le reste du monde. Pour moi , vous étiez un prince. Crotté et magnifique. Votre univers, votre réalité, votre passé et votre avenir, votre idéal et votre éternité, c’étaient vos champs. Et rien d’autre. L’âtre auprès duquel vous réchauffiez votre vie humble et fruste, c’était pour moi un paradis intime qui brûlait délicieusement dans le soir. Un authentique refuge poétique. L’incarnation simple et brute de mes rêves virgiliens les plus purs. Et lorsque vous avanciez sous la bourrasque d’un pas lent et résolu, inébranlable, le front nu, le regard altier, fourche en pogne, je voyais en vous une statue en marche. Ou un épouvantail plein de paille et de mystère... Votre évasion, votre fantasme, votre ambition, votre chimère, votre folie c’était la terre, toujours la terre et rien d‘autre que la terre. Vous l’aimiez comme un père aime son enfant, vous qui n’aviez pas de descendant, pas d’épouse, point de foyer. Vous conceviez la mort comme une prairie sans fin où pousseraient des gerbes d’or que vous faucheriez à l’infini sous un astre étincelant... Je me souviens que vous souriiez à l’évocation de cette rêverie agricole, vous souriiez doucement, les yeux pleins de bonheur, les lèvres murmurant d’indistinctes bénédictions à l’adresse de ce dieu des paysans qui rayonnait en vous comme l’unique soleil d’une existence vouée au travail champêtre... J’ignore si en mourant vous êtes arrivé dans ces inépuisables étendues de blés qui vous sont si chères, peut-être avez-vous trouvé encore mieux que ce à quoi vous vous attendiez, mais j’aime à me figurer votre silhouette éternelle parmi les épis dorés, fauchant les récoltes de l’Eden dans un été perpétuel...Adieu et bon vol dans votre ciel d’azur et d’herbes sauvages, de chaume et d’épeautre, de corbeaux et de chats-huants. Jamais je ne vous oublierai, vous qui fûtes le roi des culs-terreux trônant dans mon éther imaginaire.

Trop gentil @Pierre Sansberro
Vous êtes mon love pour la saint Valentin;)
On peut le trouver encore cet auteur?