Alix Cordouan

@Marie Peterburger Bonjour Marie, J’ai pris beaucoup de plaisir à lire cette histoire qui commence comme une enquête policière. C’est l’occasion de faire la connaissance de personnages particulièrement bien décrits qui donne à ce roman un goût d’authenticité. En dire plus risquerait de déflorer le sujet, aussi me contenterai-je de conseiller aux lecteurs de faire un tour dans : « En cas de malheur » pour passer un bon moment. Merci de votre participation. P.S. Une présentation plus conventionnelle de votre texte donnerait un attrait supplémentaire à la lecture, mais ce n’est qu’un détail

@Stefan_G Ces quelques pages résument avec justesse notre société aveuglée par la déresponsabilisation d’un monde où le factice fait office de référence. Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt.

@Annie Pic Bonjour Annie Pic, Écrit dans un style sobre et concis, votre fiction nous fait entrevoir une projection exacerbée de ce que nous vivons déjà. Inconscience généralisée, narcissisme porté à son paroxysme et déroute de l’éducation sur fond de retour à un obscurantisme crasse sont les prémices d’une catastrophe annoncée. La guerre en Ukraine illustre malheureusement « à merveille » ce constat. Vous pointez du doigt, avec pertinence, le réchauffement de la planète dans les périls qui nous menacent en priorité. S’il s’avère irréversible, comme tout semble l’indiquer, nous ne serons pas loin de la vision que vous nous offrez dans votre roman. La science sera-t-elle en mesure de nous sauver, comme vous le suggérez ? Rien n’est moins sûr. Votre ouvrage, qui s’insère dans une réalité quotidienne faite de discours apocalyptiques sur la guerre nucléaire, le climat et les multiples dangers qui s’accumulent à l’infini ont le mérite de nous interroger sur notre avenir devenu de plus en plus incertain. Je vous souhaite de nombreux lecteurs.

@Stog2 On est très loin des pleurnicheries nombrilistes et des mièvreries débordantes de bons sentiments sirupeux qui nous envahissent tous les jours un peu plus. Une histoire, de vrais personnages, de l’humour, de grands espaces, de la musique, de l’amour, de la castagne… la vie quoi, comme seuls savent la décrire les gens qui se sont battus avec l’existence. Merci pour ce bol de liberté revigorant.

@ESSADIQ BENARREG « Parlez-moi d'moi, y'a qu'ça qui m'intéresse »…